Nous connaissons bien les objets volants non identifiés ou ovnis. De nombreuses observations ont été faites depuis la nuit des temps.
Par contre, nous parlons beaucoup moins d’engins sous-marins mystérieux que l’on pourrait baptiser osnis.
Depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale, les forces navales du monde entier ont fréquemment relevé la présence d’engins sous-marins dont les performances sont bien supérieures à tout ce qu’elles possèdent elles-mêmes.
Ces engins non identifiés semblent se cantonner dans des lieux particuliers de la planète, dont notamment les eaux scandinaves et la côte est de l’Amérique du Sud.
Performances des osnis
Tout d’abord, il faut préciser que de nombreux engins non rien de mystérieux. Les grandes puissances passent leur temps à s’espionner et beaucoup d’osnis ne sont sans doute que des sous-marins soviétiques ou américains.
Par contre, certains témoignages sont vraiment troublants. Effectivement, certaines performances et comportements de ces osnis excèdent largement ceux des marines traditionnelles.
On retrouve donc le même cas de figure entre les performances de notre flotte aérienne et celles de certains ovnis.
Au début de 1985, la France lança le Nautile, sous-marin de recherche capable de descendre à 6 000 m et possédant des vitesses de montée et de descente élevées (1 m/s).
Il s’agit d’un sous-marin de poche qui participe à de multiples campagnes françaises et internationales d’exploration des grands fonds sous-marins.
Le Nautile en 2008. By Bjørn som tegner
Le premier sous-marin nucléaire d’attaque français, le Rubis, a été lancé en 1979. Long de 73,6 m, large de 7,6 m, il déplace 2 400 t en surface et progresse en plongée à la vitesse de 25 nœuds (46 km/h). Son immersion maximum est de 300 m.
L’immersion maximale des sous-marins militaires actuels est de 400 m.
L’un des records de plongée pour un sous-marin normal est de 1 900 mètres. Les sous-marins de poche, comme le Nautile, descendent beaucoup plus bas. L’immersion maximale du Nautile est de 6000 m. Le Mir, un sous-marin de poche russe, descend à la même profondeur.
Classe Rubis . Le sous-marin nucléaire d’attaque Saphir . By Jean-Michel Roche
On peut constater que les osnis ont des performances très supérieures. Par exemple, pendant les manœuvres en Atlantique Nord de 1963, le porte-avion américain Wasp et douze autres vaisseaux détectèrent un engin énorme voyageant sous l’eau à 150 nœuds (280 km/h).
Il les accompagna quatre jours, manoeuvrant au milieu d’eux et plongeant parfois à des profondeurs de 8 000 mètres. A cette époque, aucun submersible ne pouvait descendre à une telle profondeur et aller aussi vite ; c’est d’ailleurs toujours valable aujourd’hui malgré les progrès technologiques.
Quelques exemples d’osnis
En 1978, il y eut une vague d’osnis en Italie. Plus de 500 rapports furent recueillis. Le long des côtes de l’Adriatique, la liste des phénomènes inexpliqués comprenait des colonnes d’eau s’élevant à 30 m par mer calme, des lumières rouges et blanches suivant les bateaux de pêche la nuit, des osnis sur ou sous la surface de l’eau, émergeant et plongeant en produisant des interférences électriques sur les radars, radios et télévisions.
Les pêcheurs finirent par exiger une protection militaire pour sortir en mer.
Le 1er août 1962, à 23 heures, trois pêcheurs français du port de Brusc, en Méditerranée, virent un long engin métallique qui se déplaçait à la surface de l’eau.
Ils pensèrent que c’était un sous-marin. Puis, l’eau se mit à bouillonner autour de l’engin et une douzaine d’hommes-grenouilles émergèrent. Les pêcheurs les interpellèrent mais aucun ne répondit puis le dernier se tourna vers eux et les salua. Jusque là, rien d’extraordinaire. Seulement les pêcheurs ahuris virent l’engin s’élever, des lumières clignotèrent et l’étrange sous-marin accéléra pour ne plus devenir qu’un point lumineux dans le ciel.
Reconstitution illustrée d’après les témoignages des pêcheurs français
De telles activités ont été relevées un peu partout. Si l’on trie tous les rapports et que l’on retire les erreurs et les canulars, il reste des phénomènes inexpliqués.
