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Le crash de Roswell: enquête inédite

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Le crash de Roswell: enquête inédite - Page 2 Empty Re: Le crash de Roswell: enquête inédite

Message par Mikerynos Dim 1 Mar - 16:50

Stanton Friedman est visiblement celui des conférenciers de Laughlin qui était le plus attendu. Son statut de physicien nucléaire, et ses quarante années de recherches, ainsi que le professionnalisme de ses présentations, expliquent l’accueil enthousiaste des participants. Il s’est amusé à lister sur son site web l’historique des mensonges officiels, et sans refaire la conférence qu’il avait donnée en 2005 au Mufon, cite à titre d’exemple quelques uns de ceux qui éclairent le mieux l’incident du crash de Roswell :

“Richard Weaver, Colonel de l’US Air Force, était un spécialiste de la désinformation. Il avait déjà menti à plusieurs reprises, et il a menti à nouveau en affirmant que son Rapport apportait une conclusion définitive sur Roswell. En fait, le 24 juin 1997, son assistant, le Capitaine James McAndrew, a publié le Volume 2 du ‘Rapport sur Roswell : Affaire classée’. McAndrew a également menti en prétendant avoir découvert, grâce à ses recherches approfondies, que les petits corps d’aliens rapportés par les témoins n’étaient en fait que des mannequins utilisés pour des tests de crash, lancés par l’US Air Force au-dessus du Nouveau-Mexique.

Le crash de Roswell: enquête inédite - Page 2 Roswell_dummy-bc8167

McAndrew a fait figurer une carte qui s’intitule : “Largage de Mannequins Anthropomorphiques et Sites de Chute“. Elle montre le champ de débris et la Plaine de San Agustin, ainsi qu’un bon nombre de lieux de chute, mais aucun ne se trouvait à proximité du véritable site de crash. De plus, Corona n’est même pas sur la carte. On y voit l’officier Raymond A. Madson posant avec Sierra Sam, l’un de ces fameux mannequins. J’ai réussi à retrouver Madson, qui avait été en charge du programme. Il m’a indiqué deux points importants qui éliminent totalement cette explication des mannequins :

1. Les mannequins devaient faire près de deux mètres et peser 90 kgs pour que les tests soient significatifs (les témoins avaient tous décrit des êtres de petite taille et plutôt frêles, avec de grosses têtes et de grands yeux).

2. On n’avait jamais utilisé de mannequins avant 1953.

Lorsqu’ils ont sorti cette histoire des mannequins en 1997, lors d’une conférence de presse, quelqu’un avait fait remarquer que le crash avait eu lieu en 1947, pas en 1953… Le porte-parole de l’armée avait alors répondu que la mémoire des témoins pouvait être faillible ! C’est l’un de leurs plus gros mensonges. L’US Air Force aurait-elle eu recours à une machine de voyage temporel pour larguer ses mannequins ?

Source: OVNI-USA
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Le crash de Roswell: enquête inédite - Page 2 Empty Re: Le crash de Roswell: enquête inédite

Message par Mikerynos Ven 12 Juin - 14:11

Troisième et dernier volet de l’enquête d’Anthony Bragalia sur la connexion entre l’Institut Battelle et l’incident de Roswell..

Le métal à mémoire de forme retrouvé dit-on à Roswell a-t-il été secrètement « fourni» à l’industrie pour qu’elle exploite ses avantages potentiels ? Comment cette technologie aurait-elle été transférée sans révéler son origine ? Pourquoi a-t-on procédé sur le Nitinol à des expériences bizarres d’action sur la matière, en faisant appel à des sujets psi au service du gouvernement ? Quel est le sens caché de ce métal capable de changer de forme ? L’enquêteur présente les conclusions d’une longue recherche.

L’histoire officielle du Nitinol n’est pas la vérité

Les européens qui dans les années 30 avaient procédé à des tests sur ce métal avaient observé que certains alliages (avec de l’Aluminium) pouvaient manifester une « pseudo-elasticité.» En fait – depuis que l’homme avait commencé à utiliser le feu pour forger le métal – il savait que « l’état du métal» pouvait être modifié.

