Les enlevés de l’Allagash

Quatre témoins, Jack Weiner, son frère Jim, Charlie Foltz et Charles Rak pour une même observation rapprochée, parfaitement mémorisée jusqu’à un certain moment. Quatre “victimes” d’un épisode de “missing time” (l’anecdote du feu de camp est plutôt parlante) et toujours cette sorte d’hébétude, de fatigue, comme après un rêve pénible.

Notons une fois de plus :

1/ La même ruralité profonde en terme de lieu d’observation.

2/ Une constance, dans le scénario de SF, révélé plus tard sous hypnose, lors de séances séparées.

3/ Le sentiment de communication produit par les “yeux” des soi-disant entités.

Qu’en déduire ? Rêves partagés (à quatre cette fois ci ??!!) Vaste canular estudiantin élaboré sur des bases ufologiques connues ?

Mais comment raisonnablement croire que ces hommes, maintenant mûrs lors des interviews de ce documentaire, continueraient à s’enferrer dans un tel mensonge des années après ?