Parallèlement à ses fonctions de communicateur, et d’animateur d’émissions de radio et de
télévision, le Québécois François C. Bourbeau (photo ci-contre) a cultivé une passion pour le
phénomène OVNI (objet volant non identifié). Depuis maintenant 32 ans, il mène des enquêtes
ufologiques sur le terrain et, à ce titre, il est un des très rares ufologues encore actifs au Québec
(selon lui, il y aurait trop de doigts sur une main pour les compter).
Il est également l’auteur de plusieurs ouvrages : deux sur l’ufologie (Contact 158 et Les médias
cachent la vérité OVNI au public, tous deux actuellement épuisés), un autre qui traite d’une manière
très critique le sujet controversé de la voyance et les deux derniers qui portent sur un essai en
psychologie (voir Publications). M. Bourbeau m’indique qu’il n’y a pas de projet de réédition pour
ses livres d’ufologie, mais qu’il prépare actuellement un album de bandes dessinées « racontant les
100 dernières années de Rencontres Rapprochées du Troisième Type au Québec ».
Depuis l’automne 2005, François C. Bourbeau est également l’animateur d’une série d’émissions de
radio qui porte sur les phénomènes paranormaux, avec une emphase sur le phénomène OVNI. Ces
émissions, baptisées « Contacts Chocs », durent en général 120 minutes (mais parfois davantage)
et peuvent être téléchargées de son site Ovni-Alerte.com. Si vous vous intéressez à l’ufologie, vous
deviendrez certainement un fan de ces émissions uniques.
télévision, le Québécois François C. Bourbeau (photo ci-contre) a cultivé une passion pour le
phénomène OVNI (objet volant non identifié). Depuis maintenant 32 ans, il mène des enquêtes
ufologiques sur le terrain et, à ce titre, il est un des très rares ufologues encore actifs au Québec
(selon lui, il y aurait trop de doigts sur une main pour les compter).
Il est également l’auteur de plusieurs ouvrages : deux sur l’ufologie (Contact 158 et Les médias
cachent la vérité OVNI au public, tous deux actuellement épuisés), un autre qui traite d’une manière
très critique le sujet controversé de la voyance et les deux derniers qui portent sur un essai en
psychologie (voir Publications). M. Bourbeau m’indique qu’il n’y a pas de projet de réédition pour
ses livres d’ufologie, mais qu’il prépare actuellement un album de bandes dessinées « racontant les
100 dernières années de Rencontres Rapprochées du Troisième Type au Québec ».
Depuis l’automne 2005, François C. Bourbeau est également l’animateur d’une série d’émissions de
radio qui porte sur les phénomènes paranormaux, avec une emphase sur le phénomène OVNI. Ces
émissions, baptisées « Contacts Chocs », durent en général 120 minutes (mais parfois davantage)
et peuvent être téléchargées de son site Ovni-Alerte.com. Si vous vous intéressez à l’ufologie, vous
deviendrez certainement un fan de ces émissions uniques.
Bonjour M. Bourbeau. Pourriez-vous nous parler brièvement de votre expérience en
ufologie ? Dans quelles circonstances avez-vous commencé à vous intéresser à ces
phénomènes ? Depuis quand enquêtez-vous sur le terrain ?
François C. Bourbeau : Tout commence en juillet 1974. Cette année-là, un curieux phénomène
céleste est bien visible au-dessus de la ville de Drummondville (Centre du Québec), où je suis né.
La radio locale, CHRD 1480 MA, parle du phénomène et toute la population drummondvilloise
devient alors « témoin » de la présence illicite de ce curieux objet très lumineux qui se déplace du
sud-est vers le nord-ouest. Il évolue à une altitude approximative de 5000 pieds (environ 1500
mètres), et il se déplace lentement, contre les vents dominants.
Un membre de ma famille communique alors avec moi via le téléphone pour m’aviser de la
présence du phénomène, car il sait que j’ai une passion : l’astronomie. Comme je possède un
théodolite, il espère qu’en l’observant de plus près, je serai en mesure de l’identifier. À l’oculaire,
ce que je vois me stupéfie : contrairement à ce que l’animateur de CHRD annonce, je ne vois pas un
ballon-sonde mais plutôt un polygone allongé, projetant toutes les couleurs de l’arc-en-ciel !