Mais les études conduites par Battelle pour Wright-Patterson à la fin des années 40 sont d’un ordre très différent. Elles montrent que l’armée américaine examinait pour la toute première fois un type de métal dont la structure avait vraiment la faculté de se remettre en place. Et ces études avaient commencé juste après le crash de Roswell, où des matériaux semblables auraient été récupérés.

La suite sur OVNI-USA
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Le crash de Roswell: enquête inédite - Page 2 Empty Re: Le crash de Roswell: enquête inédite

Message par Schattenjäger Dim 14 Juin - 12:01

La seconde édition du livre Witness to Roswell (mai 2009) révèle encore de nouveaux témoins

Gildas Bourdais, juin 2009

En juin 2007, la première édition du livre Witness to Roswell, de Tom Carey et Donald Schmitt, avait déjà révélé une remarquable série de nouveaux témoins et avait largement contribué à renouveler l’intérêt pour l’affaire de Roswell dans les médias, en même temps que le soixantième anniversaire du crash célébré dans la ville de Roswell. En fait, les auteurs n’avaient pas tout livré dans leur livre, notamment parce que l’éditeur s’était permis de l’élaguer, m’ont-ils raconté. Mais le succès du livre a convaincu l’éditeur de faire une nouvelle édition, plus complète, qui a fini par paraître en mai 2009. Entretemps, les auteurs ont continué à enquêter et ont pu ajouter de nouveaux témoignages qui renforcent encore l’histoire. Le livre est ainsi passé de 256 pages à 318 pages.

Les sceptiques ne manqueront pas de se demander comment il est possible de trouver encore des témoins, même indirects, sur une affaire vieille de plus de soixante ans. Mais les auteurs s’en expliquent au début du livre. Ils reconnaissent qu’au moins 90% des militaires stationnés à Roswell en 1947 sont morts, ou ne sont plus en état d’être interviewés. En revanche, certains ont accepté de parler, se sentant proches de leur fin. C’est le cas de plusieurs nouveaux témoins révélés dans cette seconde édition, militaires ou civils. Ainsi, paradoxalement, certains se décident à parler du fait même de leur grand âge car ils en éprouvent, sans doute, le besoin moral et ne craignent plus ni menaces, ni sanctions. On voit aussi des langues se délier parmi les proches et amis de témoins décédés. De plus, le nombre déjà impressionnant de témoins ne peut que les encourager dans cette démarche.

On peut s’attendre également à ce que d’autres témoignages émergent peu à peu sur ce qui s’est passé après Roswell, sur les études qui auraient suivi, notamment à Wright-Patterson, la base technique de l’armée de l’Air, dans l’Ohio. Un exemple en est fourni, justement, dans ce livre, avec une enquête parallèle d’Anthony Bragalia, un « collègue » de Carey et Schmitt, qui a trouvé des indices concordants sur une étude très secrète des fameuses feuilles « à mémoire de forme », qui aurait été menée au Battelle Memorial Institute, déjà bien connu en ufologie comme auteur d’une excellente étude statistique sur les observations d’ovnis faite au début des années cinquante pour le compte de l’armée de l’Air, laquelle fut ensuite publiée sous le nom de « Rapport 14 » de la commission Blue Book.

Autrement dit, le dossier déjà si épais de Roswell n’est pas mort et nous réserve encore, probablement, des surprises… La seule critique que j’ai à faire est qu’ils n’ont pas suivi les suggestions que je leur avais faites en 2007 et 2008 pour modifier un peu la chronologie des événements, alors que Don Schmitt m’avait dit être d’accord avec moi, en septembre 2008. La discussion reste donc ouverte, me semble-t-il, sur la chronologie détaillée, mais c’est un aspect que nous pouvons, pour l’heure, laisser de côté. Voyons brièvement les nouveaux témoignages, dans l’ordre où ils apparaissent dans le livre.

