DES SCIENTIFIQUES DÉCOUVRENT LA PREMIÈRE PREUVE PHYSIQUE DE TABAC DANS UN RÉCIPIENT MAYA

Suite de l'article : http://decouvertes-archeologiques.blogspot.com/2012/01/des-scientifiques-decouvrent-la.html
Un chercheur de l'Institut Polytechnique Rensselaer et une anthropologue de l'Université d'Albany se sont associés pour utiliser une technologie ultra-moderne d'analyse chimique; le but étant d'analyser d'anciennes poteries mayas pour confirmer l'usage du tabac dans cette ancienne culture.

Dmitri Zagorevski , directeur de la plateforme protéomique au Centre de la biotechnologie et des études interdisciplinaires (CBIS) de Rensselaer, et Jennifer Loughmiller-Newman, candidate au doctorat à l'Université d'Albany, ont découvert la première preuve physique de tabac dans un récipient Maya.
Leur découverte constitue une nouvelle preuve de l'utilisation du tabac dans l'ancienne culture Maya, ceci grâce à une nouvelle méthode permettant de comprendre les anciennes racines de l'usage du tabac dans les Amériques.
Ces dernières années, les archéologues ont commencé à utiliser l'analyse chimique des résidus d'anciennes poteries, d'outils, et même de momies afin de rassembler d'infimes indices sur les anciennes civilisations.
Cependant, la contamination est un des problèmes potentiels qui peut gêner l'isolation d'un résidu qui doit être analysé. Bon nombre de ces céramiques ont différentes fonctions au cours de leur vie, engendrant des données chimiques confuse. Une fois que les poteries sont jetées, les processus naturels tels que les bactéries et l'eau peuvent détruire la surface des matériaux, effaçant des indices importants.
En outre, les chercheurs doivent être attentifs à la manipulation lors des fouilles archéologiques et lors du traitement des objets en laboratoire; en effet ceux-ci pourraient subir des contaminations croisées avec des sources modernes.
Pour arriver à leur découverte, ces deux chercheurs ont eu une occasion de recherche unique: une poterie de plus de 1300 ans, décorée avec des hiéroglyphes qui, apparemment, indiquait le contenu prévu (photo ci-dessus). De plus, l'intérieur du récipient n'avait pas été nettoyé, laissant les résidus protégés de toute contamination.
Le vase d'argile, large et haut d'environ 6.3 centimètres, porte les hiéroglyphes mayas signifiant "la maison de son sa tabac."
La poterie, provenant de la grande collection Kislak hébergée à la Bibliothèque du Congrès, a été fabriquée autour de 700 après JC dans la région du bassin du Mirador, dans le sud de Campeche au Mexique, au cours de la période classique Maya.
L'usage du tabac a longtemps été associé aux Mayas, grâce à des hiéroglyphes déchiffrés et des illustrations montrant les dieux et les gens entrain de fumer. Cependant, les preuves physiques de cette activité sont particulièrement limitées d'après les chercheurs.
Leur découverte constitue une nouvelle preuve de l'utilisation du tabac dans l'ancienne culture Maya, ceci grâce à une nouvelle méthode permettant de comprendre les anciennes racines de l'usage du tabac dans les Amériques.
Ces dernières années, les archéologues ont commencé à utiliser l'analyse chimique des résidus d'anciennes poteries, d'outils, et même de momies afin de rassembler d'infimes indices sur les anciennes civilisations.
Cependant, la contamination est un des problèmes potentiels qui peut gêner l'isolation d'un résidu qui doit être analysé. Bon nombre de ces céramiques ont différentes fonctions au cours de leur vie, engendrant des données chimiques confuse. Une fois que les poteries sont jetées, les processus naturels tels que les bactéries et l'eau peuvent détruire la surface des matériaux, effaçant des indices importants.
En outre, les chercheurs doivent être attentifs à la manipulation lors des fouilles archéologiques et lors du traitement des objets en laboratoire; en effet ceux-ci pourraient subir des contaminations croisées avec des sources modernes.
Pour arriver à leur découverte, ces deux chercheurs ont eu une occasion de recherche unique: une poterie de plus de 1300 ans, décorée avec des hiéroglyphes qui, apparemment, indiquait le contenu prévu (photo ci-dessus). De plus, l'intérieur du récipient n'avait pas été nettoyé, laissant les résidus protégés de toute contamination.
Le vase d'argile, large et haut d'environ 6.3 centimètres, porte les hiéroglyphes mayas signifiant "la maison de son sa tabac."
La poterie, provenant de la grande collection Kislak hébergée à la Bibliothèque du Congrès, a été fabriquée autour de 700 après JC dans la région du bassin du Mirador, dans le sud de Campeche au Mexique, au cours de la période classique Maya.
L'usage du tabac a longtemps été associé aux Mayas, grâce à des hiéroglyphes déchiffrés et des illustrations montrant les dieux et les gens entrain de fumer. Cependant, les preuves physiques de cette activité sont particulièrement limitées d'après les chercheurs.
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