Plusieurs personnes (des voisins) m’accompagnent à ce moment-là, et tour à tour, observent dans
mon instrument. Ils décriront l’objet dans les mêmes mots que les miens. Je rédige alors mon
premier dossier d’observation d’un… OVNI.
Plus tard, des années plus tard, je découvre six photographies qui ont été prises par Jean Roy, un
photographe du journal La Parole de Drummondville (voir les photos dans la section Galerie
Photos du site www.ovni-alerte.com). Le père d’un de mes amis astronome amateur, Andras Deak,
ayant lui aussi observé le même objet, avait produit des croquis de ce dernier. Je récupère également
ces illustrations et je les compare avec les photographies de Roy et mes données techniques
personnelles : tout concorde !
Ce n’est pas tant ce que j’ai vu qui m’a conduit à m’intéresser au problème OVNI mais plutôt
l’attitude des hommes face à ce problème. La Sûreté du Québec, via son représentant du
détachement de Drummondville, avait alors donné l’ordre de contacter la station CHRD pour
annoncer qu’il s’agissait d’un ballon-sonde ! C’est donc l’inertie des policiers face à cette énigme
qui me poussa à aller encore plus loin dans ma recherche. Cet intérêt ne sait jamais tari depuis… et
32 ans plus tard, ça continue !
ufologie ? Dans quelles circonstances avez-vous commencé à vous intéresser à ces
phénomènes ? Depuis quand enquêtez-vous sur le terrain ?
François C. Bourbeau : Tout commence en juillet 1974. Cette année-là, un curieux phénomène
céleste est bien visible au-dessus de la ville de Drummondville (Centre du Québec), où je suis né.
La radio locale, CHRD 1480 MA, parle du phénomène et toute la population drummondvilloise
devient alors « témoin » de la présence illicite de ce curieux objet très lumineux qui se déplace du
sud-est vers le nord-ouest. Il évolue à une altitude approximative de 5000 pieds (environ 1500
mètres), et il se déplace lentement, contre les vents dominants.
Un membre de ma famille communique alors avec moi via le téléphone pour m’aviser de la
présence du phénomène, car il sait que j’ai une passion : l’astronomie. Comme je possède un
théodolite, il espère qu’en l’observant de plus près, je serai en mesure de l’identifier. À l’oculaire,
ce que je vois me stupéfie : contrairement à ce que l’animateur de CHRD annonce, je ne vois pas un
ballon-sonde mais plutôt un polygone allongé, projetant toutes les couleurs de l’arc-en-ciel !
Plusieurs personnes (des voisins) m’accompagnent à ce moment-là, et tour à tour, observent dans
mon instrument. Ils décriront l’objet dans les mêmes mots que les miens. Je rédige alors mon
premier dossier d’observation d’un… OVNI.
Plus tard, des années plus tard, je découvre six photographies qui ont été prises par Jean Roy, un
photographe du journal La Parole de Drummondville (voir les photos dans la section Galerie
Photos du site www.ovni-alerte.com). Le père d’un de mes amis astronome amateur, Andras Deak,
ayant lui aussi observé le même objet, avait produit des croquis de ce dernier. Je récupère également
ces illustrations et je les compare avec les photographies de Roy et mes données techniques
personnelles : tout concorde !
Ce n’est pas tant ce que j’ai vu qui m’a conduit à m’intéresser au problème OVNI mais plutôt
l’attitude des hommes face à ce problème. La Sûreté du Québec, via son représentant du
détachement de Drummondville, avait alors donné l’ordre de contacter la station CHRD pour
annoncer qu’il s’agissait d’un ballon-sonde ! C’est donc l’inertie des policiers face à cette énigme
qui me poussa à aller encore plus loin dans ma recherche. Cet intérêt ne sait jamais tari depuis… et
32 ans plus tard, ça continue !
Quel a été le cas d’OVNI le plus extraordinaire sur lequel vous ayez eu l’occasion
d’enquêter ? Par « extraordinaire », j’entends un cas qui ne pourrait que très difficilement
s’expliquer par des phénomènes naturels (notamment atmosphériques) ou par des activités
humaines. Selon vous, quel serait le cas d’observation d’OVNI le plus marquant de l’histoire
du Québec ?
