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polution majeur en nouvelle calédonie a l'acide sulfurique, Vale Inco responsable

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Message par alpacks Lun 13 Avr - 23:09

il y a des infos très graves d'atteinte majeure a l'environement qu'on évite apperement soigneusement de nous parler, et pourtant c'est un fait très grave qui vient d'arriver en nouv. calédonie le territoire français d'outre mer en océanie

Vale Inco est l'employeur principal de l'ile, 3 ème groupe minier mondial d'origine du brésil ou est son siège social, il y exploite du nikel et du cobalt sur l'un des plus grand site minier de nikel au monde

zéro information, pas un mot en national, alors qu'il s'agit ni plus ni moins que d'une atteinte majeure sur un site classé par l'UNESCO a l'acide suffurique quasi pur ... il s'agit d'un des plus beau site coralien mondial que l'UNESCO par sa classification voulait proteger a tout prix ... ben maintenant c'est rapé

a l'heure actuel, pas un animal vivant n'a été revu depuis le drame bien que l'acide avec les marées a du maintenant etre dilué et il doit en rester peu de trace, tout vivant dans la zone de polution a été exterminé brulé ...

il faudra aller sur les sites d'info RFO et des sites web de la calédonie pour pouvoir apprendre les faits pourtant d'une gravité sans precedent depuis plusieurs decenies
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Message par alpacks Lun 13 Avr - 23:10

http://www.province-sud.nc/actualites/environnement/1372-vale-inco-sous-haute-surveillance

Vale Inco sous haute surveillance


A pollution sans précédent, réponse de la même ampleur. La province Sud a stoppé la production d'acide de l'usine du Sud. Elle a également mis en demeure l'exploitant d'évaluer précisément, et à ses frais, le préjudice environnemental. Et de le réparer.

Mercredi 1er avril, 12h02, des milliers de litres d'acide sulfurique s'échappent de l'usine du Sud. Ils se déversent dans le creek de la Baie Nord. Des barrages de calcaire sont mis en place pour neutraliser l'acidité du composant. C'est bien entendu trop tard. Dans le creek et jusqu'à la mer, faune et flore sont dévastées. Crevettes et poissons brûlés.

Dysfonctionnement majeur : la Province n'est alertée que le lendemain matin, le 2 avril. Elle dépêche immédiatement sur place deux inspecteurs des installations classées de la DIMENC (direction de l'Industrie des mines et de l'Energie de la Nouvelle-Calédonie), qui agit pour le compte de la province Sud dans le cadre de l'application de la réglementation ICPE (Installations classées pour la protection de l'environnement), ainsi que des agents assermentés de la direction de l'Environnement (DENV) chargés du suivi et de la protection des milieux.



Catastrophe écologique

Ils ne peuvent que constater les dégâts. Ce qui avait été qualifié d' « incident technique » par Vale Inco, dans un premier communiqué, est en fait une catastrophe écologique. Dans le creek de la baie Nord, dans les jours qui ont suivi l'accident, plus aucun animal vivant n'avait été observé. D'ores et déjà, 3 000 poissons morts ont été recensés, dont certains appartenant à des espèces protégées. 150 anguilles ont également été repêchées dans le cours d'eau, ainsi que 600 crevettes. La zone maritime, située à 2 km de l'endroit où l'acide s'est déversé, a également été touchée puisque des picots morts ont été découverts. Or, il s'agit ni plus ni moins de la zone tampon protégeant l'un des six sites inscrits au patrimoine mondial de l'Unesco... Le 3 avril, une nouvelle délégation de la DENV et de la DIMENC se rend à nouveau sur place, menée par Philippe Gomès, président de la province Sud. Et elle demande des comptes, exige des réponses aux questions que tout le monde se pose.



Que s'est-il passé ?

Une importante fuite s'est produite dans les circuits de l'usine de fabrication d'acide qui était en phase de démarrage (commissionning). Un joint défectueux serait à l'origine du drame. La pression du jet était tellement forte (4 bars) qu'une partie a été projetée en dehors de la cuvette de rétention et a ruisselé à l'extérieur. Le «bassin de premier flot», censé recueillir les eaux de ruissellement, aurait du récupérer cette fuite. Sauf qu'il était en travaux à ce moment précis et que les vannes étaient fermées. Vale Inco estime à quinze minutes le délai entre le début de la fuite et l'ouverture de ces vannes. Quinze longues minutes durant lesquelles les flots d'acide (2 500 litres selon l'industriel) concentré à 98 % se sont déversés dans trois bassins de sédimentation, avant d'aboutir dans le creek de la Baie Nord.



