Il y a, pour chaque communauté, ethnie ou race, des secrets que seuls les initiés sont les détenteurs. La communauté léboue établie à Ndakarou (de Toubab Djalaw à Ouakam) depuis des siècles ne fait pas exception à cette règle. Il existe dans cette large contrée des lieux mythiques où des esprits s’y incarnent, sous différentes formes. Pour la plupart, ce sont des demeures de génies ou de djinns. Ces lieux ont besoin d’un entretien particulier, car relevant d’un patrimoine sacré à préserver. La quiétude de la communauté en dépend largement.
![DAKAR, VILLE "HANTEE" 1531582-2043787](https://2img.net/h/www.xibar.net/photo/1531582-2043787.jpg)
Des bandes d’enfants sont éparpillées sur la plage de Yoff Warhar. Certains se jettent à l’eau de mer au fond de laquelle on aperçoit d’énormes rochers en basalte. Les enfants jouent au plongeon, sous les regards désintéressés de jeunes garçons et femmes massés sous des tentes. Lesquelles sont dressées le long de la petite plage sablonneuse. Les gamins se débattent dans les eaux. Avec innocence. Les lieux qu’ils ont l’habitude de fréquenter sont «le domaine privé d’un djinn», confesse le Djaraaf de Yoff, Mbaye Nguirane Mbengue. Les lieux sont caractérisés par la formation de deux «piscines» séparées par des blocs de pierres bien incrustés dans les eaux. Chaque piscine a sa spécificité. «On chasse le mauvais sort par un bain dans la piscine de droite et l’on attire les bienfaits dans celle de gauche», révèle M. Mbengue.
Lire la suite : http://www.xibar.net/CAHIER-DE-VACANCES-CROYANCES-POPULAIRES-DAKAR,-VILLE-HANTEE_a17755.html
![DAKAR, VILLE "HANTEE" 1531582-2043787](https://2img.net/h/www.xibar.net/photo/1531582-2043787.jpg)
Des bandes d’enfants sont éparpillées sur la plage de Yoff Warhar. Certains se jettent à l’eau de mer au fond de laquelle on aperçoit d’énormes rochers en basalte. Les enfants jouent au plongeon, sous les regards désintéressés de jeunes garçons et femmes massés sous des tentes. Lesquelles sont dressées le long de la petite plage sablonneuse. Les gamins se débattent dans les eaux. Avec innocence. Les lieux qu’ils ont l’habitude de fréquenter sont «le domaine privé d’un djinn», confesse le Djaraaf de Yoff, Mbaye Nguirane Mbengue. Les lieux sont caractérisés par la formation de deux «piscines» séparées par des blocs de pierres bien incrustés dans les eaux. Chaque piscine a sa spécificité. «On chasse le mauvais sort par un bain dans la piscine de droite et l’on attire les bienfaits dans celle de gauche», révèle M. Mbengue.
Lire la suite : http://www.xibar.net/CAHIER-DE-VACANCES-CROYANCES-POPULAIRES-DAKAR,-VILLE-HANTEE_a17755.html
» Il signale un OVNI et disparaît en plein vol : enquête sur la disparition inexplicable de ce pilote
» Mont-Saint-Michel - Le labyrinthe de l’archange | ARTE
» L'ISS en 1914 ?
» Le cas Alain Lamare
» L'actualité selon Truman M.....
» La France en 2024
» Pakistan : une frontière au bord de la guerre
» Alien Romulus
» SUR LES TRACES DU TITANIC
» prénonitions , signes du destin : ils y croient !
» L'info dans le monde - 2024
» Les bâtisseurs de Stonehenge | Enquêtes archéologiques | ARTE
» RETOURNER SUR LA LUNE, ÇA SERT À RIEN (12parsecs)
» Les reclus de Monflanquin