François C. Bourbeau : Il en existe plusieurs car il existe plusieurs « niveaux » d’intérêt en
ufologie. Les dossiers de Rencontres Rapprochées du 3e Type (RR III - voir Classification OVNI)
sont particulièrement intéressants car ils suggèrent, subtilement, une origine extraterrestre du
phénomène. Mais cela serait une erreur que de considérer ce problème au premier niveau
uniquement.
Pour le Québec, tous les dossiers de RRII (2e Type = présence d’évidences physiques sur le sol),
représentent sans aucun doute les meilleurs dossiers. L’interaction entre le phénomène et notre
environnement permet toute une série de contre-analyses qui permettent à la fois de vérifier la
qualité des témoignages des « victimes » du phénomène OVNI, et surtout, ces notifications
permettent d’appliquer des protocoles de recherche expérimentaux susceptibles d’ouvrir la voie à un
nouveau paradigme scientifique.
Toutefois, comme je l’ai abondamment expliqué dans mon deuxième ouvrage, Les médias cachent
la réalité ovni au public (1996), trois (3) éléments nous font à nous, ufologues, douloureusement
défaut : 1) le manque de ressources financières, 2) l’absence d’intérêt de la part de ressources
humaines compétentes et 3) notre incapacité à jouir d’un accès illimité à des laboratoires bien
équipés font que le processus d’analyse s’en trouve considérablement ralenti, voire diminué !
Le dossier de Sainte-Marie-de-Monnoir (maintenant Sainte-Angèle-de-Monnoir), qui s’est produit
en novembre 1989 en Montérégie, représente un exemple extraordinaire de Rencontre Rapprochée
du deuxième type (RR II). Tous les meilleurs éléments pouvant permettre une investigation
exhaustive du phénomène se trouvaient réunis. Beaucoup d’analyses ont été conduites par, entre
autres, l’Université Laval de Québec, physique des sols, Environnement Canada, le Centre de
Contrôle Aérien (CCR) de Dorval, la Gendarmerie Royale du Canada (GRC), pour ne nommer que
ces organismes. Le Réseau Ovni-Alerte jouissait, à l’époque, d’une extraordinaire tribune pour
contrôler l’information et la rendre publique : l’émission télévisée Alter Ego Spiritus, produite et
diffusée sur Cogeco Câble à Drummondville, et reprise par Trois-Rivières qui se chargeait de la
rediffuser sur l’ensemble des télévisions communautaires au Québec, en Ontario ainsi que dans les
Maritimes.
Ainsi, beaucoup d’autres témoins de l’affaire Sainte-Marie-de-Monnoir ont découvert l’existence
du Réseau Ovni-Alerte, et ils ont livré leurs témoignages, augmentant du coup la valeur intrinsèque
du dossier. Les documents de cette enquête se retrouvent dans la section « membre » du site
www.ovni-alerte.com, et aussi dans mon ouvrage dont j’ai cité le titre plus haut (pour ceux qui
voudraient en savoir plus).
Mais il existe une foule d’autres dossiers importants dont la liste serait malheureusement trop
longue à énumérer ici.
Le cas de Monsieur « X », une RR III, qui s’est produit le 25 novembre 1979 sur la route 158,
représente le premier cas d’enlèvement québécois par des entités humanoïdes, après l’affaire Betty
et Barney Hill (septembre 1961).
Toutefois, les notifications présentant des détections radar et des pilotes sont, à mon avis, encore
plus fascinantes ! Le Réseau Ovni-Alerte possède une centaine de cas en provenance du CCR
(Centre de Contrôle Régional de Dorval) et qui implique de facto le système NORAD de la défense
du pays.
d’enquêter ? Par « extraordinaire », j’entends un cas qui ne pourrait que très difficilement
s’expliquer par des phénomènes naturels (notamment atmosphériques) ou par des activités
humaines. Selon vous, quel serait le cas d’observation d’OVNI le plus marquant de l’histoire
du Québec ?
François C. Bourbeau : Il en existe plusieurs car il existe plusieurs « niveaux » d’intérêt en
ufologie. Les dossiers de Rencontres Rapprochées du 3e Type (RR III - voir Classification OVNI)
sont particulièrement intéressants car ils suggèrent, subtilement, une origine extraterrestre du
phénomène. Mais cela serait une erreur que de considérer ce problème au premier niveau
uniquement.