Au chapitre 5, les auteurs ajoutent une page curieuse sur une probable manœuvre de désinformation militaire. Le 7 juillet, Alan Grant, jeune photographe de Life Magazine, est expédié par son journal sur les lieux, via Albuquerque. Il y est conduit dans un petit avion piloté par le Major Charles Philips. Celui-ci l’oblige, curieusement, à prendre une arme, puis se pose dans un coin désertique où ils ne trouvent rien. Chou blanc pour Life Magazine, qui ne va rien publier sur Roswell, ce qui va peut-être inciter d’autres médias à faire de même…
Au chapitre 6, qui relate notamment déboires du fermier Brazel et de son fils Bill, de nouvelles informations sont fournies sur les menaces subies par des témoins après l’incident. Selon l’ancien sergent Bert Schulz, qui était électricien pour les bombardiers B-29, certains soldats de la base se sont vantés, au cours des mois suivants, d’avoir participé aux actions d’intimidation subies par les civils dans la région. Un officier du nom de Hunter G. Penn s’était distingué par sa brutalité dans ce travail. Mais il aurait confirmé plus tard à sa propre fille que l’engin accidenté était bien d’origine extraterrestre !

Au chapitre 7, les auteurs révèlent un aspect complètement occulté jusqu’à présent. Brazel avait informé de sa découverte ses patrons, les frères jumeaux H.et J.B. (Jap) Foster qui vivaient au Texas sur d’autres terres. Il les avait appelés depuis le village de Corona où nous savons déjà qu’il était allé le samedi 6 juillet pour montrer des débris. Ceci a été précisé par Geraldine Perkins, épicière qui avait l’unique ligne téléphonique ! Selon Jo Ann Purdie, fille de J.B. Foster, son père savait donc ce qui s’était passé, mais n’en avait pas parlé car avait été menacé lui aussi, comme Brazel, par les militaires.

Dans le même chapitre, Carey et Schmitt font une autre révélation bien intéressante. Bessie Schreiber, la fille du fermier Brazel, qui était un témoin mis en avant par l’armée en 1995 et par les sceptiques tels que Philip Klass et Karl Pflock, en faveur de la thèse d’une confusion avec des ballons, a fini par revenir sur cette idée. Elle s’est ralliée à l’opinion, quelque temps avant sa mort, que son père avait effectivement vu autre chose.

Au chapitre 8, un autre témoin aurait confirmé que le Major Marcel avait bien vu les cadavres, très probablement sur le troisième site proche du champ de débris. Hayes Marcel, un neveu âgé de 77 ans a entendu un cousin de Jesse, Nelson Marcel, en parler : « Jesse a dit qu’il les avait vus » ; selon lui, Jesse avait aussi gardé un morceau de « métal alien incasssable ». Ce morceau sera-t-il retrouvé un jour ?

Le chapitre 9 apporte quelques éléments en marge de l’histoire, déjà compliquée dans le premier livre, de Joseph Montoya, gouverneur adjoint du Nouveau-Mexique à l’époque, qui se serait trouvé sur la base et aurait vu les cadavres entreposés brièvement dans le hangar P 3 (aujourd’hui bâtiment 84, et non pas « hangar 18 » : ce dernier appartient à la légende de la base de Wright-Patterson !). Ce sont des indications sur les allées et venues d’autres hommes politiques de la région : le gouverneur Tom Mabry avait pris soudain un congé imprévu, et une réunion programmée avec le colonel Blanchard pour le 9 juillet avait été reportée. D’autre part, Le sénateur Carl Hatch avait demandé au Président Truman à être reçu d’urgence, le 7 juillet. On en ignore le motif, mais c’est enregistré dans les archives du Président… Or nous savons déjà qu’il y avait eu beaucoup d’agitation dans les hautes sphères pendant ces journées cruciales des 7 et 8 juillet, comme je l’ai décrit dans mon livre Le crash de Roswell. Grosse agitation au sommet pour quelques ballons !

Au chapitre 11, sont révélés de nouveaux témoins sur le site de l’ovni proche de Roswell (qu’ils appellent « impact site »), ainsi que sur le convoi qui l’a transporté à la base. James Strom, selon son beau-frère John Tilley, a escorté le convoi à travers Roswell en fin d’après-midi. Bill Blair a confirmé l’entreposage au hangar P 3. De nouveaux témoins confirment les rumeurs qui circulaient à la base sur le crash : les sergents Harvie Davis et Leonard Hardy, les soldats John Bunch et Eugene Helnes.

