Des annimaux retrouvé vivant dans des pierres
Retrouvés prisonniers dans des pierres telles que le calcaire, l'argile ou le grès voire, plus rarement, du charbon ou du bois, ces animaux présenteraient des signes de vie malgré leur enfermement prolongé. Bien que les animaux concernés soient généralement des grenouilles ou des crapauds, des lézards et des tritons auraient également été découverts....
Dans certains récits, ces animaux sont plein de vie dès leur exposition à l'air libre tandis que dans d'autres, plusieurs minutes sont nécessaires pour qu'ils reviennent à la vie

xemples historiques
Il existe de nombreux exemples historiques de ce phénomène. La liste chronologique qui suit n'est pas exhaustive :
Dans Historia rerum anglicarum, Guillaume de Newburgh évoque la découverte, en 1186, d'une grande pierre constituée de deux pierres plus petites liées par une substance adhésive qui cachait en son centre un crapaud vivant portant une chaîne en or autour de son cou.
En 1561, Ambroise Paré rapporte dans son Registre annuel de 1561 :
J'étais dans mon château, près de Meudon, et j'avais demandé à un cantonnier de me casser quelques pierres. Au milieu de l'une d'elles, il trouva un énorme crapaud, plein de vie, et sans que la moindre ouverture capable de lui laisser le passage soit visible. L'ouvrier me dit que ce n'était pas la première fois qu'il découvrait un crapaud, ou de telles autres bestioles, à l'intérieur d'énormes blocs de pierres.
Dans Gammarologia Curiosa, P.J. Sachs von Lewenheim rapporte avoir rendu visite en 1664 au comte Fürstenberg, qui possédait une pierre ronde contenant une grenouille qui coassait lorsqu'on la soulevait. La pierre aurait fini par être brisée et la grenouille, vivante, s'en serait échappée.
Dans Natural History of Staffordshire, publié en 1686, le professeur Robert Plot rapporte trois cas supplémentaires de grenouilles retrouvées dans des roches.
L'histoire des découvertes d'amphibiens dans des rochers s'étend sur plusieurs siècles
Le 8 mai 1733, une grosse grenouille vivante mais léthargique aurait été découverte dans un bloc de grès extrait à trois mètres sous terre.
En 1818, le géologue Edward D. Clarke affirme avoir découvert des tritons fossilisés à 80 mètres de profondeur dans une carrière de craie du crétacé, qui seraient revenus à la vie après avoir été exposés au soleil. Selon lui, ces tritons appartenaient à une espèce aujourd'hui éteinte et deux d'entre eux seraient morts rapidement, tandis que le troisième se serait enfui.

En 1821, un tailleur de pierre aurait découvert un lézard emprisonné dans un bloc provenant de six mètres de profondeur. L'animal serait revenu à la vie au bout de quelques minutes et se serait enfui.
En 1835, des ouvriers auraient découvert un crapaud vivant dans un bloc de grès rouge venant d'un mètre de profondeur, dont la peau, brune au départ, serait devenue noire au bout de quelques minutes. Il serait mort quelques jours après avoir été replacé dans la pierre.
En 1852, un crapaud vivant aurait été découvert dans une cavité tapissée de cristaux à l'intérieur d'un rocher provenant de quatre mètres de profondeur dans une mine de Pastwick, en Angleterre.
En juin 1851, une grenouille aurait été découverte à l'intérieur d'un gros silex, près de Blois, en France. La grenouille et la pierre ont été examinées par des naturalistes de l'époque, dont le zoologiste André Duméril, qui furent surpris par la correspondance entre la forme de la cavité et celle de la grenouille et qui ne purent trouver aucune preuve de trucage, malgré leur scepticisme initial.
En 1856, à Culmont (Haute-Marne), des ouvriers qui creusaient un tunnel ferroviaire auraient découvert une créature mystérieuse ressemblant à un ptérodactyle?, qui aurait poussé un cri avant de trépasser.
En 1876, 63 petits crapauds auraient été découverts au centre d'un tronc d'arbre de cinq mètres de diamètre, en Afrique du Sud.
En 1901, le naturaliste Charles Dawson fait don d'un bloc de silex contenant un crapaud momifié au musée Booth de Hove, qu'il doit avoir découvert dans une carrière du Sussex l'année précédente. Cependant, étant donné l'implication directe de Dawson dans le canular de l'homme de Piltdown, il s'agit très vraisemblablement d'un autre faux.
la suite - http://www.mysteredumonde.com/article/des-annimaux-retrouve-vivant-dans-des-pierres_7333.html
Retrouvés prisonniers dans des pierres telles que le calcaire, l'argile ou le grès voire, plus rarement, du charbon ou du bois, ces animaux présenteraient des signes de vie malgré leur enfermement prolongé. Bien que les animaux concernés soient généralement des grenouilles ou des crapauds, des lézards et des tritons auraient également été découverts....
Dans certains récits, ces animaux sont plein de vie dès leur exposition à l'air libre tandis que dans d'autres, plusieurs minutes sont nécessaires pour qu'ils reviennent à la vie

