Quatre films de SF américains des années 50, tous teintés de la peur qu'inspire la planète rouge

Quand Mars était synonyme de communisme en pleine Guerre froide et que l’idéologie phagocytait le cinéma populaire.
Dans un magnifique coffret « prestige », très illustré et complété par une série exclusive de six cartes postales reproduisant des lobbies-cardes (photos d’exploitation made in USA d’époque) ainsi que d’un livret signé Brave Ghoul (un ancien de Mad Movies), se retrouvent quatre films rares, voire inédits en France : « Les Envahisseurs de la planète rouge », « 24h chez les Martiens » (« Rochetship XM »), « Flight to Mars », et « Red Planet Mars ». Des titres pour certains invisibles et attendus depuis des lustres par les amateurs du genre, mais également des strates de l’histoire du cinéma dans son rapport avec un contexte politique majeur : la peur du communisme.
La planète Mars étant rouge à l’œil nu et au télescope, elle a été identifiée dès l’Antiquité à la guerre, puis au communisme, tant, que la Russie révolutionnaire de 1917 s’y identifiait. En effet, dès 1924, un des premiers films de science-fiction, d’origine soviétique, « Aelita », exportait la révolution bolchevique sur la planète rouge. Les Etats-Unis devaient reprendre cette équation toute politique dans le sens inverse (de Mars vers la Terre/les USA) aux débuts de l’âge d’or de la SF américaine des années 50. C’est pourquoi ces quatre films sont des témoignages historiques, cinématographiques, et idéologiques incontournables.
Lire la suite - http://culture.france2.fr/cinema/dvd/destination-mars--70602383.html

Quand Mars était synonyme de communisme en pleine Guerre froide et que l’idéologie phagocytait le cinéma populaire.
Dans un magnifique coffret « prestige », très illustré et complété par une série exclusive de six cartes postales reproduisant des lobbies-cardes (photos d’exploitation made in USA d’époque) ainsi que d’un livret signé Brave Ghoul (un ancien de Mad Movies), se retrouvent quatre films rares, voire inédits en France : « Les Envahisseurs de la planète rouge », « 24h chez les Martiens » (« Rochetship XM »), « Flight to Mars », et « Red Planet Mars ». Des titres pour certains invisibles et attendus depuis des lustres par les amateurs du genre, mais également des strates de l’histoire du cinéma dans son rapport avec un contexte politique majeur : la peur du communisme.
La planète Mars étant rouge à l’œil nu et au télescope, elle a été identifiée dès l’Antiquité à la guerre, puis au communisme, tant, que la Russie révolutionnaire de 1917 s’y identifiait. En effet, dès 1924, un des premiers films de science-fiction, d’origine soviétique, « Aelita », exportait la révolution bolchevique sur la planète rouge. Les Etats-Unis devaient reprendre cette équation toute politique dans le sens inverse (de Mars vers la Terre/les USA) aux débuts de l’âge d’or de la SF américaine des années 50. C’est pourquoi ces quatre films sont des témoignages historiques, cinématographiques, et idéologiques incontournables.
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