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"Ce programme est interrompu suite à une invasion de zombies"

Des pirates informatiques sont parvenus à prendre le contrôle d'une chaîne de télévision américaine pour diffuser une alerte aux zombies.
Les téléspectateurs de la station KRTV Great Falls dans le Montana aux Etats-Unis, n'en ont pas cru leurs yeux lorsque le talkshow qui était diffusé, ce lundi, a été interrompu par un message audio accompagné d'un bandeau déroulant annonçant une invasion de zombies.

"Les autorités civiles de votre zone signalent que les morts sortent de leurs tombes et attaquent les vivants", indiquait une drôle de voix selon laquelle ces zombies étaient très dangereux et qu'ils ne fallait en aucun cas essayer de les approcher.



Bien entendu, il n'en était rien. Cette annonce est l'oeuvre d'un petit plaisantin qui est parvenu à prendre le contrôle de la chaîne de télévision pour diffuser cette drôle d'annonce. KRTV a d'ailleurs rapidement démenti l'information et a présenté ses excuses sur sa page Facebook.

"Quelqu'un apparemment piraté le système d'alerte d'urgence et annoncé que des zombies sortaient de leur tombees dans plusieurs comtés du Montana. Ce message ne provient pas de KRTV et il n'y a pas d'urgence". Mais un message identique est à nouveau survenu, au cours d'une émission de télé-shopping cette fois.



Selon le Great Falls Tribune, cette fausse alerte n'a, heureusement, généré que quatre d'appels d'urgence de la part de personnes qui se posaient des questions sur la véracité de cette annonce.

Une enquête a été ouverte par la police de Great Falls pour tenter de déterminer qui est à l'origine de cette plaisanterie. De leurs côtés les ingénieurs de la chaîne de télévision tentent également de comprendre la faille qui a permis au hacker de s'introduire dans leur système.

Il l'accusait de téléporter et tuer ses vaches par Internet

Châtain. Il soupçonnait son voisin de téléporter ses vaches par Internet et de les tuer. L’éleveur avait débarqué avec un fusil chez le négociant en bestiaux.

Ce jour-là, le 28 septembre 2012, Gérard avait pris de quoi tuer du gros gibier. Une poignée de cartouches de brenneke dans les poches et quatre étuis glissés dans le magasin du fusil, il était parti chez Bernard, son voisin des Vignes. Bien décidé à s'expliquer avec ce négociant en bestiaux qu'il accuse de tous les maux. Il avait sonné à sa porte à 6 h 30. Bernard Decelle attendait son fils. Il avait vu débouler Gérard Patrier et son fusil.

La faute au diabète

« Il m'a dit je vais te tuer », raconte Bernard qui parle comme une mitraillette. Physique de taureau, Bernard ne s'en laisse pas compter. Les bêtes à cornes ne lui font pas peur, alors, son voisin, il en fait son affaire. Il lui prend l'arme. Menacé, il menace à son tour Gérard de « lui caresser les oreilles », il lui enverra d'ailleurs un " bourre pif ".
Dans la confusion du moment un coup de feu part. Le canon est dévié. La balle explose l'évier et les gaz viennent brûler le ventre du négociant en bestiaux.

Déconcertant

Gérard voulait-il le tuer ou lui faire peur ? C'est toute la question, tournée dans tous les sens, hier matin. Et, la présidente a eu bien du mal à cerner Gérard, dont les déclarations étaient souvent déconcertantes.
« Pourquoi avoir pris un fusil ? » « C'était de la dissuasion », répond Gérard. « D'accord, mais pourquoi avoir mis de cartouches ? » « C'était de la dissuasion »

Dans la voiture

« J'aurais compris si vous les aviez mises dans l'arme devant M. Decelle, mais vous avez fait ça seul dans votre voiture ! Après, vous dites que vous vouliez le tuer et que vous avez changé d'avis quand il a ouvert la porte. »
Le point de départ de ce coup de folie n'est pas plus clair. Gérard s'est persuadé que le négociant lui en voulait. Il l'accuse de téléporter ses vaches hors de leur enclos par Internet avant de les abattre ! Du pur délire dont Gérard convient. « Je n'étais pas dans mon état normal. J'avais du diabète. J'en avais marre d'être harcelé avec ses bêtes qui venaient dans mon champ. »
Interné pendant trois mois après les faits, tout ne semble pas entièrement clarifié dans l'esprit de Gérard. Le psychiatre le décrit comme paranoïaque, en proie à des délires, et potentiellement dangereux. Mais son état n'a pas aboli son jugement le jour des faits.
« Cette audience soulève plus de questions qu'elle n'apporte de réponses », relève Me Takhedmit, avocat de Bernard. « Il ne reconnaît rien au final. Il dit même que ce n'est pas lui qui a tiré. »

Tiré pas tiré ?

