Evo Morales : "Là où il y a un ambassadeur des USA, il y a un coup d’État"

Le Président Morales a affirmé que " là où il y a un Ambassadeur des USA, il y a un coup d’État (…), le seul pays où il n’y a pas de coup d’État, ce sont les USA ".
En ce sens, Morales a assuré que " je crains beaucoup le gouvernement usaméricain car je connais ses opérateurs politiques, il joue avec le narcotrafic pour nourrir ses intérêts géopolitiques."
"Je souhaite vivement améliorer les relations diplomatiques avec les USA, mais nous ne voulons pas que ces relations soient utilisées à des fins de conspiration, c’est pour cela que nous avons renvoyé leur ambassadeur en 2008 et je ne le regrette pas, car il fomentait une conspiration politique et mon devoir en tant que Président est de défendre la dignité de mon pays ", a affirmé Morales.
À l’occasion de sa conférence de presse à New York, le Président de la Bolivie Evo Morales a dit :" L'information qui nous arrive des USA, selon laquelle il y a deux mois l’avion présidentiel était consigné aux USA suite à la découverte de traces de cocaïne, est une nouvelle qui nous a surpris et alarmé. Cette année je n’avais pas voyagé une seule fois aux USA, ce voyage, aujourd’hui, est le premier que je réalise pour m’entretenir sur le thème de l’eau ".
Le Président bolivien a signalé, que maintenant, les pays capitalistes qualifient de terroristes tous les gouvernements de gauche, et depuis le 11 septembre 2001, ils le font avec encore plus d’insistance. " [Avant] Ils m’accusaient bien d’être le Ben Laden andin en Bolivie. Dernièrement je n’étais plus le communiste ni le terroriste mais le narcotrafiquant ".
C’est pour cela qu'il considère comme " fausses les accusations sur l’avion présidentiel soi-disant retenu à cause de découverte de traces de cocaïne à l'intérieur. Cela nous laisse penser qu’ils sont prêts à nous impliquer [dans le narcotrafic NdT] ».
En ce qui concerne l’expulsion de Bolivie de l’agence US contre le trafic de drogue, le président bolivien a mis les point sur les i : " La DEA usaméricaine ne luttait pas contre le narcotrafic, mais le contrôlait plutôt à des fins politiques ".
D’autre part, commentant l’objectif des Nations Unies de réduire la pauvreté mondiale, le président bolivien a assuré que "tant que le gouvernement US continuera à désigner au sein des fonds de Coopération qui doit recevoir l’argent (dans ce cas les entreprises sous-traitantes), cet objectif ne se matérialisera jamais ".
http://www.tlaxcala-int.org/article.asp?reference=5408

Le Président Morales a affirmé que " là où il y a un Ambassadeur des USA, il y a un coup d’État (…), le seul pays où il n’y a pas de coup d’État, ce sont les USA ".
En ce sens, Morales a assuré que " je crains beaucoup le gouvernement usaméricain car je connais ses opérateurs politiques, il joue avec le narcotrafic pour nourrir ses intérêts géopolitiques."
"Je souhaite vivement améliorer les relations diplomatiques avec les USA, mais nous ne voulons pas que ces relations soient utilisées à des fins de conspiration, c’est pour cela que nous avons renvoyé leur ambassadeur en 2008 et je ne le regrette pas, car il fomentait une conspiration politique et mon devoir en tant que Président est de défendre la dignité de mon pays ", a affirmé Morales.
À l’occasion de sa conférence de presse à New York, le Président de la Bolivie Evo Morales a dit :" L'information qui nous arrive des USA, selon laquelle il y a deux mois l’avion présidentiel était consigné aux USA suite à la découverte de traces de cocaïne, est une nouvelle qui nous a surpris et alarmé. Cette année je n’avais pas voyagé une seule fois aux USA, ce voyage, aujourd’hui, est le premier que je réalise pour m’entretenir sur le thème de l’eau ".
Le Président bolivien a signalé, que maintenant, les pays capitalistes qualifient de terroristes tous les gouvernements de gauche, et depuis le 11 septembre 2001, ils le font avec encore plus d’insistance. " [Avant] Ils m’accusaient bien d’être le Ben Laden andin en Bolivie. Dernièrement je n’étais plus le communiste ni le terroriste mais le narcotrafiquant ".
C’est pour cela qu'il considère comme " fausses les accusations sur l’avion présidentiel soi-disant retenu à cause de découverte de traces de cocaïne à l'intérieur. Cela nous laisse penser qu’ils sont prêts à nous impliquer [dans le narcotrafic NdT] ».
En ce qui concerne l’expulsion de Bolivie de l’agence US contre le trafic de drogue, le président bolivien a mis les point sur les i : " La DEA usaméricaine ne luttait pas contre le narcotrafic, mais le contrôlait plutôt à des fins politiques ".
D’autre part, commentant l’objectif des Nations Unies de réduire la pauvreté mondiale, le président bolivien a assuré que "tant que le gouvernement US continuera à désigner au sein des fonds de Coopération qui doit recevoir l’argent (dans ce cas les entreprises sous-traitantes), cet objectif ne se matérialisera jamais ".
http://www.tlaxcala-int.org/article.asp?reference=5408
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