Des ''nains chauves cyclopes'' ont effrayé des adolescents argentins en 1988
En 1988, un article de presse argentin a fait état d’une rencontre entre quatre adolescents et un groupe d’humanoïdes de petite taille, chauves, à la peau semblable à celle d’une grenouille et dotés d’un œil unique. On ne sait toujours pas si ces entités étaient des extraterrestres, des êtres interdimensionnels ou si elles faisaient simplement partie d’un canular.
Dans la nuit du 27 octobre 1988, à Pergamino, en Argentine, les quatre adolescents se rendaient à la boîte de nuit Viajantes lorsqu’ils ont aperçu les créatures inhabituelles dans le parc.
Selon leur description, ces créatures étaient dépourvues de cheveux, avaient une peau rappelant celle des grenouilles et portaient un seul gros œil sur le visage.
Les êtres émettaient des « sons gutturaux », ce qui a plongé les adolescents dans un profond désarroi. Dès le lendemain matin, l’histoire a fait la une du journal local La Opinión avec le titre « Des extraterrestres ont-ils atterri à Pergamino ? », provoquant un choc et une peur généralisés dans toute la ville.
L’article, qui s’étend sur deux pages, présente des images d’empreintes particulières trouvées sur le sol, des interviews de témoins oculaires et, notamment, un dessin représentant l’apparence d’un nain cyclope, esquissé par l’un des adolescents témoins.
Le lieu exact de l’incident a été précisé comme étant « un tronçon de la rue 14 dans la zone du Parque General San Martín, à la limite du territoire du Club de Viajantes, près de la route nationale 188 ». Parmi les témoins figurent Christian Cassio, 14 ans, et trois jeunes de 19 ans : Javier Jauregui, Silvio Pena et Dario Duran.
Trois témoins ont déclaré avoir rencontré six « nains verts », tandis que l’un d’entre eux a insisté sur le fait qu’il y en avait cinq. Tous les quatre ont affirmé qu’en plus des bruits étranges, les nains faisaient des gestes avec leurs mains, tentant de communiquer.
Selon les adolescents, ils passaient devant le parc lorsque les étranges créatures ont soudainement émergé des buissons, ce qui les a fait fuir de peur. Le récit de Christian Cassio est le suivant :
« Ils étaient cinq, tous dénudés et parlaient de manière incompréhensible. Ils émettaient des sortes de gémissements gutturaux. Lorsqu’ils m’ont vu, ils m’ont tous immédiatement pointé du doigt. Ils mesuraient environ 70 centimètres. J’ai immédiatement fait un « saut olympique ».
« Après cela, mes amis et moi sommes allés à La Caminera, où nous avons raconté à tout le monde ce que nous avions vu, mais au début, ils ne nous ont pas crus. Plus tard, lorsqu’ils ont conclu que nous étions sains d’esprit, nous sommes tous retournés au Club de Viajantes. »
Le matin, en inspectant le parc à l’endroit où un groupe de nains aurait été vu, on découvrit d’étranges empreintes de pas sur le sol, comme si elles étaient humaines, mais comme si elles avaient été laissées par de petits enfants. Dans les jours qui suivirent, un véritable « pèlerinage » commença à cet endroit ; probablement tous les habitants de Pergamino qui pouvaient marcher s’y rendirent.
En interrogeant des employés du Club de Viajantes, on a appris qu’un épisode étrange s’était produit au même moment (00:30) que l’observation des nains. Voici le récit de l’employée Alicia Leal.
« Au fond de la salle à manger, une lumière est apparue, éclairant la pièce. Elle n’était pas identifiable et quelqu’un essayait d’ouvrir la porte. J’ai éteint toutes les lampes et j’ai immédiatement essayé de voir s’il s’agissait de voleurs. Je n’ai entendu aucun bruit ni aucune conversation. »
« Après quelques secondes, cette lumière s’est mise à bouger puis a disparu. Dans la rue, à une centaine de mètres, j’ai vu Hector Juan Martinez et l’un de mes petits-enfants, qui discutaient entre eux, mais ne voyaient apparemment rien d’anormal. »
« Je leur ai immédiatement raconté ce que j’avais vu, et une patrouille de police est immédiatement arrivée et nous a dit qu’elle avait vu un groupe de « nains verts ». Ce n’est qu’à ce moment-là que j’ai compris la situation. »
« Les jeunes qui disaient avoir vu ce qui pourrait être une sorte d’extraterrestre étaient très excités par ce qui s’était passé. J’ai également été étonné par le comportement du chien qui vit ici avec nous. Il n’a jamais aboyé alors qu’il se trouvait à proximité de l’endroit où j’ai vu la lumière ».
Hector Juan Martinez, interrogé par les journalistes, a confirmé qu’il n’avait rien vu ni entendu d’étrange lorsqu’il se trouvait à côté du club, et qu’il n’avait appris ce qui s’était passé qu’à l’arrivée de la police.
Hélas, dans les années qui suivirent, cette affaire ne s’éloigna guère des informations parues dans le journal, bien que des ufologues et des enquêteurs de police aient tenté de l’étudier.
