De nouveau des étoiles de mer, en Colombie Britannique (en anglais) : http://newswatch.nationalgeographic.com/2013/09/09/massive-starfish-die-off-baffles-scientists/


http://naturealerte.blogspot.fr/2013/10/08102013usa-caroline-du-nord-des.htmlLa semaine dernière des millions de poissons se sont échoués tout le long des rives du bassin du fleuve Pamlico et de ses afluents les riviéres Neuse et Tar en caroline du nord.
Le ministère de l'Environnement et des Ressources naturelles a confirmé que des millions d'alose sont morts au cours de ces dernières jours.
D'aprés les premiers elements de l'enquete cette nouvelle hécatombe de poissons est probablement due aux faibles niveaux d'oxygène causé par une prolifération d'algues toxiques subites.
Hier encore des témoins ont rapporté et filmé des milliers de poissons flottant dans une marina sur le fleuve Pamlico
Des examens sont en cours
AFPMystérieuse hécatombe chez les sangliers ardéchois
Depuis juillet, un nombre anormal de sangliers ont été retrouvés morts ou agonisant, apparemment d'une intoxication dont la cause n'a pu être déterminée.
Une surmortalité anormale de sangliers a été constatée en Ardèche depuis le mois de juillet, provoquant la création d’une cellule de crise en préfecture, l’origine des décès n’ayant pas été établie à ce jour.
«Quatre-vingt dix sangliers sont morts depuis juillet dans des conditions qu’on n’arrive pas à expliquer. L’une de nos principales pistes est toxicologique, elle est privilégiée par élimination puisque toutes les autopsies et analyses ont écarté la piste infectieuse (microbe ou virus)», a expliqué mardi à l’AFP Lionel Parle, directeur adjoint à la DDCSPP (Direction départementale de la cohésion sociale et de la protection des populations) à Privas.
Rien que pour la semaine du 2 au 9 octobre, «dix sangliers ont été retrouvés morts, parmi lesquels quatre sont pour l’instant considérés comme pouvant avoir un lien avec le phénomène de mortalités inexpliquées», a relevé la préfecture dans un communiqué mardi.
Le premier signalement était survenu le 23 juillet sur la commune de Vals-les-Bains.
Les morts se concentrent dans deux secteurs du département, Vals-les-Bains et la vallée de l’Eyrieux, (de Saint-Pierreville à Saint-Fortunat sur Eyrieux). L’éventualité d’une épizootie, telle qu’une peste porcine ou maladie d’Aujesky (maladie virale) avait été rapidement écartée à la fin de l’été, après des analyses réalisées par le laboratoire de référence de l’Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail (Anses) à Ploufagran (Côtes-d’Armor).
La piste d’une intoxication restant privilégiée, des analyses avaient aussi été confiées au pôle d’expertise toxicologique de l’école vétérinaire de Lyon. Mais après la recherche d’une quarantaine de molécules (raticides, pesticides, produits phytosanitaires, éthylène glycol, etc.), tous les résultats se sont avérés négatifs. Des animaux agonisants ont été observés et filmés, semblant présenter des troubles nerveux, avec des tremblements, convulsions, spasmes et pédalage.
Le préfet pris un arrêté le 4 septembre dernier interdisant la consommation et la commercialisation des sangliers sur les 29 communes concernées, les cadavres devant être apportés à l’équarrissage. «On a constaté que ce sont les petits sangliers, de 15 à 25 kg, qui sont le plus touchés. Nous sommes inquiets, les chasseurs sont perturbés et sont réticents à chasser», a expliqué à l’AFP un chasseur, qui préfère rester anonyme.
Le directeur adjoint de la DDCSPP a confirmé qu’il s’agissait essentiellement de jeunes sangliers. De même, a-t-il ajouté, de nouvelles analyses sont en cours «avec des prélèvements plus frais. On s’est attachés à sélectionner des cadavres en meilleur état», afin d’élargir le champ des molécules toxicologiques testées. «L’affaire est entre les mains de chercheurs en France et hors de France», a-t-il encore dit.
AFPSalvador: 114 tortues marines découvertes mortes en moins de trois semaines
Des analyses sont en cours pour découvrir la cause de ce phénomène, qui semble aussi toucher le Guatemala et le Nicaragua...