En avril 1967, deux jeunes danois virent un engin lâcher plusieurs objets dans le Kattegat, à 80 km au nord-est de Copenhague. Ceux que l’on récupéra se révélèrent, à l’analyse, composés de chaux et de « charbon non organique » mélangés à une matière totalement inconnue.
Il est bien sûr impossible de citer tous les rapports. Par contre, il semble que de nombreux gouvernements ont porté un vif intérêt à toutes ces activités sous-marines. Ce qu’ils ont appris du matériel repêché depuis 60 ans demeure inconnu.
D’où viennent ces osnis ?
Autant préciser tout de suite qu’il n’existe aucune théorie scientifique à tous ces phénomènes. Par objectivité, je cite les thèses de quelques ufologues, qui personnellement ne m’ont pas convaincues. Mais, je vous laisse juge.
En 1970, Ivan T. Sanderson, biologiste et fondateur de la Société pour l’investigation de l’inexpliqué, a publié un livre sur les « Résidents Invisibles ». Il y expose quelques cas analogues à ceux qui sont cités dans ce dossier.
Il suggère que, sous les océans, vit une race plus vieille que l’humanité. En avance sur le genre humain, ils ont développé une technologie qui leur permet des exploits comme les voyages interstellaires.
Pour l’auteur, les ovnis sont également leur création. Cette « race » dériverait des formes de vie qui ne quittèrent pas la mer pour évoluer.
De son côté, l’ufologue John Keel avance « qu’une force aéronavale clandestine opère sur cette planète ». Il suppose que ces bases sous-marines se situent près du cercle polaire.
D’autres ufologues sont persuadés que des engins venus d’autres mondes ont établi des bases sous-marines sur Terre.
Une chose est certaine, les mers et océans sont encore un monde inconnu et nul ne sait vraiment ce qui se cache dans les plus grandes profondeurs.
V.Battaglia (09.06.2006)
Source du site: http://www.dinosoria.com/osni.htm
et à consulter également:
Objets Sous-marins Non Identifiés en Argentine
Communiqué de la Société Internationale de recherche sur les phénomènes insolites- institut de recherches sur les O.V.N.I. – Institut de recherche sur les êtres inconnus. Directeur fondateur : Antonio Las Heras - Buenos Aires, Argentine.
Au terme d’une enquête rigoureuse ayant demandé près d’un an de travail, cette société a conclu à l’existence de bases sous-marines de soucoupes volantes dans les golfes de Saint -Mathias et de Saint-Georges, sur la côte atlantique de l’argentine. Voici l’essentiel du rapport établi à cette occasion :
« Il y a quelques années, sur les côtes désolées de la Patagonie, deux objets lumineux plongèrent dans la mer pendant la nuit, après quelques évolutions dans l’atmosphère. A l’aube, une chaloupe s’approcha du point d’immersion ; à travers les eaux cristalines, les témoins ébahis purent voir qu’une grande quantité d’algues avaient été enlevées et d’autres complètement arrachées, mais il n’y avait aucune trace des moyens mécanique qui auraient pu provoquer les effets observés.
« Cette information nous incita à examiner de près l’hypothèse des bases sous-marines ».
« Nous pouvons donner à présent une explication rationnelle du fait rapporté. Les deux O.V.N.I. ne tombèrent pas à la mer à la suite d’une panne ; il s’agissait d’une manoeuvre délibérée. Une fois immergés, il se comportèrent comme de simples sous-marins et se dirigèrent vers une de leurs bases.
Ce qui est parfaitement logiqe. Les engins venant d’un autre monde – les spécialistes sont à présent d’accord là dessus – « entrent » par l’Antarctique pour éviter les dangereuses radiations émises par la ceinture de Van Allen qui dans cette région perdent de leur puissance. La Patagonie est donc toute indiquée pour l’établissement d’une base. Sur la terre ferme, la chose serait risquée, mais les fonds sous marins offrent toute sécurité. Pour assurer une plus grande protection, les bases sont camouflées ou même aménagées dans le sol même.
« On peut également fixer la date approximative à laquelle ces bases furent installées.