Source - https://lesavoirperdudesanciens.com/2023/12/des-nains-chauves-cyclopes-ont-effraye-des-adolescents-argentins-en-1988/
En 1988, un article de presse argentin a fait état d’une rencontre entre quatre adolescents et un groupe d’humanoïdes de petite taille, chauves, à la peau semblable à celle d’une grenouille et dotés d’un œil unique. On ne sait toujours pas si ces entités étaient des extraterrestres, des êtres interdimensionnels ou si elles faisaient simplement partie d’un canular.
Dans la nuit du 27 octobre 1988, à Pergamino, en Argentine, les quatre adolescents se rendaient à la boîte de nuit Viajantes lorsqu’ils ont aperçu les créatures inhabituelles dans le parc.
Selon leur description, ces créatures étaient dépourvues de cheveux, avaient une peau rappelant celle des grenouilles et portaient un seul gros œil sur le visage.
Les êtres émettaient des « sons gutturaux », ce qui a plongé les adolescents dans un profond désarroi. Dès le lendemain matin, l’histoire a fait la une du journal local La Opinión avec le titre « Des extraterrestres ont-ils atterri à Pergamino ? », provoquant un choc et une peur généralisés dans toute la ville.
L’article, qui s’étend sur deux pages, présente des images d’empreintes particulières trouvées sur le sol, des interviews de témoins oculaires et, notamment, un dessin représentant l’apparence d’un nain cyclope, esquissé par l’un des adolescents témoins.
Le lieu exact de l’incident a été précisé comme étant « un tronçon de la rue 14 dans la zone du Parque General San Martín, à la limite du territoire du Club de Viajantes, près de la route nationale 188 ». Parmi les témoins figurent Christian Cassio, 14 ans, et trois jeunes de 19 ans : Javier Jauregui, Silvio Pena et Dario Duran.
Trois témoins ont déclaré avoir rencontré six « nains verts », tandis que l’un d’entre eux a insisté sur le fait qu’il y en avait cinq. Tous les quatre ont affirmé qu’en plus des bruits étranges, les nains faisaient des gestes avec leurs mains, tentant de communiquer.
Selon les adolescents, ils passaient devant le parc lorsque les étranges créatures ont soudainement émergé des buissons, ce qui les a fait fuir de peur. Le récit de Christian Cassio est le suivant :
« Ils étaient cinq, tous dénudés et parlaient de manière incompréhensible. Ils émettaient des sortes de gémissements gutturaux. Lorsqu’ils m’ont vu, ils m’ont tous immédiatement pointé du doigt. Ils mesuraient environ 70 centimètres. J’ai immédiatement fait un « saut olympique ».
« Après cela, mes amis et moi sommes allés à La Caminera, où nous avons raconté à tout le monde ce que nous avions vu, mais au début, ils ne nous ont pas crus. Plus tard, lorsqu’ils ont conclu que nous étions sains d’esprit, nous sommes tous retournés au Club de Viajantes. »
Le matin, en inspectant le parc à l’endroit où un groupe de nains aurait été vu, on découvrit d’étranges empreintes de pas sur le sol, comme si elles étaient humaines, mais comme si elles avaient été laissées par de petits enfants. Dans les jours qui suivirent, un véritable « pèlerinage » commença à cet endroit ; probablement tous les habitants de Pergamino qui pouvaient marcher s’y rendirent.
En interrogeant des employés du Club de Viajantes, on a appris qu’un épisode étrange s’était produit au même moment (00:30) que l’observation des nains. Voici le récit de l’employée Alicia Leal.
« Au fond de la salle à manger, une lumière est apparue, éclairant la pièce. Elle n’était pas identifiable et quelqu’un essayait d’ouvrir la porte. J’ai éteint toutes les lampes et j’ai immédiatement essayé de voir s’il s’agissait de voleurs. Je n’ai entendu aucun bruit ni aucune conversation. »
« Après quelques secondes, cette lumière s’est mise à bouger puis a disparu. Dans la rue, à une centaine de mètres, j’ai vu Hector Juan Martinez et l’un de mes petits-enfants, qui discutaient entre eux, mais ne voyaient apparemment rien d’anormal. »
« Je leur ai immédiatement raconté ce que j’avais vu, et une patrouille de police est immédiatement arrivée et nous a dit qu’elle avait vu un groupe de « nains verts ». Ce n’est qu’à ce moment-là que j’ai compris la situation. »
« Les jeunes qui disaient avoir vu ce qui pourrait être une sorte d’extraterrestre étaient très excités par ce qui s’était passé. J’ai également été étonné par le comportement du chien qui vit ici avec nous. Il n’a jamais aboyé alors qu’il se trouvait à proximité de l’endroit où j’ai vu la lumière ».
Hector Juan Martinez, interrogé par les journalistes, a confirmé qu’il n’avait rien vu ni entendu d’étrange lorsqu’il se trouvait à côté du club, et qu’il n’avait appris ce qui s’était passé qu’à l’arrivée de la police.
Hélas, dans les années qui suivirent, cette affaire ne s’éloigna guère des informations parues dans le journal, bien que des ufologues et des enquêteurs de police aient tenté de l’étudier.
Source - https://lesavoirperdudesanciens.com/2023/12/des-nains-chauves-cyclopes-ont-effraye-des-adolescents-argentins-en-1988/
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