Les cadavres de 114 tortues marines ont été découverts depuis le 28 septembre sur la côte Pacifique du Salvador, provoquant l'inquiétude des écologistes et l'ouverture d'une enquête sur ces mystérieux décès.
Entre le 28 septembre et le 14 octobre, 114 tortures marines ont été retrouvées mortes sur les plages de San Diego, el Amatal et Toluca, au centre du littoral salvadorien, à quelques dizaines de kilomètres de la capitale. La plupart étaient des tortues vertes (Chelonia agassizii) et des tortues olivâtres (Lepidochelys olivacea).
Une algue toxique en cause...
La vice-ministre de l'Ecologie du Salvador Lina Pohl a expliqué à la presse que ces décès pourraient avoir été causés par le développement d'une algue toxique en haute mer car les carapaces des reptiles ne semblent pas endommagées.
Pour tenter d'établir la cause de cette hécatombe, une équipe du ministère a procédé lundi à des prélèvements sur les cadavres qui seront analysés par le Laboratoire de toxicologie marine de l'Université du Salvador.
Le coordinateur de l'ONG Unité écologique du Salvador (UNES), Angel Ibarra, a indiqué à l'AFP être impatient de connaître les résultats des analyses, car selon lui les «marées rouges» d'algues toxiques souvent constatées à cette période ne se sont jusqu'à présent jamais soldées par des décès massifs de tortues.
...ou des bateaux de pêche?
De son côté, Jose Leonidas Gomez, du Programme de conservation des tortues marines «Je protège mon monde», assure que les tortues retrouvés sur la plage de San Diego ne semblaient pas avoir ingéré quoi que ce soit. Celui-ci pointe plutôt du doigt les filets des nombreux bateaux de pêche circulant dans ces eaux.
Selon le Conseil national des zones protégées (CONAP) salvadorien, ce sont 146 tortues qui ont été retrouvées mortes au Salvador depuis janvier. Et le problème semble aussi concerner le Guatemala et le Nicaragua voisins, selon les autorités de ces pays qui n'ont toutefois pas tenu de compte précis.
Au Guatemala, Jose Martinez, un responsable du CONAP local, a expliqué à l'AFP que parmi les causes identifiées des décès constatés dans son pays figuraient la pêche industrielle au chalut, la pêche artisanale au trémail et la pêche au requin.
source : http://sciencesetavenir.nouvelobs.com/nature-environnement/20131025.OBS2756/salvador-une-algue-cause-la-mort-de-centaines-de-tortues.htmlUne substance neurotoxique contenue dans des algues serait à l’origine de la mort de centaines de tortues marines découvertes ces dernières semaines sur les plages du Salvador, a annoncé le ministère de l'Environnement.
"Les résultats des échantillons (prélevés sur) plus d'une dizaine de tortues démontrent que la cause de la mort est due à l'ingestion (...) de saxitoxines", substance neurotoxique produite par des micro-organismes marins, a déclaré mardi le ministère dans un communiqué.
Selon des chiffres officiels, 233 tortues de diverses espèces ont été retrouvées mortes en 2013 au Salvador, dont 201 rien que depuis fin septembre.
Les cadavres ont été découverts sur plusieurs plages de la côte Pacifique de ce petit pays d'Amérique centrale.
Selon les détails communiqués par les autorités, ces algues se trouvent en haute-mer, et en raison de leur importante quantité, donnent à l'eau une couleur marron, d'où le nom de "marée rouge".
Le ministère de la Santé a de son côté écarté la possibilité que des fruits de mer consommés par l'être humain, comme les huîtres, aient été contaminés.
Rien que entre le 28 septembre et le 14 octobre, 114 tortures marines ont été retrouvées mortes sur les plages de San Diego, el Amatal et Toluca, au centre du littoral salvadorien, à quelques dizaines de kilomètres de la capitale. La plupart étaient des tortues vertes (Chelonia agassizii) et des tortues olivâtres (Lepidochelys olivacea).
source : http://www.futura-sciences.com/magazines/environnement/infos/actu/d/developpement-durable-hecatombe-chez-etoiles-mer-cote-ouest-americaine-50071/#xtor=RSS-8Une hécatombe chez les étoiles de mer de la côte ouest américaine
Le Canada et les États-Unis font face à une disparition massive d’étoiles de mer. Elles ont contracté une maladie qui entraîne leur dépérissement. Les premiers cas ont été décelés en juin 2013, mais aujourd’hui toute la côte ouest de l’Amérique du Nord est concernée, et les scientifiques n’ont toujours aucune idée de la raison d’une telle épidémie.