Le procureur requiert trois ans de prison avec sursis, contre cet inconnu de la justice, et trois ans de mise à l'épreuve. Ainsi qu'une série d'interdictions : contact avec la victime, détention d'arme, et domicile.
Le tribunal suivra ces réquisitions, malgré la plaidoirie de Me Brottier, qui assure que son client n'a pas cherché à tirer délibérément sur son voisin.

Une tentative d'assassinat ?

L'avocat de Bernard le soutient mordicus : ce 28 septembre 2012, son client a échappé à une tentative de meurtre, voire même d'assassinat.
C'était d'ailleurs le sens du PV de synthèse dressé par les gendarmes après les faits. Le parquet en a décidé autrement, estimant que les faits relevaient plutôt de violences avec arme suivie d'une ITT de plus de huit jours.
« Votre tribunal peut se déclarer incompétent pour juger cette affaire. Quand les faits sont susceptibles de relever d'une qualification criminelle ils doivent faire l'objet d'une instruction. On aurait pu faire une reconstitution et une expertise balistique pour voir ce qui s'était passé exactement avec cette arme et voir qui dit vrai et qui a tort », explique Lee Takhedmit.
Le tribunal a rejeté aussi bien la déclaration d'incompétence que le supplément d'information réclamé par la défense.

Pologne : Auchan reçoit de la cocaïne à la place de bananes

Une centaine de kilos de cocaïne ont été retrouvés dans des cartons de bananes destinées à être vendues dans les enseignes polonaises du groupe Auchan.

Une centaine de kilos de cocaïne ont été saisis dans des cartons de bananes livrés à des magasins de la chaîne de grande distribution Auchan en Pologne, ont rapporté vendredi des médias polonais. « Une enquête est en cours et je ne peux fournir aucun commentaire sur cette question », a déclaré à l'AFP Dorota Patejko, porte-parole de la chaîne Auchan en Pologne.

La drogue a été découverte au début de la semaine dans deux magasins à Katowice et Raciborz (sud), selon le site du journal régional Gazeta Wyborcza. Interrogé par l'AFP, un porte-parole de la police a refusé « pour le moment » de commenter l'affaire.

Un mois plus tôt, une saisie semblable d'une trentaine de kilos de cocaïne avait été effectuée dans un site de mûrissage de bananes à Zgorzelec (sud-ouest), près de la frontière allemande. Selon l'agence PAP, citant la police, la drogue en provenance d'Equateur via la Belgique y avait été acheminée « par erreur ».

Première implantation du groupe en Europe centrale, la Pologne compte 26 hypermarchés à l'enseigne Auchan. Vingt-deux sont détenus à 100% et quatre le sont par Schiever Polska, filiale à 50% du groupe Auchan et à 50% du groupe Schiever. L'enseigne est reconnue pour sa place de leader en positionnement prix sur toutes ses zones de chalandise. Le groupe a également créé deux enseignes de supermarchés : Elea et A-tak. Leur transformation à l'enseigne Simply Market a démarré en 2008. En 2009, le 500e hypermarché appartenant au géant français de la grande distribution était ouvert à dans la banlieue de Cracovie.

Schattenjägger a écrit:Ils ont l'air choqué, pourtant la loi est la même pour tout le monde...!

Guidée par Dieu, une famille finit à la dérive

Epouvantés par l’évolution des mœurs dans leur pays, un couple et ses enfants ont fui les Etats-Unis à bord d’un voilier. Ils ont été sauvés in extremis.

Ils pensaient naviguer vers une nouvelle Terre promise. Une famille de chrétiens fondamentalistes américains a fini perdue au beau milieu du Pacifique. Quand un chalutier vénézuélien leur est venu en aide, près de trois mois plus tard, leur voilier avait été ravagé par plusieurs tempêtes. Les trois adultes, la fillette de 3 ans et le bébé à bord étaient éprouvés, mais en bonne santé. Toutefois, leur stock de nourriture était quasi épuisé. Il ne leur restait plus que «des jus de fruits et du miel».

Originaire de l’Arizona, la famille Gastonguay était partie début mai de San Diego (Californie) en direction des îles Kiribati, un petit archipel de Micronésie, à 5000km de là. Pour la maman, Hannah, l’expédition était un «acte de foi». Ces religieux fervents ne supportaient plus de payer leurs impôts aux Etats-Unis, patrie de l’«avortement, de l’homosexualité et d’une église contrôlée par l’Etat».

Leur sauvetage n’étonne guère la jeune maman de 26 ans. «Nous étions sûrs que Dieu nous tirerait de là», a-t-elle expliqué depuis le Chili, où la famille a retrouvé la terre ferme. Elle a prévu d'échafauder un nouveau projet en Arizona, où les cinq rescapés ont été rapatriés dimanche... aux frais du contribuable américain.