IstvanKadosa a écrit:mais pour cela il faut croire que l'on a été esprit avant de venir ici et qu'on le redeviendra à la mort du corps physique
si vous ne croyez pas à ces choses nous ne seront jamais d'accord,et je ne désire pas vous influencer dans un sens où l'autre, ceci est votre choix
Il ne s'agit pas de croire ou de ne pas croire ... quand tu soignes les gens ou ça marche ou ça ne marche pas, et "l'esprit" n'a rien à y voir.
Je ne "crois pas", j'étudie ...
On va dire qu'il s'agit plus d'une interprétation "des mots" utilisés dans la mesure où il n'y a pas "un langage" commun.
Lorsque tu soignes, et selon les gens, tu utilises effectivement un "support" pour te "concentrer", ce n'est pas un esprit qui se concentre mais "la personne" qui va agir sur la "pathologie". Le support peut être une "prière" ou tout simplement une focalisation sur la zone à soigner. Un peu comme lorsque tu médites justement, ou tu apprends à te "focaliser" sur une "seule" pensée ou sur un "seul" objet. Ta pensée peut être pour la personne qui souffre ou bien un appel à une déité ou à tout autre "objet" de concentration. Pour moi tout est lié à mon cerveau, mes sens et mon corps. D'où justement cette fatigue générale quand une séance est terminée.
Maintenant pour revenir à la question de Schatten, je pense qu'il existe une "mémoire commune".
Je m'explique :
Nous mémorisons inconsciemment "les gestuelles", "la démarche" les "odeurs", les "traits du visage", "les habitudes", "la voix", des personnes que nous côtoyons. Après leur mort "ses souvenirs inconscients" via le vide qu'elles vont laisser, vont ressurgir inconsciemment, que nous y soyons attachés ou non, que les relations aient été agréables ou non. Les caractéristiques d'une personne sont intimement liés à nos propres souvenirs partagés. Pour les personnes qui restent pour le peu que les liens aient été très forts, elles vont avant tout "s'efforcer" de na pas oublier le visage, le rire, la voix, mais aussi les "mots ou phrases clefs" que le défunt affectionnait, pour palier à l'absence créée par le décès.
On peut considérer aussi que ses souvenirs sont des "parties de mémoire" ndépendantes, parce que chaque personne en a des souvenirs "différents" selon les relations qu'ils entretenaient avec le défunt, et intriquées entre elles ou interdépendantes, s'agissant du même défunt. Une "mémoire collective" en somme. Et ces "signes" que nous entrevoyons ou interprétons comme ceux de la personne disparue, ne sont peut être justement que cet résurgence de ces morceaux de mémoire, qui permettent de ne pas effacer "le défunt" et de le garder encore "vivant" à une autre échelle, sur un autre plan.
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