Les étoiles de mer, sur la côte ouest de l’océan Pacifique, vivent actuellement l’une de leurs plus graves crises écologiques. Elles sont atteintes d’une maladie qui endommage tant leurs tissus qu’elles perdent leurs bras et dépérissent puis meurent. Du sud de la Californie au nord de l’Alaska, au moins dix espèces d’étoiles de mer en sont victimes. Les populations sont décimées à des taux record. Par ailleurs, si la maladie est bien connue des biologistes, la raison d’une telle expansion géographique reste un mystère.
En général, lorsqu’une étoile de mer est atteinte du syndrome du dépérissement (Sea star wasting disease, en anglais), une lésion commence à apparaître sur l’ectoderme. Rapidement les tissus sont endommagés, l’étoile perd ses bras et finit par mourir. Ces symptômes s’observent aussi lorsqu’une étoile de mer se retrouve coincée dans une bassine d’eau qui ne lui convient entre deux marées. Mais dans le cas du syndrome, ces symptômes surviennent tandis que l’étoile vit dans son habitat naturel.
Ce n’est pas la première fois que cette maladie décime la côte ouest des États-Unis. Dans le sud de la Californie, au cours des années 1983-1984 et 1997-1998, des disparitions massives d’étoiles de mer se sont produites. La maladie du dépérissement s’est répandue durant ces deux périodes en réponse au réchauffement de l’océan, lié à l’établissement de deux événements El Niño. Durant cette phase du phénomène Enso, les alizés faiblissent, l’upwelling du Pérou ralentit et toute la bande tropicale du Pacifique se réchauffe. Le changement de température est si rapide que les échinodermes n’ont pas le temps de s’adapter et développent cette maladie.
Les premiers signes du développement de la maladie cette année ont été observés en juin, dans l’État de Washington. Puis, en août, c’est en Alaska que des biologistes sont tombés sur des colonies d’échinodermes malades. Ensuite, les observations se sont succédé : en septembre, la Colombie-Britannique rapportait des douzaines d’étoiles de mer mortes non loin de Vancouver, des cas sont observés dans presque toute la Californie, de la Bodega Bay au golfe du sanctuaire marin national de Farallones (tous deux à proximité de San Francisco) au sud de l’État, en passant par le centre de l’État où huit espèces sont affectées.
Pourtant cette année, il n’y a pas d’El Niño installé, l’océan n’est pas plus chaud que son état moyen. Et c’est bien ce qui inquiète les biologistes. À première vue, il n’y a pas de facteur externe qui ait pu modifier l’habitat des étoiles de mer, tout le long de la côte. Par ailleurs, les chercheurs de l’université de Californie à Santa Cruz soulignent que les pertes d’étoiles de mer varient grandement suivant la zone concernée. Observation qui complique d’autant plus la détermination de la cause de la maladie. Actuellement, plusieurs laboratoires essaient de trouver l’agent pathogène qui aurait pu se répandre sur des milliers de kilomètres.
Les pertes sont massives, mais les échinodermes ont une étonnante capacité à se développer rapidement. Il ne devrait donc pas y avoir de disparition des étoiles de mer sur le bord est du Pacifique. Elles n’ont pas de prédateurs mais elles régulent la quantité de moules sur les côtes. Ce qui serait donc à redouter, c’est une invasion de moules...
source : http://fr.canoe.ca/artdevivre/animal/article1/2013/11/08/21255166-afp.htmlRecord de dauphins morts sur la côte atlantique
Quelque 753 grands dauphins ont été retrouvés morts sur la côte atlantique depuis juillet, dépassant un record datant d'il y a 25 ans, sans doute en raison d'un virus proche de la rougeole, ont indiqué vendredi des scientifiques américains.