Pour le Québec, tous les dossiers de RRII (2e Type = présence d’évidences physiques sur le sol),
représentent sans aucun doute les meilleurs dossiers. L’interaction entre le phénomène et notre
environnement permet toute une série de contre-analyses qui permettent à la fois de vérifier la
qualité des témoignages des « victimes » du phénomène OVNI, et surtout, ces notifications
permettent d’appliquer des protocoles de recherche expérimentaux susceptibles d’ouvrir la voie à un
nouveau paradigme scientifique.
Toutefois, comme je l’ai abondamment expliqué dans mon deuxième ouvrage, Les médias cachent
la réalité ovni au public (1996), trois (3) éléments nous font à nous, ufologues, douloureusement
défaut : 1) le manque de ressources financières, 2) l’absence d’intérêt de la part de ressources
humaines compétentes et 3) notre incapacité à jouir d’un accès illimité à des laboratoires bien
équipés font que le processus d’analyse s’en trouve considérablement ralenti, voire diminué !
Le dossier de Sainte-Marie-de-Monnoir (maintenant Sainte-Angèle-de-Monnoir), qui s’est produit
en novembre 1989 en Montérégie, représente un exemple extraordinaire de Rencontre Rapprochée
du deuxième type (RR II). Tous les meilleurs éléments pouvant permettre une investigation
exhaustive du phénomène se trouvaient réunis. Beaucoup d’analyses ont été conduites par, entre
autres, l’Université Laval de Québec, physique des sols, Environnement Canada, le Centre de
Contrôle Aérien (CCR) de Dorval, la Gendarmerie Royale du Canada (GRC), pour ne nommer que
ces organismes. Le Réseau Ovni-Alerte jouissait, à l’époque, d’une extraordinaire tribune pour
contrôler l’information et la rendre publique : l’émission télévisée Alter Ego Spiritus, produite et
diffusée sur Cogeco Câble à Drummondville, et reprise par Trois-Rivières qui se chargeait de la
rediffuser sur l’ensemble des télévisions communautaires au Québec, en Ontario ainsi que dans les
Maritimes.
Ainsi, beaucoup d’autres témoins de l’affaire Sainte-Marie-de-Monnoir ont découvert l’existence
du Réseau Ovni-Alerte, et ils ont livré leurs témoignages, augmentant du coup la valeur intrinsèque
du dossier. Les documents de cette enquête se retrouvent dans la section « membre » du site
www.ovni-alerte.com, et aussi dans mon ouvrage dont j’ai cité le titre plus haut (pour ceux qui
voudraient en savoir plus).
Mais il existe une foule d’autres dossiers importants dont la liste serait malheureusement trop
longue à énumérer ici.
Le cas de Monsieur « X », une RR III, qui s’est produit le 25 novembre 1979 sur la route 158,
représente le premier cas d’enlèvement québécois par des entités humanoïdes, après l’affaire Betty
et Barney Hill (septembre 1961).
Toutefois, les notifications présentant des détections radar et des pilotes sont, à mon avis, encore
plus fascinantes ! Le Réseau Ovni-Alerte possède une centaine de cas en provenance du CCR
(Centre de Contrôle Régional de Dorval) et qui implique de facto le système NORAD de la défense
du pays.
La question incontournable : que pensez-vous de la nature réelle des OVNI ? Avez-vous déjà
considéré l’hypothèse d’une origine extraterrestre pour certains cas ?
François C. Bourbeau : Je serai bref, direct, sans trop me perdre dans des explications. Pour moi,
enfin pour le moment et en fonction des données dont je dispose, les OVNI représentent une
« grande masse d’énergie concentrée dans un faible volume », un peu comme une mini centrale
nucléaire qui agit comme un « transformateur de réalité ».
Les micro-ondes pulsées dégagées par l’OVNI provoquent un vaste ensemble de réactions dans
l’environnement immédiat de la manifestation. Toutefois, nous ne connaissons pas encore très bien
les effets que provoquent ces micro-ondes pulsées sur le cortex cérébral de l’humain.
