Toucher la mort du bout des doigts
La mort est omniprésente dans la vie de l'homme, mais elle nous met pourtant très mal à l'aise, non seulement pour ce qu'elle représente, mais aussi parce qu'à ce jour, nous ne savons pas ce qui nous arrive après. Nous en avons peur, d'où ses tabous que nous construisons autour d'elle, comme pour nous en protéger. Nous tenons donc les morts à distance et la vue d'un cadavre peu nous choquer, à vie.
Mais certains côtoient la mort chaque jour, malgré leur aversion quelques-fois. Il faut avouer que nous autres leur devons une fière chandelle, car nous n'avons pas à le faire, puisqu'ils sont là pour ça !
Aux Philippines, les morts sont exhumés à mains nues à cause de la surpopulation, il faut en effet faire place nette dans les cimetières pour accueillir les nouveaux arrivants fraîchement débarqués. Il ne nous viendrait jamais à l'idée de déranger nos morts pour gagner de la place, mais il semble que ces gens n'aient d'autres choix. Là-bas, les concessions se louent pour une durée de cinq ans, après quoi les tombeaux sont ouverts et les restes des cadavres ôtés. Des hommes sont payés pour cela, mais ne sont pas pour autant insensibles à l'odeur et au dégoût, personne ne peut en effet s'habituer à cela.
Il en est de même en Thaïlande, sauf que les restes des défunts ne sont pas entassés en désordre dans une boite, mais bénis, purifiés et incinérés. Le sacrilège est tout de même plus doux et moins brutal. En Inde, toucher à un cadavre revient à se souiller, c'est pour cette raison que ceux qui y touchent sont relégués au plus bas de l'échelle sociale.
Aux états-Unis, les médecins légistes n'hésitent pas à faire fructifier leurs entreprises en proposant leurs services aux plus offrants. Ils font des autopsies un business juteux et font de larges profits.
Il ne faut pas confondre scènes d'autopsie dans les séries américaines avec celles qui se déroulent dans la vraie vie, puisqu'elles n'ont rien à voir. La réalité est que même dans ce métier, la monotonie et le train-train quotidien s'installe.
Dans notre culture, nous ne voyons rien de mal à la pratique d'une autopsie, mais certaines cultures y voient quant à elles un sacrilèges et pensent qu'il ne faut absolument pas profaner le corps d'un mort. Pourquoi ? Parce qu'elles sont certaines que l'esprit ou l'âme demeure encore. Les premiers chirurgiens étaient d'ailleurs emprisonnés pour avoir autopsié, donc profané des cadavres.
En Thaïlande, certains n'hésitent pas quant à eux à aller aider les âmes égarées après la mort. Ils vont sur les lieux d'accidents mortels pour aider l'esprit des morts à passer de l'autre côté en douceur. Ils n'hésitent pas également à ramasser les membres manquants, pour que les victimes soient complètes et puissent ainsi renaître dans leur vie future. C'est certes déstabilisant pour eux, mais absolument nécessaire spirituellement parlant. Mais là aussi les conflits existent, car d'autres leur mènent la guerre, notamment ceux qui donnent dans le trafic d'organes.
On a aisément pu le constater, le rapport à la mort est totalement diffèrent selon les pays et donc, les cultures.
La mort est omniprésente dans la vie de l'homme, mais elle nous met pourtant très mal à l'aise, non seulement pour ce qu'elle représente, mais aussi parce qu'à ce jour, nous ne savons pas ce qui nous arrive après. Nous en avons peur, d'où ses tabous que nous construisons autour d'elle, comme pour nous en protéger. Nous tenons donc les morts à distance et la vue d'un cadavre peu nous choquer, à vie.
Mais certains côtoient la mort chaque jour, malgré leur aversion quelques-fois. Il faut avouer que nous autres leur devons une fière chandelle, car nous n'avons pas à le faire, puisqu'ils sont là pour ça !
Aux Philippines, les morts sont exhumés à mains nues à cause de la surpopulation, il faut en effet faire place nette dans les cimetières pour accueillir les nouveaux arrivants fraîchement débarqués. Il ne nous viendrait jamais à l'idée de déranger nos morts pour gagner de la place, mais il semble que ces gens n'aient d'autres choix. Là-bas, les concessions se louent pour une durée de cinq ans, après quoi les tombeaux sont ouverts et les restes des cadavres ôtés. Des hommes sont payés pour cela, mais ne sont pas pour autant insensibles à l'odeur et au dégoût, personne ne peut en effet s'habituer à cela.
Il en est de même en Thaïlande, sauf que les restes des défunts ne sont pas entassés en désordre dans une boite, mais bénis, purifiés et incinérés. Le sacrilège est tout de même plus doux et moins brutal. En Inde, toucher à un cadavre revient à se souiller, c'est pour cette raison que ceux qui y touchent sont relégués au plus bas de l'échelle sociale.
Aux états-Unis, les médecins légistes n'hésitent pas à faire fructifier leurs entreprises en proposant leurs services aux plus offrants. Ils font des autopsies un business juteux et font de larges profits.
Il ne faut pas confondre scènes d'autopsie dans les séries américaines avec celles qui se déroulent dans la vraie vie, puisqu'elles n'ont rien à voir. La réalité est que même dans ce métier, la monotonie et le train-train quotidien s'installe.
Dans notre culture, nous ne voyons rien de mal à la pratique d'une autopsie, mais certaines cultures y voient quant à elles un sacrilèges et pensent qu'il ne faut absolument pas profaner le corps d'un mort. Pourquoi ? Parce qu'elles sont certaines que l'esprit ou l'âme demeure encore. Les premiers chirurgiens étaient d'ailleurs emprisonnés pour avoir autopsié, donc profané des cadavres.
En Thaïlande, certains n'hésitent pas quant à eux à aller aider les âmes égarées après la mort. Ils vont sur les lieux d'accidents mortels pour aider l'esprit des morts à passer de l'autre côté en douceur. Ils n'hésitent pas également à ramasser les membres manquants, pour que les victimes soient complètes et puissent ainsi renaître dans leur vie future. C'est certes déstabilisant pour eux, mais absolument nécessaire spirituellement parlant. Mais là aussi les conflits existent, car d'autres leur mènent la guerre, notamment ceux qui donnent dans le trafic d'organes.
On a aisément pu le constater, le rapport à la mort est totalement diffèrent selon les pays et donc, les cultures.
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