Pourquoi avoir attendu si longtemps pour prévenir les autorités ?

Jean-François David, le directeur général délégué de Vale Inco Nouvelle-Calédonie, a affirmé qu'« il y avait eu tentative de contact dans les quatre heures qui ont suivi l'accident » et qu' « une réflexion commune sur le mode de communication devait être engagée ». Dans les faits, cette tentative se résume à un message laissé sur un téléphone portable. Ni fax, ni mail n'ont été envoyés à la Direction de l'environnement. « C'est largement insuffisant, contraire aux prescriptions les plus élémentaires », souligne François Leborgne, chargé du suivi environnemental du complexe industriel et minier à la DENV.



Quelles ont été les mesures prises par la Province ?

Dès le 2 avril, la province Sud a ordonné l'arrêt de toute production d'acide jusqu'à nouvel ordre. « Le 3 avril, nous avons mis en demeure l'exploitant de remettre en état, sous quatre jours, le bassin de premier flot, afin de disposer d'un système de sécurité opérationnel, explique Philippe Gomès. Nous lui avons également demandé d'évaluer précisément, à ses frais, le préjudice à court, moyen et long terme, de la fuite ». Le président de la province Sud poursuit : « nous ferons jouer la responsabilité environnementale de l'entreprise pour les dommages sur le patrimoine naturel. Et nous lui demanderons de réparer elle-même les dégâts». Le rapport des inspecteurs des installations classées a été transmis au procureur de la République, pour solliciter la mise en œuvre immédiate des sanctions administratives et pénales prévues par le code de l'environnement. Une enquête est en cours. Pour la première fois en Calédonie, dans le cadre d'un accident industriel, le pollueur devrait être aussi le payeur.

Lors de l'assemblée générale constitutive de l'Oeil (Observatoire et l'information sur l'environnement), le 8 avril, Philippe Gomès l'a très fermement rappelé : « au-delà des sanctions administratives et pénales qu'elle encourt, Vale Inco, qui a montré de graves lacunes en termes de management, devra en tirer les enseignements A tous les échelons de l'entreprise ». A bon entendeur...


Pourquoi de l'acide sulfurique ?

Le fonctionnement de l'usine du Sud repose sur l'hydrométallurgie. Dans un premier temps, le minerai est mélangé à de l'eau pour former une pulpe, acheminée ensuite par pipeline de la mine à l'usine. Cette pulpe est alors préchauffée, puis injectée dans un four à haute pression, où elle est mêlée à de l'acide sulfurique. Il s'agit de la « lixiviation », méthode qui consiste à dissoudre le minerai avec de l'acide, afin d'extraire le nickel et le cobalt, deux métaux que Vale Inco a prévu de commercialiser. Une grande quantité d'acide sulfurique est donc nécessaire pour assurer la production de nickel (60 000 tonnes par an) et de cobalt (4 500 tonnes par an). C'est pourquoi Vale Inco a édifié sur le site une usine de production d'acide. Celle-là même dont se sont échappés, le 1er avril, plusieurs milliers de litres d'acide.
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Message par alpacks Lun 13 Avr - 23:11

http://nouvellecaledonie.rfo.fr/infos/actualites/environnement-vale-inco-en-mauvaise-posture-apres-sa-pollution-a-lacide_2498.html


rfo Nouvelle-Calédonie \ Infos


Nouvelle-Calédonie

10/04/2009
ENVIRONNEMENT. Vale-Inco en mauvaise posture après sa pollution à l’acide

L’activité en Nouvelle-Calédonie de l’usine de nickel du brésilien Vale-Inco, en phase de tests, est momentanément suspendue après une pollution à l’acide qui a notamment touché une zone proche d’un site du récif corallien, inscrit au patrimoine de l’humanité de l’Unesco.

La province sud a ordonné vendredi 10 avril par arrêté la suspension pour six à huit semaines de 80% des installations de l’usine hydrométallurgique de nickel. La collectivité a en outre contraint le groupe minier à "consigner" la somme de 15 millions CFP (126.000 euros) correspondant au montant des travaux à réaliser sur un bassin de rétention.

Le 1er avril, un incident technique a provoqué le déversement d’au moins 2.500 litres d’acide sulfurique concentrée à 98% dans un cours d’eau. La province sud avait ensuite donné quatre jours à l’industriel pour réaliser ces travaux, gage de sécurité, mais ce délai n’a pas été respecté.
"Nous sommes en train d’évaluer l’impact de ces suspensions sur le calendrier initialement prévu", a déclaré Jean-François David, directeur général délégué de Vale-Inco Nouvelle-Calédonie, précisant que les travaux de construction se poursuivaient.