Les animaux se sont échoués de juillet jusqu'à début novembre sur toute la côte atlantique américaine, depuis l'État de New York (nord-est) jusqu'à celui de Floride (sud-est).
Ce chiffre, atteint en cinq mois, est dix fois supérieur au nombre de dauphins retrouvés morts en moyenne sur une année.
Les autorités craignent un chiffre encore plus important sur 12 mois, étant donné que le dernier record, de 740 dauphins, avait été atteint en une année, en 1987-1988, selon des scientifiques des services américains de météorologie (NOAA).
«Les services spécialisés sur l'échouage travaillent intensivement sur ce chiffre désespérant», a assuré Teri Rowles, du programme sur la santé des mammifères marins de la NOAA.
Mais les scientiques ne sont pas en mesure de confirmer que le morbillivirus ait été la cause de la mort de ces animaux, étant donné leur état de décomposition avancé, qui les a empêché d'effectuer des tests.
Des éléments laissent toutefois supposer que le morbillivirus (dont fait partie le virus de la rougeole) contracté par les dauphins serait en train de s'étendre, car des baleines à bosse et des cachalots rejetés par la mer ont été testés positifs.
«Actuellement il n'y a rien qui puisse être fait pour empêcher la propagation de l'infection ou empêcher les animaux infectés de contracter des maladies grave», a précisé Mme Rowles.
La scientifique a aussi indiqué ne pas savoir clairement quelle était la proportion de grands dauphins infectés.
«Il y a encore beaucoup de questions sans réponse», a-t-elle résumé.
Les humains ne risquent pas de contracter ce morbillivirus mais peuvent être contaminés par des bactéries ou d'autres agents pathogènes provenant des carcasses. Il est donc conseiller d'appeler des spécialistes si on en découvre sur la côte.
Une mystérieuse hécatombe d'étoiles de mer
Les étoiles de mer meurent mystérieusement par millions ces derniers mois sur la côte ouest américaine, de l'Alaska au sud de la Californie.
Les étoiles de mer meurent mystérieusement par millions ces derniers mois sur la côte ouest américaine, de l'Alaska au sud de la Californie, mobilisant les biologistes marins qui soulignent le rôle clé de ces invertébrés dans l'écosystème côtier.
Cette hécatombe semble avoir commencé en juin 2013, selon les premiers cas observés, frappant différentes variétés d'étoiles de mer vivant sur le littoral et en captivité, précise Jonathan Sleeman, directeur du Centre de recherche de la faune sauvage de l'Institut américain de géophysique (USGS), dans une note publiée sur le site internet de cet organisme fédéral.
Les deux espèces les plus touchées sont la Pisaster ochraceus, une étoile de mer de couleur pourpre, et la Pycnopodia helianthoides, aussi appelée Soleil de mer. De couleurs variables, cette dernière est considérée comme la plus grande des étoiles de mer, son diamètre pouvant dépasser un mètre.
Les signes les plus communément observés de ce syndrome de dépérissement sont des lésions superficielles blanches qui s'étendent rapidement, suivies par un ramollissement de l'animal, la perte de ses bras et une désintégration de son corps aboutissant à sa mort quelques jours après l'apparition des symptômes.
Des populations entières de ces étoiles de mer ont été décimées dans le détroit de Puget, dans l'Etat de Washington (nord-ouest des Etats-Unis), et la mer des Salish en Colombie-Britannique (Canada) ainsi que le long de la côte californienne, indique le document de l'USGS. Le taux de mortalité est estimé à 95%.
Les scientifiques qui surveillent depuis des décennies les écosystèmes de cette zone de l'estran, partie du littoral située entre les limites des marées, n'ont à ce jour identifié aucune cause de cette mortalité massive.
"Nous pensons qu'un élément pathogène comme un parasite, un virus, ou une bactérie pourrait infecter ces étoiles de mer et compromettre leur système immunitaire, ce qui les rendrait vulnérables à des infections bactériennes secondaires responsables des dommages physiques observés", explique Pete Raimondi, professeur de biologie à l'Université de Californie à Santa Cruz, un des principaux scientifiques impliqués dans cette enquête.
Ce phénomène a déjà été observé dans le passé mais il était alors lié à un réchauffement des eaux côtières, ce qui n'a pas été le cas en 2013, ajoute-t-il.