« Jusque vers la mi-octobre 1954 aucune apparition d’objets volants n’a été signalée sur le littoral de la Patagonie, mais vers le 22 de ce mois « un grand tube fluorescent » fut aperçu par les habitants de Trelew alors qu’il se déplaçait silencieusement dans l’espace. A notre avis la mission de ce « vaisseau-mère » ou « cigare volant » était de trouver un emplacement pour l’installation d’une base dans ces parages. Il y en avait d’autres disséminées à travers le monde : « Le triangle de la mort » aux Bermudes et le golfe persique en sont des exemples.
« Pendant une dizaine d’années, il n’y eut dans la contrée aucun phénomène aérien insolite, mais au début des années soixante les apparitions devinrent à ce point habituelles que plus personne n’y faisait attention. Tous les jours de mystérieuses lumières entrent dans la mer et en sortent. Le champ d’action des extraterrestres est constitué dans le secteur austral par la plateforme sous-marine argentine : à peu près à la hauteur de Bahia Blanca ou de la mer de la Plata émergent des objets qui se déplacent dans l’atmosphère selon une direction approximative sud-nord.
« La preuve définitive nous fut donnée par l’analyse des faits survenus le 14 aout 1968. Ce jour là, des centaines de témoins, dont beaucoup exercent des professions libérales, purent observer entre Viedma et Rada Tilly soit 700 kilomètres en ligne droite, le passage de cinq objets ellipsoïdaux extrêmement lumineux qui laissaient derrière eux un mince sillage brillant. Ils apparurent soudain, ce qui confirme mon hypothèse, au dessus des eaux en face de la Rada Tilly, à quelques kilomètres de Comodoro Rivadaria, pour se perdre ensuite, au moment même où les témoins de Viedma commençaient à les voir. Il devait s’agir du déplacement d’une flottille de soucoupes volantes depuis la base située dans le golfe de Saint-Georges jusqu’à celle qui se trouve dans le golfe de Saint-Mathias… »
En conclusion, M. Antonio Las Haras a déclaré que l’importance de ce phénomène est liée à l’étude des vestiges extra-terrestres dans le passé de l’argentine.
Source : le livre du mystère – Jacques Bergier/Georges H. Gallet
Par contre, nous parlons beaucoup moins d’engins sous-marins mystérieux que l’on pourrait baptiser osnis.
Depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale, les forces navales du monde entier ont fréquemment relevé la présence d’engins sous-marins dont les performances sont bien supérieures à tout ce qu’elles possèdent elles-mêmes.
Ces engins non identifiés semblent se cantonner dans des lieux particuliers de la planète, dont notamment les eaux scandinaves et la côte est de l’Amérique du Sud.
Performances des osnis
Tout d’abord, il faut préciser que de nombreux engins non rien de mystérieux. Les grandes puissances passent leur temps à s’espionner et beaucoup d’osnis ne sont sans doute que des sous-marins soviétiques ou américains.
Par contre, certains témoignages sont vraiment troublants. Effectivement, certaines performances et comportements de ces osnis excèdent largement ceux des marines traditionnelles.
On retrouve donc le même cas de figure entre les performances de notre flotte aérienne et celles de certains ovnis.
Au début de 1985, la France lança le Nautile, sous-marin de recherche capable de descendre à 6 000 m et possédant des vitesses de montée et de descente élevées (1 m/s).
Il s’agit d’un sous-marin de poche qui participe à de multiples campagnes françaises et internationales d’exploration des grands fonds sous-marins.
Le Nautile en 2008. By Bjørn som tegner
Le premier sous-marin nucléaire d’attaque français, le Rubis, a été lancé en 1979. Long de 73,6 m, large de 7,6 m, il déplace 2 400 t en surface et progresse en plongée à la vitesse de 25 nœuds (46 km/h). Son immersion maximum est de 300 m.
L’immersion maximale des sous-marins militaires actuels est de 400 m.
L’un des records de plongée pour un sous-marin normal est de 1 900 mètres. Les sous-marins de poche, comme le Nautile, descendent beaucoup plus bas. L’immersion maximale du Nautile est de 6000 m. Le Mir, un sous-marin de poche russe, descend à la même profondeur.