Pollution massive

Ce gigantesque complexe industriel, d’une capacité de 60.000 tonnes annuelles de nickel-métal, devait normalement entrer en production en juillet, peut-être en présence du président Nicolas Sarkozy, qui a programmé une visite sur le Caillou à cette époque.
La pollution a touché une rivière, qui se jette dans la baie de Prony, zone tampon du Grand lagon sud, l’un des six sites du récif corallien, inscrits en juillet 2008 au patrimoine mondial de l’Unesco. Des milliers de poissons et de crustacés, parmi lesquels des espèces endémiques, ont été détruits.

Colère des Calédoniens

Or, la lenteur avec laquelle le géant minier a prévenu les autorités ainsi que la poursuite des tests alors qu’un bassin était en travaux à l’unité d’acide a soulevé la colère en Nouvelle-Calédonie. "Ce qui s’est produit est scandaleux et Vale-Inco a mal réagi", a déclaré Yves Dassonville, haut-commissaire de la République en Nouvelle-Calédonie, rappelant que l’Etat est garant des conventions relatives à la biodiversité, signées lors de l’inscription du lagon néo-calédonien au patrimoine de l’Unesco.
Dans un courrier, il a demandé à l’industriel "une information pertinente" sur les circonstances de l’incident, "un descriptif des dégâts" et des "impacts constatés ou potentiels sur la zone tampon et le bien inscrit au patrimoine mondial".

Mercredi, plusieurs centaines de personnes avaient manifesté à l’appel d’organisations écologiques pour demander le départ du troisième groupe minier mondial.

De son côté, le président de la province sud Philippe Gomes a stigmatisé "les errements" et "les dysfonctionnements internes" de la société minière. "Nous assumons l’intégralité des conséquences", a déclaré Jean-François David, niant toute volonté de dissimulation et tout "désordre de procédure" dans la gestion de cette crise.

Depuis son démarrage, le chantier de l’usine chimique de Vale-Inco, qui rejettera des effluents dans le lagon, suscite des polémiques avec les populations locales. Le climat s’était cependant apaisé en septembre avec la signature d’un Pacte pour le développement durable, représentant 85 millions d’euros sur 30 an

Par Claudine Wery (AFP)
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Message par alpacks Lun 13 Avr - 23:12

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Message par alpacks Lun 13 Avr - 23:20

les nouvelles calédoniennes

http://www.lnc.nc/articles/article_70958_243531.htm


Pollution chimique à l’usine Vale Inco
Une importante fuite d’acide sulfurique s’est produite mercredi midi, alors que l’usine de Vale Inco testait ses installations. Entre 1 000 et 5 000 litres se seraient déversés sur le site et dans le creek de la baie Nord. Un chiffre sous-estimé, selon certaines sources. Si l’incident n’a fait aucun blessé, de nombreux poissons morts ont été ramassés. La fuite serait due à un joint défectueux et au fait que le bassin de rétention n’était pas opérationnel.

Des milliers de litres d’acide sulfurique qui se déversent sur le site de l’usine du Sud un 1er avril ? L’information n’a malheureusement rien d’un canular. L’incident s’est produit mercredi midi, alors que l’usine testait son unité de fabrication d’acide sulfurique. Selon la direction de la communication de l’industriel, une fuite « liée à un joint défectueux » est survenue au niveau des circuits de l’unité, déversant « entre 1 000 et 5 000 litres d’acide sulfurique sur le site industriel et vers le creek de la baie Nord ».
Dès que l’alerte a été donnée, les équipes environnementales de l’usine et les pompiers sont intervenus pour stopper l’incident. Des barrages de calcaire ont été mis en place pour neutraliser l’acidité du composant et des prélèvements d’eau ont été réalisés tous les 50 mètres pour évaluer les impacts de cette fuite.
Hier, en fin d’après-midi, soit une trentaine d’heures après la fuite, « la situation (était) pratiquement résorbée sur le site de l’usine » et « tout était revenu à la normale au niveau du creek », a affirmé la direction de la société.
L’incidence sur la faune, néanmoins, est bien réelle. Un PH évalué à 2 (ce qui représente une très forte acidité) a été enregistré en différents points du creek de la baie Nord. De nombreux poissons morts ont été ramassés par les équipes. Et on peut imaginer que les mollusques et les insectes aquatiques n’aient pu survivre, eux non plus, à une telle acidité.
Si la direction de Vale Inco s’est réjouie du fait que l’incident n’avait fait aucun blessé, certains salariés présents au moment de l’incident ont exprimé leurs inquiétudes face au « manque de sécurité pour le personnel et l’environnement ». Selon une source proche du chantier, le pire a pu être évité car la fuite s’est produite au moment de la pause déjeuner. Les travailleurs n’étaient donc pas sur le site au moment de l’accident. La quantité d’acide déversé, dont a fait part la direction, serait également en dessous de la réalité. Un témoin direct parle d’une fuite gravissime, de vingt à trente fois plus importante que celle annoncée par l’industriel (la capacité de stockage d’acide serait de 270 000 litres).

