Son nez qui coule, c'était du liquide cérébral
![Son nez qui coule, c'était du liquide cérébral Media_xll_5374849](https://2img.net/h/img.over-blog.com/300x169/4/23/42/31/61/media_xll_5374849.jpg)
Pendant plus de quatre mois, Aundrea Aragon s'est plaint de son nez qui coulait en permanence. Les médecins lui assuraient que c'était probablement dû à des allergies, mais la maman de 35 ans, originaire de Tucson en Arizona, était persuadée que quelque chose n'allait pas.
"Si je regardais en bas ou me penchais, ce liquide sortait de ma narine gauche. Je n'avais aucun contrôle là dessus", raconte Aundrea à ABC News. Elle décide de se rendre aux urgences, pour faire analyser le fluide. Quand les résultats tombent, c'est le choc, il s'agit en réalité d'une fuite du liquide céphalo-rachidien.
"Je suis toujours sous le choc", confie Aundrea, opérée en octobre. "J'ai eu beaucoup de chance. On m'a dit que j'aurais pu avoir une méningite, tomber dans le coma et mourir."
Le danger de cette maladie rare (1 cas sur 100.000), ce n'est pas la perte du fluide, explique le chirurgien Alexander G. Chiu, mais le risque d'infection. "On produit en permanence du liquide cérébral. Ce qui peut être fatal c'est quand la partie la plus propre de notre corps, le cerveau, entre en contact avec la plus sale, le nez."
Source: 7s7
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Pendant plus de quatre mois, Aundrea Aragon s'est plaint de son nez qui coulait en permanence. Les médecins lui assuraient que c'était probablement dû à des allergies, mais la maman de 35 ans, originaire de Tucson en Arizona, était persuadée que quelque chose n'allait pas.
"Si je regardais en bas ou me penchais, ce liquide sortait de ma narine gauche. Je n'avais aucun contrôle là dessus", raconte Aundrea à ABC News. Elle décide de se rendre aux urgences, pour faire analyser le fluide. Quand les résultats tombent, c'est le choc, il s'agit en réalité d'une fuite du liquide céphalo-rachidien.
"Je suis toujours sous le choc", confie Aundrea, opérée en octobre. "J'ai eu beaucoup de chance. On m'a dit que j'aurais pu avoir une méningite, tomber dans le coma et mourir."
Le danger de cette maladie rare (1 cas sur 100.000), ce n'est pas la perte du fluide, explique le chirurgien Alexander G. Chiu, mais le risque d'infection. "On produit en permanence du liquide cérébral. Ce qui peut être fatal c'est quand la partie la plus propre de notre corps, le cerveau, entre en contact avec la plus sale, le nez."
Source: 7s7
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