Bon... A la demande générale, je vais donc me justifier.
Mon jugement abrupt s'appuie sur le fait que je réfute absolument l'idée selon laquelle des formes biologiques évoluées dans des biotopes différents (même d'environnements proches) convergent inévitablement vers la forme humanoïde. C'est une hérésie scientifique.
Même si, par un hasard extraordinaire, nous étions visités par une espèce dont l'aspect serait proche du nôtre, nous observerions alors des différences morphologiques (proportions, locomotion, système respiratoire...) suffisamment importantes pour les faire apparaître exotiques à nos yeux ; ce qui est parfois le cas, mais la silhouette de ces "E.T." est invariablement anthropomorphe (sauf en de très rares cas). Elle est souvent si proche de nous que nous ne nous retournerions même pas sur eux dans la rue..
Sur cette question de l'apparence, je suis assez d'accord avec ce que dit le bologiste M. Swords, sur la combinatoire relativement limitée des schémas viables présidant à l'évolution, dans des biotopes semblables ; mais, point crucial, cela laisse à l'évolution une latitude non négligeable dans cette combinatoire, il le dit d'ailleurs lui-même :
"
On peut raisonnablement poser que des modèles macroscopiques communs sont arrivés ici et ailleurs sur la base de simple physique, géométrie, résistance des matériaux, quels que soient des processus encore inconnus qui limitent les capacités de contrôle de systèmes nerveux centraux. D'autres arguments pourraient être avancés pour 4 ou 5 doigts sur les mains et pieds, l'arrangement de caractéristiques faciales, […….] Mais il existe aussi de nombreux domaines autorisant plus de latitude pour la variation au sein de ces modèles structuraux plus larges : la masse, la taille, les dimensions relatives de structures, les couleurs, textures, caractéristiques de sexe secondaires, etc. Une duplication exacte d'un humain de la Terre par une IET ayant évolué indépendamment est de fait inconcevable pour tout biologiste".
A fortiori, admettre sans broncher, comme les tenants de l'HET, que nous sommes visités par plusieurs races extra-terrestres qui ont
toutes un aspect humanoïde et une taille compatible, est d'une puérilité effarante.
Pour en revenir à cet homoncule en photo, mise à part l'hypertrophie du crâne (constante du phénomène), la structure générale du corps est à mon sens
indissociablement liée à l'espèce humaine. Bien sûr, sa taille réduite pose question ; les hypothétiques scenarii imaginables nous orientent entre autres vers les trafics génétiques planifiés, dont semblent ressortir nombre d'"aliens" plus ou moins contrefaits vus depuis 60 ans…
Mon opinion est qu'il n'y a qu'
une seule source à ces bidouillages tératologiques ; cette conviction m'isole dans le microcosme, mais elle est pour moi éclairante sur la stratégie masquée de cette mystérieuse source qui a, semble-t-il, bien raison de miser sur la naïveté de nos décideurs contemporains les plus influents.
Je commence à me demander si John Keel n'avait pas raison… Le cheval de Troie est déjà dans nos murs.
» Il signale un OVNI et disparaît en plein vol : enquête sur la disparition inexplicable de ce pilote
» Mont-Saint-Michel - Le labyrinthe de l’archange | ARTE
» L'ISS en 1914 ?
» Le cas Alain Lamare
» L'actualité selon Truman M.....
» La France en 2024
» Pakistan : une frontière au bord de la guerre
» Alien Romulus
» SUR LES TRACES DU TITANIC
» prénonitions , signes du destin : ils y croient !
» L'info dans le monde - 2024
» Les bâtisseurs de Stonehenge | Enquêtes archéologiques | ARTE
» RETOURNER SUR LA LUNE, ÇA SERT À RIEN (12parsecs)
» Les reclus de Monflanquin