« Le flot s’est poursuivi sans autre barrière de sécurité vers le creek de la baie Nord »

Comment expliquer, en effet, que le bassin de rétention, prévu pour juguler ce type d’incident, n’ait pu contenir le liquide déversé ? Sa capacité était-elle trop faible ? A ce sujet, la direction reste vague. Tout au plus admet-elle qu’« une partie de l’acide a pu être récupérée par le bassin et le reste a ruisselé en direction du creek ».
La version de la province Sud, qui n’a été informée qu’hier de l’incident, au même titre que la sécurité civile, est autrement plus inquiétante. Selon la Maison bleue, « ce bassin était au même moment en réparation. Le flot s’est donc poursuivi sans autre barrière de sécurité vers le creek de la baie Nord. »
Chargée de l’environnement et de la réglementation ICPE (1), la province a vivement « condamn(é) la poursuite des essais de l’usine d’acide au moment même où les dispositifs de sécurité étaient en réfection ». Elle a également qualifié cette information tardive - rien n’aurait transpiré avant hier matin - d’« inacceptable » et « en infraction au regard des dispositions réglementaires. »
La direction de Vale Inco dit ne « pas (avoir) mesuré la gravité de l’incident au moment des faits ». Les mauvaises langues soufflent que l’industriel aurait plutôt joué la montre, l’acide sulfurique ayant pour partie disparu lorsque la Dimenc (2) a effectué, hier, ses relevés dans le creek. Vale Inco, qui poursuit actuellement sa phase de tests, a l’intention de produire du nickel au second semestre 2009.

Coralie Cochin et Samuel Ribot

(1) Installations classées pour la protection de l’environnement.
(2) Direction de l’industrie, des mines et des énergies de Nouvelle-Calédonie.
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Message par alpacks Lun 13 Avr - 23:22

on apprend donc qu'apperement l'usine aurait compté sur le temps et les marées en espérant que cela ne se remarque pas dans les analyses d'eau d'impact tout du moins que l'ampleur de la catastrophe soit masquée ...
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Message par alpacks Lun 13 Avr - 23:23

Repères
L’unité fermée jusqu’à nouvel ordre
Suite à cet incident, une enquête a été ouverte en interne mais aussi au niveau de la gendarmerie du Mont-Dore. « L’unité d’acide a été arrêtée jusqu’à nouvel ordre », a annoncé la direction de l’usine.

Choc écologique
Selon Philippe Borsa, biologiste marin à l’IRD, « 80 % des poissons des rivières du Sud sont des espèces endémiques à la Nouvelle-Calédonie et une partie d’entre eux ne se trouvent que dans les creeks des terrains latéritiques dits “miniers” du Sud... » On peut donc qualifier cet incident de choc sérieux d’un point de vue environnemental.

Un an pour évaluer les impacts
Directement associé à l’observatoire de surveillance de l’usine, l’IRD a apporté, hier, un certain nombre de recommandations. Evolution de la fluidité du creek, plan de neutralisation de l’acide, comptage des poissons morts, impact sur le lagon et sur la flore... Pour Fabrice Colin, directeur de l’IRD, « toutes ces mesures doivent être prises très rapidement ». Le hic, c’est que l’industriel n’a prévenu que tardivement les autorités. « Nous devons nous appuyer sur cette expérience condamnable pour tirer des solutions. Il faudra bien une année pour évaluer les impacts de cet incident », estime Fabrice Colin.

Silence radio
Aucune trace de l’incident hier sur les sites Internet de la province Sud, de Vale Inco ou de la Dimenc. A l’heure où l’information, notamment en matière de sécurité environnementale, a les moyens de voyager vite, la toile est restée muette sur cet incident, à l’exception notable du Codefsud (Coordination de défense du Sud) et des sites d’information, ces derniers ayant instantanément relayé une dépêche rédigée par le bureau AFP de Nouméa.
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