D’autres témoins militaires, directs ou indirects, ont encore été retrouvés : selon sa femme Mary, le soldat Frank Martinez a conduit des camions vers le ranch Foster pendant deux jours d’affilée. En juillet 2008, l’ancien sergent William Ennis, ami d’Earl Fulford (un témoin important de la première édition, décédé le 3 août 2008) qui était ingénieur de vol sur B-29, a fini pas avouer qu’il avait vu l’ovni et il a fait ce commentaire : « Il n’y avait pas de moteur ! Avant de m’en aller, je voudrais bien savoir. »

Enfin, un autre témoin, George Newling, soutient qu’il a vu, en novembre 1947, une partie de l’ovni être évacuée par un bombardier B-29, surnommé « Up an’ Atom ». Ce témoignage soulève cependant une question : s’il est correct, que penser alors de celui du lieutenant-colonel Magruder qui a dit à ses fils (selon la première édition du livre) qu’il avait vu l’ovni et le survivant sur la base de Wright à la mi-juillet 1947 ? Eh bien, la nouvelle édition corrige cette date : c’était en fait au printemps de 1948 ! On voit bien ici que certains témoignages seront à recouper et à confirmer, si possible, au cours des mois et des années qui viennent.

Le chapitres 13 et 14 apportent de nouveaux éléments sur ce qui s’est passé à l’hôpital de la base. Ce sont d’abord de nouveaux témoins en faveur de Glenn Dennis : Barbara Perez, Adam Dutchover, Garner Mason, Rex Alcorn, Clifford Butts, William Burkstaller, et Richard Bean semblent confirmer solidement son récit sur les révélations de la mystérieuse infirmière qui avait participé à une autopsie et lui avait décrit les cadavres. Un enquête pointue et des recoupements, racontés dans le livre, semblent avoir permis de retrouver finalement son identité : elle s’appellerait Mary Crowley Lowe et habiterait encore à Roswell même. Elle avait fait promettre à Glenn de ne jamais révéler son identité, d’où ses mensonges maladroits pour la protéger. Finalement, pressé par les enquêteurs, il l’a presque admis, mais s’est récusé le lendemain ! La photo de l’ancienne infirmière, âgée, est dans le livre, fournie par Wendy Connors, autre enquêtrice tenace qui a participé à cette recherche.

Le chapitre 15 apporte de nouvelles précisions sur la description des cadavres et sur les autopsies qui auraient suivi. Le Dr Lejeune Foster, qui avait une clinique à San Diego, et avait une accréditation au « top secret », y aurait participé pendant un mois, non pas à Wright Field, mais plutôt à Washington.

Le chapitre 18 nous révèle encore un nouveau « lot » de témoins, cette fois des civils de la région. Ils confirment que les informations sur l’accident circulaient avant même l’intervention des militaires sur le terrain, qui les ont ensuite menacés. Selon Sue Farnsworth, son père avait été menacé pour avoir vu l’ovni ; selon George Cisneros, plusieurs voisins qui l’avaient vu furent eux aussi menacés. Un autre témoignage civil, très intéressant, est celui d’un ingénieur de Boeing, Richard Loveridge, qui était chargé d’enquêter sur les accidents d’avion de sa compagnie, en l’occurrence les bombardiers B-29. Il a fini par avouer à son fils Douglas, qui le pressait de questions depuis des années, sachant qu’il avait vécu à Roswell ces années-là, qu’il était allé lui aussi sur le site et « avait tout vu » : l’ovni, les cadavres et le survivant !

Le livre apporte encore d’autres éléments nouveaux par rapport à la première édition, pourtant déjà si riche. On apprend par exemple que Walter Haut été lui-même menacé pendant de nombreuses années, notamment par le fils du général Kingsbury, pour le dissuader de parler. En somme, sa réponse a été sa déclaration posthume. Le témoignage du sergent Homer Rowlette, qui avait vu l’ovni et les cadavres selon son fils Larry et sa fille Carlene Green, est maintenant confirmé par deux autres sources : le sergent Harry Telesco, selon sa fille, et le soldat James Saine, selon des membres survivants de sa famille. Mais il faut reconnaître que ces nouveaux témoignages sont maintenant, le plus souvent, indirects.

