Premier cas, Zombie et enquête …

Premier cas, Zombie et enquête …

Cette étrange affaire commence le 2 mai 1962 lorsque Clairvius Narcisse décède des suites d’une maladie qui avait commencer quelques jours avant. Les symptômes de ce mal était des pertes de sang importante avec des crachements et une forte poussée de fièvre. La mort est rapide sans en avoir vraiment découvert la cause, l’homme est enterré entouré par sa famille.



18 ans plus tard la sœur de Clairvius se fait accosté par un homme étrange qui lui raconte qu’il est son frère et qu’il aurait subi une zombification de la part d’un houngan. Un houngan est un chef spirituel Vaudou, il organise les cérémonies de culte, ceux qui créés des Zombie sont appelés Bokor . En fait c’est son frère qui, suite à un problème d’héritage, aurait demander à ce qu’il soit utilisé comme esclave.



D’après ce qu’il raconte il serait entré en contact avec de la poudre de zombie et à cause de cela il se serait retrouvé dans un état de paralysie totale et il aurait assisté à son enterrement sans pouvoir réagir ni dire quoique ce soit. Peu de temps après il aurait été déterré et aurait été utilisé en esclave dans une plantation avec d’autres personnes ayant reçu le même traitement, l’état de « mort-vivant » étant maintenu par une dose journalière de drogue.

Finalement au bout de deux ans un des gardiens auraient oublié de le droguer. Profitant de cela il se serait enfuie. Il aurait passé quinze ans à errer, en fin de compte après avoir appris la mort de son frère il aurait décidé de retrouver sa sœur et reprendre son identité. Les villageois et sa sœur le reconnurent immédiatement et connaissant le vaudou ils n’émirent aucun doute sur ce qu’il avait raconté.

Il semblerait que ce cas ne soit pas unique même s’il est un des rare qui ait été étudié. D’après ce qui a été analyser la poudre de zombie serait créée à partir de tétrodotoxine met le corps dans un état de paralysie totale. Des cas de paralysies de ce type ont été répertoriés dans des restaurants japonais lorsque certains client mangeaient du fugu. Une fois la victime déterrée des drogues permettent d’inhiber sa volonté et le zombie reste sous contrôle de ses ravisseurs.

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