Dans ces précédents accès de mortalité nettement moins étendus géographiquement, on avait aussi soupçonné un agent pathogène qui se serait développé à la faveur du réchauffement de l'eau mais sans jamais le confirmer, note encore le biologiste.
En 1983, une vague de mortalité sur la côte sud de la Californie avait presque entièrement éliminé l'étoile de mer Pisaster ochraceus du littoral. Une hécatombe plus limitée s'était produite en 1997, attribuée surtout au réchauffement de l'océan résultant du grand courant du Pacifique Sud El Niño.
Une mortalité de masse nettement plus réduite de certaines espèces d'étoiles de mer s'est également produite au printemps 2013 sur la côte est des Etats-Unis.
Les étoiles de mer préfèrent la fraîcheur, expliquent les scientifiques, soulignant que des eaux plus chaudes affectent leur santé et peuvent entraîner une infection des plaies.
L'étoile de mer Pisaster ochraceus est "un prédateur clé dans son écosystème côtier", dit le professeur Pete Raimondi. Cet animal se nourrit de crustacés comme les moules, les berniques et les escargots de mer.
Si cette espèce venait à disparaître, les populations de ces mollusques augmenteraient considérablement, ce qui pourrait profondément modifier l'écosystème rocheux situé entre le maximum et le minimum des marées, jugent les scientifiques.
Les larves d'étoiles de mer sont aussi un composant important du plancton, la base de la chaîne alimentaire des océans. Les étoiles de mer ont assez peu de prédateurs, qui peuvent être d'autres étoiles de mer, des mouettes et parfois des loutres de mer.
Dans leur enquête sur cette dernière vague de mortalité massive d'étoiles de mer, les scientifiques compilent les rapports provenant du public, surveillent certains sites le long de la côte du Pacifique, collectent des spécimens et effectuent des analyses microbiologiques ainsi que des séquençages génétiques pour déterminer s'il s'agit d'un agent infectieux ou toxique et résoudre cette énigme.
plus de 400 dauphins retrouvés morts au Pérou en janvier
En ce début d’année, le Pérou doit faire face à nouvel épisode de mortalité massive de dauphins. Plus de 400 mammifères morts ont été retrouvés sur les plages de ce pays rien qu’en janvier. Des autopsies sont en cours, mais vont-elles apporter des réponses ? À ce jour, l’épisode de mortalité de 2012 demeure inexpliqué.
En 2012, les autorités péruviennes ont eu à constater la mort de plus de 800 dauphins, lors de découvertes faites sur diverses plages du nord du pays. Malgré les centaines d’autopsies réalisées, aucune cause pouvant expliquer cette mortalité massive n’a été identifiée. Les hypothèses avancées restent toujours les mêmes : empoisonnement par une toxine d’origine algale, perturbations causées par des tests sonar ou sismiques, accumulation excessive de polluants, etc.
Malheureusement, l’histoire semble se répéter en 2014. Rien qu’en janvier, et selon les sources, plus de 400 à 500 de ces mammifères marins ont été retrouvés morts ou à l’agonie entre les villes de Pimentel et d’Illescas (environ 142 km de littoral) par des experts de l’Institut péruvien de la mer (Imarpe, pour Instituto del Mar del Perú). Une fois encore, la cause de cet épisode de mortalité reste inconnue, mais des autopsies sont en cours. Elles vont se focaliser sur les poumons, les foies et les reins. Les résultats sont attendus d’ici deux semaines.
Certains de ces mammifères marins pourraient avoir été les victimes de filets de pêche ayant causé leur noyade. Selon des propos rapportés dans le Globalpost, les scientifiques ont d’ailleurs confirmé que des individus jeunes et des adultes étaient morts en mer. Cependant, de nombreux cétacés se sont bel et bien éteints à proximité des plages ou après leur échouage. D’autres facteurs entrent donc en jeu. Une cause de mortalité a déjà été exclue grâce à des analyses chimiques menées à Lima sur des prélèvements de tissus : l’empoisonnement volontaire. Espérons maintenant que la cause de ce mystérieux épisode de mortalité sera prochainement identifiée.
ça fout les boules de voir tout ça ...
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