Classe Rubis . Le sous-marin nucléaire d’attaque Saphir . By Jean-Michel Roche
On peut constater que les osnis ont des performances très supérieures. Par exemple, pendant les manœuvres en Atlantique Nord de 1963, le porte-avion américain Wasp et douze autres vaisseaux détectèrent un engin énorme voyageant sous l’eau à 150 nœuds (280 km/h).
Il les accompagna quatre jours, manoeuvrant au milieu d’eux et plongeant parfois à des profondeurs de 8 000 mètres. A cette époque, aucun submersible ne pouvait descendre à une telle profondeur et aller aussi vite ; c’est d’ailleurs toujours valable aujourd’hui malgré les progrès technologiques.
Quelques exemples d’osnis
En 1978, il y eut une vague d’osnis en Italie. Plus de 500 rapports furent recueillis. Le long des côtes de l’Adriatique, la liste des phénomènes inexpliqués comprenait des colonnes d’eau s’élevant à 30 m par mer calme, des lumières rouges et blanches suivant les bateaux de pêche la nuit, des osnis sur ou sous la surface de l’eau, émergeant et plongeant en produisant des interférences électriques sur les radars, radios et télévisions.
Les pêcheurs finirent par exiger une protection militaire pour sortir en mer.
Le 1er août 1962, à 23 heures, trois pêcheurs français du port de Brusc, en Méditerranée, virent un long engin métallique qui se déplaçait à la surface de l’eau.
Ils pensèrent que c’était un sous-marin. Puis, l’eau se mit à bouillonner autour de l’engin et une douzaine d’hommes-grenouilles émergèrent. Les pêcheurs les interpellèrent mais aucun ne répondit puis le dernier se tourna vers eux et les salua. Jusque là, rien d’extraordinaire. Seulement les pêcheurs ahuris virent l’engin s’élever, des lumières clignotèrent et l’étrange sous-marin accéléra pour ne plus devenir qu’un point lumineux dans le ciel.
Reconstitution illustrée d’après les témoignages des pêcheurs français
De telles activités ont été relevées un peu partout. Si l’on trie tous les rapports et que l’on retire les erreurs et les canulars, il reste des phénomènes inexpliqués.
En avril 1967, deux jeunes danois virent un engin lâcher plusieurs objets dans le Kattegat, à 80 km au nord-est de Copenhague. Ceux que l’on récupéra se révélèrent, à l’analyse, composés de chaux et de « charbon non organique » mélangés à une matière totalement inconnue.
Il est bien sûr impossible de citer tous les rapports. Par contre, il semble que de nombreux gouvernements ont porté un vif intérêt à toutes ces activités sous-marines. Ce qu’ils ont appris du matériel repêché depuis 60 ans demeure inconnu.
D’où viennent ces osnis ?
Autant préciser tout de suite qu’il n’existe aucune théorie scientifique à tous ces phénomènes. Par objectivité, je cite les thèses de quelques ufologues, qui personnellement ne m’ont pas convaincues. Mais, je vous laisse juge.
En 1970, Ivan T. Sanderson, biologiste et fondateur de la Société pour l’investigation de l’inexpliqué, a publié un livre sur les « Résidents Invisibles ». Il y expose quelques cas analogues à ceux qui sont cités dans ce dossier.
Il suggère que, sous les océans, vit une race plus vieille que l’humanité. En avance sur le genre humain, ils ont développé une technologie qui leur permet des exploits comme les voyages interstellaires.
Pour l’auteur, les ovnis sont également leur création. Cette « race » dériverait des formes de vie qui ne quittèrent pas la mer pour évoluer.
De son côté, l’ufologue John Keel avance « qu’une force aéronavale clandestine opère sur cette planète ». Il suppose que ces bases sous-marines se situent près du cercle polaire.
D’autres ufologues sont persuadés que des engins venus d’autres mondes ont établi des bases sous-marines sur Terre.
Une chose est certaine, les mers et océans sont encore un monde inconnu et nul ne sait vraiment ce qui se cache dans les plus grandes profondeurs.