Nous savons cependant que les sens sont perturbés, et que le témoin juge alors plutôt mal sa relation
espace-temps lorsqu’il se trouve en présence « rapprochée » d’un OVNI. Ainsi, sa NATURE
RÉELLE semble être le fruit d’une technologie très en avance sur la nôtre. Ça, nous le savons
depuis au moins le mois de janvier de l’année 1994.
Pourquoi ? Parce qu’à cette époque, un pilote d’Air France, aux commandes d’un Airbus A-320 en
provenance de Nice, en direction de Londres, a été témoin, avec sa co-pilote, du passage d’un
OVNI à 30000 pieds (environ 9000 mètres) au moins d’altitude (comme celle de son zinc), et que
des radars militaires au sol l’ont détecté ! Les propos du pilote Jean-Charles Duboc, que j’ai eu
l’occasion d’interviewer (entrevue disponible sur le site Ovni-Alerte, section émissions Contacts
Chocs), sont assez révélateurs : ce disque lumineux se moquait totalement des lois de la physique !
Je le répète, nous ne savons pas encore fabriquer d’engins volants capables de produire des
performances aérodynamiques comparables à ce que des témoins expérimentés nous décrivent.
Pour ce qui est de l’HET (Hypothèse Extra-Terrestre) : elle demeure intéressante, et je la
considérerai toujours, mais ce n’est pas la seule explication valable pour nous aider à comprendre la
présence de ces engins silencieux dans nos cieux, et ce n’est pas non plus la meilleure hypothèse de
travail ! Il y en a d’autres !
Notre physique a évolué, entre autres la physique signée Sakharov et Hawking. Nous savons
construire des univers à plusieurs dimensions, voire 100 dimensions ! Sur papier, ça fonctionne. Il
ne reste plus qu’à les vérifier via les observations grâce aux télescopes, aux radiotélescopes ainsi
qu’aux satellites présentement en orbite. Il faut du temps, de l’argent, des ressources humaines, des
labos disponibles et surtout, surtout, de la VOLONTÉ !
Un jour, tout sera connu et su…
Pour le moment, je penche sur cette idée : nous sommes en présence d’une intelligence « nonhumaine
» qui utilise une technologie capable de provoquer « accidentellement » une cassure dans
le continuum espace-temps, créant du coup un « corridor » assez étroit et fini. Si le témoin se trouve
à la bonne place, et au bon moment, il « verra » l’OVNI tel quel, sinon l’OVNI (ce transformateur
de réalité), lui apparaîtra comme s’il observait le… réel à travers un kaléidoscope ! Tout semblera
déformé, irréel et surtout illogique. Son discours (au témoin), paraîtra toujours confus, voire
absurde à cause, entre autres, des effets secondaires des micro-ondes pulsées dont son cerveau aura
été bombardé pendant un temps « x ». Les effets seront inversement proportionnels au carré de la
distance séparant l’OVNI du témoin.
En d’autres termes, plus la distance entre le témoin et l’OVNI sera courte, plus grands seront les
effets néfastes sur son cortex cérébral et plus inintelligible paraîtra son discours. Surtout si le témoin
se trouve parfaitement aligné dans l’axe du « corridor » créé par la présence de… ce transformateur
de réalité. Son témoignage pourra même paraître totalement différent d’un autre témoin situé lui, à
quelques centaines de pas de la position du premier, d’où l’énorme difficulté présentement à aligner
deux témoignages parfaitement identiques.
En conclusion, et je sais pertinemment que ce qui va suivre n’est qu’une spéculation, mais spéculer
appartient également à la démarche épistémologique que je m’impose : les OVNI pourraient bien
être le fruit d’une technologie d’êtres intelligents, vivant à la même place que nous mais dans un
TEMPS différent ! Ces êtres peuvent alors n’être qu’une seconde en avance sur notre temps, ou
bien encore 1000 ans, cela produirait de toute manière les mêmes effets que nous observons…
considéré l’hypothèse d’une origine extraterrestre pour certains cas ?
François C. Bourbeau : Je serai bref, direct, sans trop me perdre dans des explications. Pour moi,
enfin pour le moment et en fonction des données dont je dispose, les OVNI représentent une
« grande masse d’énergie concentrée dans un faible volume », un peu comme une mini centrale
nucléaire qui agit comme un « transformateur de réalité ».
