Et si les zombies existaient réellement ? Quelles seraient nos chances de les éradiquer et de sauver l'humanité ? Des chercheurs canadiens se sont (vraiment) penchés sur la question.
Les têtes pensantes des Universités d'Ottawa et de Carleton n'ont-ils rien de mieux à faire durant l'été ? Il faut croire que oui. Pendant que la planète joue à se faire peur avec la redoutée grippe H1N1, quatre mathématiciens canadiens ont eux bûché sur une épidémie encore plus fictive : une attaque de zombie. Un sujet léger mais non moins traité avec le plus grand sérieux par ces chercheurs amateurs de films de morts-vivants, qui ont pondu un pdf de 18 pages sur le sujet.
"Notre modèle de l'attaque de zombie se fait à partir de suppositions basées sur les films de zombies populaires", indique le rapport. Pas question, donc, de prendre en compte la mode récente des "zombies" vivaces de 28 jours plus tard ou I Am Legend (qui sont plutôt des "infectés"). Ne sont considérés ici que les morts-vivants classiques (ceux qui déambulent à deux à l'heure en gémissant), histoire de laisser une chance de survie au genre humain. "Alors que nous essayons d'être le plus complet possible dans notre modélisation des zombies - d'autant qu'il y a de nombreux variables - nous avons décidé de ne pas considérer ces particularismes", précise encore le texte.
Après moults hypothèses (mise quarantaine, recours à un vaccin, éradication massive), l'étude conclut qu'il existe en gros un seul et unique moyen de répondre à une épidémie zombiesque : frapper vite, fort et de manière répétée ces créatures avant qu'il ne soit trop tard. Aucune cohabitation entre humains et zombies n'est envisageable. Ça sera eux ou nous.
Bien qu'admiratif du travail effectué par ses collègues canadiens, le professeur Neil Ferguson, un des plus grands épidémiologistes mondiaux et référence sur la question de la grippe porcine, juge que l'étude se montre un brin catastrophiste : "Ma compréhension de la biologie zombie, c'est que si on arrive à décapiter un zombie, il est mort pour de bon", a-t-il déclaré à la BBC. "Donc, ils sont peut-être un peu trop pessimistes quand il conclut que les zombies pourraient prendre une ville en trois ou quatre jours." Nous voilà rassurés...
Les têtes pensantes des Universités d'Ottawa et de Carleton n'ont-ils rien de mieux à faire durant l'été ? Il faut croire que oui. Pendant que la planète joue à se faire peur avec la redoutée grippe H1N1, quatre mathématiciens canadiens ont eux bûché sur une épidémie encore plus fictive : une attaque de zombie. Un sujet léger mais non moins traité avec le plus grand sérieux par ces chercheurs amateurs de films de morts-vivants, qui ont pondu un pdf de 18 pages sur le sujet.
"Notre modèle de l'attaque de zombie se fait à partir de suppositions basées sur les films de zombies populaires", indique le rapport. Pas question, donc, de prendre en compte la mode récente des "zombies" vivaces de 28 jours plus tard ou I Am Legend (qui sont plutôt des "infectés"). Ne sont considérés ici que les morts-vivants classiques (ceux qui déambulent à deux à l'heure en gémissant), histoire de laisser une chance de survie au genre humain. "Alors que nous essayons d'être le plus complet possible dans notre modélisation des zombies - d'autant qu'il y a de nombreux variables - nous avons décidé de ne pas considérer ces particularismes", précise encore le texte.
Après moults hypothèses (mise quarantaine, recours à un vaccin, éradication massive), l'étude conclut qu'il existe en gros un seul et unique moyen de répondre à une épidémie zombiesque : frapper vite, fort et de manière répétée ces créatures avant qu'il ne soit trop tard. Aucune cohabitation entre humains et zombies n'est envisageable. Ça sera eux ou nous.
Bien qu'admiratif du travail effectué par ses collègues canadiens, le professeur Neil Ferguson, un des plus grands épidémiologistes mondiaux et référence sur la question de la grippe porcine, juge que l'étude se montre un brin catastrophiste : "Ma compréhension de la biologie zombie, c'est que si on arrive à décapiter un zombie, il est mort pour de bon", a-t-il déclaré à la BBC. "Donc, ils sont peut-être un peu trop pessimistes quand il conclut que les zombies pourraient prendre une ville en trois ou quatre jours." Nous voilà rassurés...
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