V.Battaglia (09.06.2006)
Source du site: http://www.dinosoria.com/osni.htm
et à consulter également:
Objets Sous-marins Non Identifiés en Argentine
Communiqué de la Société Internationale de recherche sur les phénomènes insolites- institut de recherches sur les O.V.N.I. – Institut de recherche sur les êtres inconnus. Directeur fondateur : Antonio Las Heras - Buenos Aires, Argentine.
Au terme d’une enquête rigoureuse ayant demandé près d’un an de travail, cette société a conclu à l’existence de bases sous-marines de soucoupes volantes dans les golfes de Saint -Mathias et de Saint-Georges, sur la côte atlantique de l’argentine. Voici l’essentiel du rapport établi à cette occasion :
« Il y a quelques années, sur les côtes désolées de la Patagonie, deux objets lumineux plongèrent dans la mer pendant la nuit, après quelques évolutions dans l’atmosphère. A l’aube, une chaloupe s’approcha du point d’immersion ; à travers les eaux cristalines, les témoins ébahis purent voir qu’une grande quantité d’algues avaient été enlevées et d’autres complètement arrachées, mais il n’y avait aucune trace des moyens mécanique qui auraient pu provoquer les effets observés.
« Cette information nous incita à examiner de près l’hypothèse des bases sous-marines ».
« Nous pouvons donner à présent une explication rationnelle du fait rapporté. Les deux O.V.N.I. ne tombèrent pas à la mer à la suite d’une panne ; il s’agissait d’une manoeuvre délibérée. Une fois immergés, il se comportèrent comme de simples sous-marins et se dirigèrent vers une de leurs bases.
Ce qui est parfaitement logiqe. Les engins venant d’un autre monde – les spécialistes sont à présent d’accord là dessus – « entrent » par l’Antarctique pour éviter les dangereuses radiations émises par la ceinture de Van Allen qui dans cette région perdent de leur puissance. La Patagonie est donc toute indiquée pour l’établissement d’une base. Sur la terre ferme, la chose serait risquée, mais les fonds sous marins offrent toute sécurité. Pour assurer une plus grande protection, les bases sont camouflées ou même aménagées dans le sol même.
« On peut également fixer la date approximative à laquelle ces bases furent installées.
« Jusque vers la mi-octobre 1954 aucune apparition d’objets volants n’a été signalée sur le littoral de la Patagonie, mais vers le 22 de ce mois « un grand tube fluorescent » fut aperçu par les habitants de Trelew alors qu’il se déplaçait silencieusement dans l’espace. A notre avis la mission de ce « vaisseau-mère » ou « cigare volant » était de trouver un emplacement pour l’installation d’une base dans ces parages. Il y en avait d’autres disséminées à travers le monde : « Le triangle de la mort » aux Bermudes et le golfe persique en sont des exemples.
« Pendant une dizaine d’années, il n’y eut dans la contrée aucun phénomène aérien insolite, mais au début des années soixante les apparitions devinrent à ce point habituelles que plus personne n’y faisait attention. Tous les jours de mystérieuses lumières entrent dans la mer et en sortent. Le champ d’action des extraterrestres est constitué dans le secteur austral par la plateforme sous-marine argentine : à peu près à la hauteur de Bahia Blanca ou de la mer de la Plata émergent des objets qui se déplacent dans l’atmosphère selon une direction approximative sud-nord.
« La preuve définitive nous fut donnée par l’analyse des faits survenus le 14 aout 1968. Ce jour là, des centaines de témoins, dont beaucoup exercent des professions libérales, purent observer entre Viedma et Rada Tilly soit 700 kilomètres en ligne droite, le passage de cinq objets ellipsoïdaux extrêmement lumineux qui laissaient derrière eux un mince sillage brillant. Ils apparurent soudain, ce qui confirme mon hypothèse, au dessus des eaux en face de la Rada Tilly, à quelques kilomètres de Comodoro Rivadaria, pour se perdre ensuite, au moment même où les témoins de Viedma commençaient à les voir. Il devait s’agir du déplacement d’une flottille de soucoupes volantes depuis la base située dans le golfe de Saint-Georges jusqu’à celle qui se trouve dans le golfe de Saint-Mathias… »
En conclusion, M. Antonio Las Haras a déclaré que l’importance de ce phénomène est liée à l’étude des vestiges extra-terrestres dans le passé de l’argentine.
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