Une fusée à l'énergie nucléaire pourrait permettre d'aller sur Mars en 90 jours

Des chercheurs américains affirment avoir trouvé un moyen de faire marcher une navette spatiale à l’énergie nucléaire. Un tel procédé permettrait de se rendre sur Mars en à peine trois mois.
Les premiers humains à aller sur Mars voyageront-ils à bord d’un vaisseau propulsé à l’énergie nucléaire ? Si l’idée peut paraître totalement saugrenue, elle serait aussi tout à fait envisageable. D’après les chercheurs de MSNW – une société travaillant notamment sur les diverses méthodes de propulsion spatiale – de récents essais en laboratoire ont prouvé qu’un dispositif basé sur la fusion nucléaire permettrait de rallier la planète rouge en à peine 90 jours. Selon leur rapport, cette technologie pourrait voir le jour d’ici quelques décennies.
"C’est une réalité fondamentale" a assuré Anthony Pancotti, chef d’équipe chez MSNW, lors d’une conférence organisée en collaboration le FISO, un groupe de travail rassemblant des membres de la NASA, de l’industrie spatiale ainsi que des chercheurs dans différentes disciplines liées aux volshabités. "La fusion se produit dans le soleil, mais elle est aussi dans nos laboratoires", explique-t-il, relayé par Live Science.
Le nucléaire pour lutter contre les risques sanitaires
Avec les technologies actuelles, un aller-retour pour Mars prendrait environ 500 jours. Or, passer autant de temps dans l’espace pourrait s’avérer extrêmement risqué pour la santé des astronautes, qui seraient exposés à beaucoup de radiations et devraient suivre un programme de préparation très long pour limiter leur perte musculaire et osseuse. C’est pourquoi la NASA réfléchit depuis plusieurs mois à un système de propulsion plus rapide, pour pouvoir emmener des gens sur la planète rouge en minimisant les risques sanitaires.
Ce nouveau système, dont la réalisation a été confiée à une équipe du MSNW dirigée par John Slough, de l'Université de Washington, fait partie du programme NASA Innovative Advanced Concepts (NIAC). Pour l’heure, sa réalisation consisterait en la fusion de deutérium et de tritium – deux isotopes "lourds" de l'hydrogène et contenant par conséquent des neutrons.
http://www.laterredufutur.com/

Des chercheurs américains affirment avoir trouvé un moyen de faire marcher une navette spatiale à l’énergie nucléaire. Un tel procédé permettrait de se rendre sur Mars en à peine trois mois.
Les premiers humains à aller sur Mars voyageront-ils à bord d’un vaisseau propulsé à l’énergie nucléaire ? Si l’idée peut paraître totalement saugrenue, elle serait aussi tout à fait envisageable. D’après les chercheurs de MSNW – une société travaillant notamment sur les diverses méthodes de propulsion spatiale – de récents essais en laboratoire ont prouvé qu’un dispositif basé sur la fusion nucléaire permettrait de rallier la planète rouge en à peine 90 jours. Selon leur rapport, cette technologie pourrait voir le jour d’ici quelques décennies.
"C’est une réalité fondamentale" a assuré Anthony Pancotti, chef d’équipe chez MSNW, lors d’une conférence organisée en collaboration le FISO, un groupe de travail rassemblant des membres de la NASA, de l’industrie spatiale ainsi que des chercheurs dans différentes disciplines liées aux volshabités. "La fusion se produit dans le soleil, mais elle est aussi dans nos laboratoires", explique-t-il, relayé par Live Science.
Le nucléaire pour lutter contre les risques sanitaires
Avec les technologies actuelles, un aller-retour pour Mars prendrait environ 500 jours. Or, passer autant de temps dans l’espace pourrait s’avérer extrêmement risqué pour la santé des astronautes, qui seraient exposés à beaucoup de radiations et devraient suivre un programme de préparation très long pour limiter leur perte musculaire et osseuse. C’est pourquoi la NASA réfléchit depuis plusieurs mois à un système de propulsion plus rapide, pour pouvoir emmener des gens sur la planète rouge en minimisant les risques sanitaires.
Ce nouveau système, dont la réalisation a été confiée à une équipe du MSNW dirigée par John Slough, de l'Université de Washington, fait partie du programme NASA Innovative Advanced Concepts (NIAC). Pour l’heure, sa réalisation consisterait en la fusion de deutérium et de tritium – deux isotopes "lourds" de l'hydrogène et contenant par conséquent des neutrons.
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