L’intrication quantique observée sur des objets presque macroscopiques

LaRéponse a écrit:

Nicolas Eymerich a écrit:Voilà une rhétorique que j'apprécie car elle me rappelle tant de souvenirs...

Nié vous l'existence de biais cognitifs dans le coté sélectifs de nos souvenir ?
Il y a une littérature abondante sur le sujet.

Quand au biais méthodologique, on ne va pas les lister, ce serait trop long !
Le cadre de l'expérience est complètement hors contrôle, il est impossible de vérifier les différent éléments qui pourrait biaisé le résultat.

Je constate que vous êtes muet sur l'expérience de Munich ... étrange, ou pas tant que cela .

Amicalement,
LaRéponse

Moi je ne nie rien, mais j'insisterais volontiers sur l'étude fort utile du Bescherelle.

Allons Nicolas, Munich devrait bien te rappeler quelque chose !  

Moi, ce que j'aimerais savoir, c'est comment un sourcier peut faire dans une petite pièce entièrement close où tout est contrôlé ? Il a le droit de bouger  ou il est obligé de rester assis sur une chaise ?
Vous refuser en bloc tout ce qui ne sort pas d'un labo... Est ce qu'on est réel pour vous ?

Charlie a écrit:Allons Nicolas, Munich devrait bien te rappeler quelque chose !  

Jawohl!

Ne connaissant pas cette expérience de Munich, j'ai cherché un peu sur le net...
Rien trouvé de bien extraordinaire dans les compte rendu (mais en est-ce bien ?) que j'ai pu parcourir...
Même la méthodologie semble suspecte... Un cylindre, dont les dimensions ne sont pas nommé sur les site que j'ai pu voir, est déplacé aléatoirement sous le sol par différentes personnes qui ne communiquent pas entre elles... Donc on peu en déduire qu'aucun des candidats n'a eu les mêmes conditions... Comment peut-on en tirer des conclusions valables, le cylindre pouvant bouger toutes les minutes, ou presque.... ? Quelle était la nature du sol ? son épaisseur ? La nature du sous-sol si en rez-de-chaussée ? La quantité d'eau dans le cylindre ? La nature du cylindre ? le temps accordé à chaque candidat ? Toutes ces données ne sont pas fournies par ces sites... Et comme je ne parle pas allemand... D'ailleurs, je n'ai même pas trouvé le compte rendu original...
J'espère juste que le cylindre était plus gros que celui pour étudier la torsion de métal "à distance"... Un sourcier cherche des sources, pas des flaques... Ce serait comme si on demandait à un détecteur de métaux de trouver au hasard de la poussière de fer mélanger dans le sol...