Depuis la sortie de notre dossier nous faisons l’objet d’attaques sévères provenant de diverses sources, dont certaines sont plutôt comiques, mais qui nous demande une énergie considérable pour répondre à ces pseudo-scientifiques et à ces caricatures du scepticisme.
Volontairement ces gens désorientent les lecteurs, les faisant ainsi entrevoir des lacunes stupides pour rendre invisible le fond de ce dossier.
Il y a eu un engin qui à bien survolé la centrale. C’est un fait.
Pour le Geipan c’est un avion.
Nous démontrons, avec nos calculs, qu’il ne peut en aucun cas s’agir d’un engin survolant la centrale nucléaire à la distance de sécurité, soit 3000 pieds ou 914 m d’altitude.
Nous démontrons que ce qu’a capturé le téléphone potable ne peut être un avion à la distance de sécurité, sus décrite.
Si un avion est en dessous de cette limite, (1000 pieds ou 914 m), il n’a pas le droit de s’approcher à moins de 5000 m de la centrale nucléaire.
Si ces limites sont franchies, une alarme se déclenche dans la centrale et l’armée de l’air interceptent l’engin en question.
Il ne peut s’agir d’un avion puisque le CNOA (Centre National des Opérations Aériennes) de Lyon dit, dans le PV de gendarmerie, qu’il n’y a pas eu d’avion au dessus de la centrale nucléaire au moment de l’observation.
Les deux témoins ont bien dit qu’ils ont vu quelque chose. Même si les témoignages parlent d’avion. Ils ont vu quelque chose. C’est un fait.
Alors de deux choses l’une :
Ou c’est un avion et la sécurité de nos centrales nucléaires laisse beaucoup à désirer. Ce qui nous parait inconcevable.
Ou c’est autre chose et la centrale dispose de la réponse dans leurs banques vidéo de sécurités.
C’est ça le fond du dossier.
Et aussi le fait qu’il est évident que les enquêtes sont bradées.
Quelques précisions :
1/ Dans un article, à paraitre, dans NEXUS ce jour, il est écrit : « Xavier Passot nous dit qu’Yvan Blanc a tenté des dizaines de fois de joindre les services de sécurités de Golfech à propos d’une éventuelle vidéo prise par une caméra de surveillance, mais il n’a jamais eu de réponse ».
Nous avons tenté une seul fois d’appeler cette centrale nucléaire. Et nous avons obtenu un contacte en la Personne du Chargé de Communication.
Il nous a déclaré : Après lui avoir expliqué le but de notre appel.
Je n’étais pas ici à cette époque, je suis arrivé au début de l’année 2011.
Je n’ai pas eu écho de cette histoire.
J’ai beaucoup de travail, et ces faits ne me disent rien, je n’en ai pas entendu parler.
Nous avons d’autres priorités de travail.
Cependant, si un film a été réalisé, je serai curieux de le voir.
Pouvez-vous me le faire parvenir ?
Il est donc très possible de contacter la centrale, sans aucun problème, surtout que le n° de tel figure sur leur site internet. De la, il aurait été simple de demander des réponses au service de sécurité, en passant par la même personne que nous avons eu nous même au téléphone.
2/ Xavier Passot dit : « Nous sommes obligés de croire le rapport de gendarmerie »
Non ils ne sont pas obligés.
Par contre ils ont le pouvoir de demander des compléments d’enquête, des informations supplémentaires, de faire, des analyses vidéo Etc…
Cela ne les empêchent, pas non plus, d’interroger eux même les témoins.
3/ le Geipan : Nous avons regardé la vidéo image par image et nous voyons un feu rouge sous l’appareil, et aussi un clignotement rouge au bout des ailes, mais on ne voit pas de structure.
Ce qui signifie, qu’avec ces informations, le soit disant avion pourrait être identifié, au moins dans son type.
Le Comité de Rédaction.
Volontairement ces gens désorientent les lecteurs, les faisant ainsi entrevoir des lacunes stupides pour rendre invisible le fond de ce dossier.
Il y a eu un engin qui à bien survolé la centrale. C’est un fait.
Pour le Geipan c’est un avion.
Nous démontrons, avec nos calculs, qu’il ne peut en aucun cas s’agir d’un engin survolant la centrale nucléaire à la distance de sécurité, soit 3000 pieds ou 914 m d’altitude.
Nous démontrons que ce qu’a capturé le téléphone potable ne peut être un avion à la distance de sécurité, sus décrite.
Si un avion est en dessous de cette limite, (1000 pieds ou 914 m), il n’a pas le droit de s’approcher à moins de 5000 m de la centrale nucléaire.
Si ces limites sont franchies, une alarme se déclenche dans la centrale et l’armée de l’air interceptent l’engin en question.
Il ne peut s’agir d’un avion puisque le CNOA (Centre National des Opérations Aériennes) de Lyon dit, dans le PV de gendarmerie, qu’il n’y a pas eu d’avion au dessus de la centrale nucléaire au moment de l’observation.
Les deux témoins ont bien dit qu’ils ont vu quelque chose. Même si les témoignages parlent d’avion. Ils ont vu quelque chose. C’est un fait.
Alors de deux choses l’une :
Ou c’est un avion et la sécurité de nos centrales nucléaires laisse beaucoup à désirer. Ce qui nous parait inconcevable.
Ou c’est autre chose et la centrale dispose de la réponse dans leurs banques vidéo de sécurités.
C’est ça le fond du dossier.
Et aussi le fait qu’il est évident que les enquêtes sont bradées.
Quelques précisions :
1/ Dans un article, à paraitre, dans NEXUS ce jour, il est écrit : « Xavier Passot nous dit qu’Yvan Blanc a tenté des dizaines de fois de joindre les services de sécurités de Golfech à propos d’une éventuelle vidéo prise par une caméra de surveillance, mais il n’a jamais eu de réponse ».
Nous avons tenté une seul fois d’appeler cette centrale nucléaire. Et nous avons obtenu un contacte en la Personne du Chargé de Communication.
Il nous a déclaré : Après lui avoir expliqué le but de notre appel.
Je n’étais pas ici à cette époque, je suis arrivé au début de l’année 2011.
Je n’ai pas eu écho de cette histoire.
J’ai beaucoup de travail, et ces faits ne me disent rien, je n’en ai pas entendu parler.
Nous avons d’autres priorités de travail.
Cependant, si un film a été réalisé, je serai curieux de le voir.
Pouvez-vous me le faire parvenir ?
Il est donc très possible de contacter la centrale, sans aucun problème, surtout que le n° de tel figure sur leur site internet. De la, il aurait été simple de demander des réponses au service de sécurité, en passant par la même personne que nous avons eu nous même au téléphone.
2/ Xavier Passot dit : « Nous sommes obligés de croire le rapport de gendarmerie »
Non ils ne sont pas obligés.
Par contre ils ont le pouvoir de demander des compléments d’enquête, des informations supplémentaires, de faire, des analyses vidéo Etc…
Cela ne les empêchent, pas non plus, d’interroger eux même les témoins.
3/ le Geipan : Nous avons regardé la vidéo image par image et nous voyons un feu rouge sous l’appareil, et aussi un clignotement rouge au bout des ailes, mais on ne voit pas de structure.
Ce qui signifie, qu’avec ces informations, le soit disant avion pourrait être identifié, au moins dans son type.
Le Comité de Rédaction.
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