Les micro-ondes pulsées dégagées par l’OVNI provoquent un vaste ensemble de réactions dans
l’environnement immédiat de la manifestation. Toutefois, nous ne connaissons pas encore très bien
les effets que provoquent ces micro-ondes pulsées sur le cortex cérébral de l’humain.
Nous savons cependant que les sens sont perturbés, et que le témoin juge alors plutôt mal sa relation
espace-temps lorsqu’il se trouve en présence « rapprochée » d’un OVNI. Ainsi, sa NATURE
RÉELLE semble être le fruit d’une technologie très en avance sur la nôtre. Ça, nous le savons
depuis au moins le mois de janvier de l’année 1994.
Pourquoi ? Parce qu’à cette époque, un pilote d’Air France, aux commandes d’un Airbus A-320 en
provenance de Nice, en direction de Londres, a été témoin, avec sa co-pilote, du passage d’un
OVNI à 30000 pieds (environ 9000 mètres) au moins d’altitude (comme celle de son zinc), et que
des radars militaires au sol l’ont détecté ! Les propos du pilote Jean-Charles Duboc, que j’ai eu
l’occasion d’interviewer (entrevue disponible sur le site Ovni-Alerte, section émissions Contacts
Chocs), sont assez révélateurs : ce disque lumineux se moquait totalement des lois de la physique !
Je le répète, nous ne savons pas encore fabriquer d’engins volants capables de produire des
performances aérodynamiques comparables à ce que des témoins expérimentés nous décrivent.
Pour ce qui est de l’HET (Hypothèse Extra-Terrestre) : elle demeure intéressante, et je la
considérerai toujours, mais ce n’est pas la seule explication valable pour nous aider à comprendre la
présence de ces engins silencieux dans nos cieux, et ce n’est pas non plus la meilleure hypothèse de
travail ! Il y en a d’autres !
Notre physique a évolué, entre autres la physique signée Sakharov et Hawking. Nous savons
construire des univers à plusieurs dimensions, voire 100 dimensions ! Sur papier, ça fonctionne. Il
ne reste plus qu’à les vérifier via les observations grâce aux télescopes, aux radiotélescopes ainsi
qu’aux satellites présentement en orbite. Il faut du temps, de l’argent, des ressources humaines, des
labos disponibles et surtout, surtout, de la VOLONTÉ !
Un jour, tout sera connu et su…
Pour le moment, je penche sur cette idée : nous sommes en présence d’une intelligence « nonhumaine
» qui utilise une technologie capable de provoquer « accidentellement » une cassure dans
le continuum espace-temps, créant du coup un « corridor » assez étroit et fini. Si le témoin se trouve
à la bonne place, et au bon moment, il « verra » l’OVNI tel quel, sinon l’OVNI (ce transformateur
de réalité), lui apparaîtra comme s’il observait le… réel à travers un kaléidoscope ! Tout semblera
déformé, irréel et surtout illogique. Son discours (au témoin), paraîtra toujours confus, voire
absurde à cause, entre autres, des effets secondaires des micro-ondes pulsées dont son cerveau aura
été bombardé pendant un temps « x ». Les effets seront inversement proportionnels au carré de la
distance séparant l’OVNI du témoin.
En d’autres termes, plus la distance entre le témoin et l’OVNI sera courte, plus grands seront les
effets néfastes sur son cortex cérébral et plus inintelligible paraîtra son discours. Surtout si le témoin
se trouve parfaitement aligné dans l’axe du « corridor » créé par la présence de… ce transformateur
de réalité. Son témoignage pourra même paraître totalement différent d’un autre témoin situé lui, à
quelques centaines de pas de la position du premier, d’où l’énorme difficulté présentement à aligner
deux témoignages parfaitement identiques.
En conclusion, et je sais pertinemment que ce qui va suivre n’est qu’une spéculation, mais spéculer
appartient également à la démarche épistémologique que je m’impose : les OVNI pourraient bien
être le fruit d’une technologie d’êtres intelligents, vivant à la même place que nous mais dans un
TEMPS différent ! Ces êtres peuvent alors n’être qu’une seconde en avance sur notre temps, ou
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