xemples historiques
Il existe de nombreux exemples historiques de ce phénomène. La liste chronologique qui suit n'est pas exhaustive :
Dans Historia rerum anglicarum, Guillaume de Newburgh évoque la découverte, en 1186, d'une grande pierre constituée de deux pierres plus petites liées par une substance adhésive qui cachait en son centre un crapaud vivant portant une chaîne en or autour de son cou.
En 1561, Ambroise Paré rapporte dans son Registre annuel de 1561 :
J'étais dans mon château, près de Meudon, et j'avais demandé à un cantonnier de me casser quelques pierres. Au milieu de l'une d'elles, il trouva un énorme crapaud, plein de vie, et sans que la moindre ouverture capable de lui laisser le passage soit visible. L'ouvrier me dit que ce n'était pas la première fois qu'il découvrait un crapaud, ou de telles autres bestioles, à l'intérieur d'énormes blocs de pierres.
Dans Gammarologia Curiosa, P.J. Sachs von Lewenheim rapporte avoir rendu visite en 1664 au comte Fürstenberg, qui possédait une pierre ronde contenant une grenouille qui coassait lorsqu'on la soulevait. La pierre aurait fini par être brisée et la grenouille, vivante, s'en serait échappée.
Dans Natural History of Staffordshire, publié en 1686, le professeur Robert Plot rapporte trois cas supplémentaires de grenouilles retrouvées dans des roches.
L'histoire des découvertes d'amphibiens dans des rochers s'étend sur plusieurs siècles
Le 8 mai 1733, une grosse grenouille vivante mais léthargique aurait été découverte dans un bloc de grès extrait à trois mètres sous terre.
En 1818, le géologue Edward D. Clarke affirme avoir découvert des tritons fossilisés à 80 mètres de profondeur dans une carrière de craie du crétacé, qui seraient revenus à la vie après avoir été exposés au soleil. Selon lui, ces tritons appartenaient à une espèce aujourd'hui éteinte et deux d'entre eux seraient morts rapidement, tandis que le troisième se serait enfui.

En 1821, un tailleur de pierre aurait découvert un lézard emprisonné dans un bloc provenant de six mètres de profondeur. L'animal serait revenu à la vie au bout de quelques minutes et se serait enfui.
En 1835, des ouvriers auraient découvert un crapaud vivant dans un bloc de grès rouge venant d'un mètre de profondeur, dont la peau, brune au départ, serait devenue noire au bout de quelques minutes. Il serait mort quelques jours après avoir été replacé dans la pierre.
En 1852, un crapaud vivant aurait été découvert dans une cavité tapissée de cristaux à l'intérieur d'un rocher provenant de quatre mètres de profondeur dans une mine de Pastwick, en Angleterre.
En juin 1851, une grenouille aurait été découverte à l'intérieur d'un gros silex, près de Blois, en France. La grenouille et la pierre ont été examinées par des naturalistes de l'époque, dont le zoologiste André Duméril, qui furent surpris par la correspondance entre la forme de la cavité et celle de la grenouille et qui ne purent trouver aucune preuve de trucage, malgré leur scepticisme initial.
En 1856, à Culmont (Haute-Marne), des ouvriers qui creusaient un tunnel ferroviaire auraient découvert une créature mystérieuse ressemblant à un ptérodactyle?, qui aurait poussé un cri avant de trépasser.
En 1876, 63 petits crapauds auraient été découverts au centre d'un tronc d'arbre de cinq mètres de diamètre, en Afrique du Sud.
En 1901, le naturaliste Charles Dawson fait don d'un bloc de silex contenant un crapaud momifié au musée Booth de Hove, qu'il doit avoir découvert dans une carrière du Sussex l'année précédente. Cependant, étant donné l'implication directe de Dawson dans le canular de l'homme de Piltdown, il s'agit très vraisemblablement d'un autre faux.
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