Ayant dans mon entourage une personne souhaitant avoir recourir à la sophrologie afin de se préparer à un examen, j'ai fait quelques recherches en la matière et je reste perplexe sur ce que j'ai pu lire...
Je ne sais pas si quelqu'un sur ce forum a déjà eu recours à des médecines dites "parallèles" et plus particulièrement à la sophrologie, mais il serait intéressant de partager ce genre d'expérience.
Il ne s'agit pas ici de montrer une approche "sceptique" qui jetera aux orties ce genre de pratiques ni trop "croyante", mais d'apporter une réflexion neutre et ouverte sur le sujet.
Au Journal Officiel du 21/09/2004 on peut lire:
« La sophrologie n’est pas une discipline définie ni reconnue dans le cadre du code de la santé publique. Toute personne qui prend part à l’établissement d’un diagnostic ou au traitement de maladies réelles ou supposées par des actes personnels, consultations verbales ou écrites, ou par tout autre procédé quel qu’il soit, sans être titulaire d’un diplôme exigé pour l’exercice de la profession de médecin ou sans être bénéficiaire des dispositions spéciales par voie législative, concernant notamment les actes qui peuvent être pratiqués par du personnel paramédical, est passible de poursuites pour exercice illégal de la médecine, aux termes de l’article L. 4161-1 du code de la santé publique »
Sur le rapport 2001 de la Mission Interministerielle de Lutte contre les Sectes, concernant la formation professionnelle, on peut lire:
"La sophrologie est source de nombreuses interrogations. On se bornera à constater que maintes offres de formation créent la confusion en proposant des titres tels que "sophrologue clinicien", "sophrologue de l’éducation et de la prévention" Ces appellations s’inspirent du titre de psychologue, titre dont la loi n° 85-772 du 25 juillet 1985 fixe l’usage, et qui peut être accompagné ou non d’un qualificatif, le plus souvent "psychologue clinicien", des notions d’éducation à la santé, et de prévention sanitaire. Or, les titres de "sophrologue clinicien", de "sophrologue de l’éducation et de la prévention"ne sont ni homologués ni reconnus.
Au nombre des débouchés commerciaux de la sophrologie, peuvent être recensées des formations de professionnels de santé, parfois des formations d’enseignants qui s’improvisent ensuite psychothérapeutes, des préparations à l’accouchement affichant une dimension spirituelle et des formations en entreprise."
Le sérieux de la formation des praticiens est mis en cause par la MILS, qui semble y voir certaines dérives.
Mais qu'en est il pratiquement des méthodes de la sophrologie et de ses praticiens?
Est-ce vraiment efficace?
Je ne sais pas si quelqu'un sur ce forum a déjà eu recours à des médecines dites "parallèles" et plus particulièrement à la sophrologie, mais il serait intéressant de partager ce genre d'expérience.
Il ne s'agit pas ici de montrer une approche "sceptique" qui jetera aux orties ce genre de pratiques ni trop "croyante", mais d'apporter une réflexion neutre et ouverte sur le sujet.
Au Journal Officiel du 21/09/2004 on peut lire:
« La sophrologie n’est pas une discipline définie ni reconnue dans le cadre du code de la santé publique. Toute personne qui prend part à l’établissement d’un diagnostic ou au traitement de maladies réelles ou supposées par des actes personnels, consultations verbales ou écrites, ou par tout autre procédé quel qu’il soit, sans être titulaire d’un diplôme exigé pour l’exercice de la profession de médecin ou sans être bénéficiaire des dispositions spéciales par voie législative, concernant notamment les actes qui peuvent être pratiqués par du personnel paramédical, est passible de poursuites pour exercice illégal de la médecine, aux termes de l’article L. 4161-1 du code de la santé publique »
Sur le rapport 2001 de la Mission Interministerielle de Lutte contre les Sectes, concernant la formation professionnelle, on peut lire:
"La sophrologie est source de nombreuses interrogations. On se bornera à constater que maintes offres de formation créent la confusion en proposant des titres tels que "sophrologue clinicien", "sophrologue de l’éducation et de la prévention" Ces appellations s’inspirent du titre de psychologue, titre dont la loi n° 85-772 du 25 juillet 1985 fixe l’usage, et qui peut être accompagné ou non d’un qualificatif, le plus souvent "psychologue clinicien", des notions d’éducation à la santé, et de prévention sanitaire. Or, les titres de "sophrologue clinicien", de "sophrologue de l’éducation et de la prévention"ne sont ni homologués ni reconnus.
Au nombre des débouchés commerciaux de la sophrologie, peuvent être recensées des formations de professionnels de santé, parfois des formations d’enseignants qui s’improvisent ensuite psychothérapeutes, des préparations à l’accouchement affichant une dimension spirituelle et des formations en entreprise."
Le sérieux de la formation des praticiens est mis en cause par la MILS, qui semble y voir certaines dérives.
Mais qu'en est il pratiquement des méthodes de la sophrologie et de ses praticiens?
Est-ce vraiment efficace?
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