Le livre révèle, pour finir, une piste sur une étude secrète qui a peut-être suivi le crash de Roswell. Comme je l’ai déjà dit au début de cet article, des feuilles métalliques à mémoire de forme, provenant du crash, auraient été étudiées au Battelle Institute dès la fin des années quarante, selon une enquête qui semble bien documentée d’Anthony Bragalia. Si cette histoire est vraie, et que des informations ont été passées discrètement à des laboratoires publics et privés pour avancer dans les recherches, cela finira, peut-être, par être un jour confirmé…

On voit que cette nouvelle édition consolide encore le dossier de Roswell. Mais les vrais sceptiques attendront de toucher, comme saint Thomas, un « vrai » débris de Roswell servi sur un plateau !

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Message par Schattenjäger Dim 9 Aoû - 13:28

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Message par Mikerynos Jeu 24 Sep - 11:39

A-t-on étudié des débris de Roswell à l'Institut Battelle ?
Gildas Bourdais, septembre 2009

La longue quête du Graal sur les études supposées après Roswell

Une nouvelle piste a été ouverte en 2009 sur les études supposées de débris provenant du crash d’un ovni près de Roswell en 1947. Il s’agit des fameuses feuilles à mémoire de forme, dont l’étude, menée secrètement dans un important centre de recherche, le Battelle Memorial Institute vers la fin des années 40, aurait conduit à la création d’un alliage spécial de Titane et de Nickel possédant des propriétés analogues.

Ce n’est pas la première révélation du genre, mais elle est peut-être plus sérieuse que d’autres. Les lecteurs qui ont suivi les enquêtes sur Roswell pendant les quinze dernières années se souviennent des révélations étonnantes du lieutenant-colonel Philip Corso, faites en 1997 dans son livre The Day After Roswell, l’année où fut fêté le cinquantenaire de l’incident à Roswell. Le colonel Corso a raconté qu’il avait initié l’étude secrète de débris provenant du crash de l’ovni de Roswell, en 1961 et 1962, alors qu'il était en poste au Pentagone à la Division des Technologies Etrangères. On se souvient aussi que ces révélations ont été très critiquées, comme je l’ai raconté dans mes livres sur Roswell et dans la revue LDLN (1), et cette piste des études secrètes sur les matériaux de Roswell a été quelque peu laissée de côté en attendant des révélations et confirmations plus solides.

En 1998, on a pu croire que s’ouvrait une nouvelle piste, avec des révélations faites par un certain Jack Shulman, directeur d’une petite entreprise d’informatique, l’American Computer Company (ACC) (2). Hélas, il a fallu rapidement déchanter lorsque l’intéressé a avoué peu après qu’il avait inventé son histoire pour se faire connaître ! Ironiquement, cette pseudo-révélation était encore prise au sérieux dans un live récent, Les sciences interdites, de Douglas Kenyon. Mentionnons au passage une autre « découverte » qui a fait long feu, celle d’une mystérieuse pierre gravée, censée avoir été trouvée dans la région de Roswell, et annoncée abusivement comme un « événement majeur » en 2009 (3). On voit que la prudence est recommandée face à de telles révélations, mais nous allons voir que cette nouvelle affaire semble plus sérieuse.

La suite ICI
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Message par dranozir Jeu 24 Sep - 12:15

Quand on vois les versions qui changent tout le temps c'est difficile de croire que les gouvernements disent la vérité ...
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Message par Mirmi Jeu 24 Sep - 14:49

De toute façon, ils ont dû bien en faire quelques choses de ces débris !
Et c'est surement pas les militaires ou même les scientifiques militaires qui pourraient en tirer le plus d'informations. Ils leur a fallu faire appel à des sociétés privées, ou mieux, la recherche publique pour en tirer le meilleur à mon avis
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