Il y a quelques temps, un gros paquet d'ouvrages est arrivé dans ma boîte aux lettres, offerts par le Heart of Albion Press de Bob Trudshaw basé en Grande-Bretagne, une compagnie qui édite de bons titres sur le folklore britannique, la cryptozoologie et les mystères irrésolus, dont Phantom Black Dogs in Latin America [Chiens Noirs Fantômes en Amérique Latine], écrit par Simon Burchell.
Les quelques personnes qui ont lu le classique de Sherlock Holmes de Sir Arthur Conan Doyle Le Chien des Baskerville, peuvent oublier ces mots immortels adressés par le Dr James Mortimer au plus célèbre détective fictif du monde
« M. Holmes, c'étaient les empreintes d'un chien gigantesque ! »
Cela pourrait surprendre certaines personnes d'apprendre que le roman de Conan Doyle était en fait basé sur des légendes réelles de chiens géants diaboliques dont on disait qu'ils hantaient les villages et la campagne de la Grande-Bretagne, apportant malheur, tragédie et mort dans leur sillage spectral et démoniaque. Eh oui, la Grande-Bretagne possède une longue et riche histoire de rencontres avec ce qui est devenu généralement connu sous le nom de « Chiens Noirs Fantômes ».
D'ordinaire beaucoup plus grands que des chiens normaux, on dit qu'ils possèdent de grands yeux brillants (très souvent rouges), qu'ils fréquentent les cimetières, les vieilles routes, chemins secondaires et ponts et ils sont presque unanimement associés au royaume des morts.
Dans certains cas, les bêtes semblent être manifestement mauvaises, tandis que dans d'autres rapports, des preuves d'une nature secourable, peut-être même soucieuse, sont présentées. Mais quoi que soient ces créatures, elles ne sont pas votre animal en chair et en os ordinaire. Pas du tout. Elles pourraient être votre pire cauchemar.
Et bien que l'image du Chien Noir Fantôme soit surtout associée aux Iles britanniques et au continent européen, la bête a été observée également dans beaucoup d'autres endroits, dont toute l'Amérique Latine, comme le révèle définitivement le nouvel ouvrage de Simon Burchell.
Avec 38 pages, Phantom Black Dogs in Latin America est évidemment bien plus un livret qu'un gros livre, mais cela ne diminue nullement la chose la plus importante de toute : ses pages sont remplies de cas dont chacun offre au lecteur des informations peu connues et rarement vues sur l'inégalable cousin latino-américain de sa contrepartie britannique plus célèbre
Ce qui m'impressionne et m'intrigue le plus à propos de la publication de Burchell est l'abondance vraiment étonnante de similitudes entre ces créatures observées il y a des siècles en Angleterre et celles rapportées à travers l'Amérique Latin ces 100 dernières années : à savoir les yeux brillants diaboliques, l'association du chien fantôme avec la vie après la mort, comment voir la bête peut être un précurseur au malheur et à la tragédie, ses qualités secourables et aidantes occasionnelles, le fait que l'animal est généralement observé aux alentours des ponts, chemins secondaires et cimetières, sa capacité à changer de forme et de taille, et sans oublier, bien sûr, la chose la plus importante, ses origines paranormales perçues.
Burchell révèle également comment les légendes du chien noir fantôme de certains pays d'Amérique Latine, comme le Guatemala, ont été exploitées par certains personnes à la moralité draconienne et dépassée. Par exemple, il y a des histoires répandues de gens s'adonnant à la boisson qui subissent le terrible courroux du chien noir fantôme, ce qui, comme le dit Burchell, « a certainement été popularisé par l'Église catholique qui a utilisé cette légende et d'autres comme contes moralisateurs
Les chiens ailés, dont l'apparence et les activités rappellent fortement le Chupacabra des temps modernes, sont abordés, tout comme quantité de données qui font un lien avec des contes de nature vraiment obscure et satanique.
Burchell révèle aussi des données intrigantes suggérant qu'au moins certaines légendes de chien noir pourraient être basées sur des histoires et des souvenirs culturels de gros chiens féroces très réels apportés dans le Nouveau Monde par les Conquistadors il y a des siècles - « des chiens sauvages et féroces pour tuer et lacérer les Indiens ».
Cela dit, cependant, il est clair que l'écrasante majorité des récits de chien noir fantôme en Amérique Latine est analogue à ceux de Grande-Bretagne à un degré vraiment saisissant, effrayant
et extraordinaire, dans le sens qu'ils semblent être autre chose que des entités de chair et de sang.Britannique
Burchell a vécu dans les montagnes du Guatemala occidental pendant 3 ans et connaît son affaire. Et son ouvrage est une grande petite publication écrite par quelqu'un de passionné non seulement par son sujet mais aussi par les cultures et les pays qui apparaissent dans ces pages.
Comme le déclare Burchell : « Bien que le Chien Noir puisse sembler au premier abord être un phénomène de Grande-Bretagne ou d'Europe du Nord, il existe essentiellement sous la même forme à travers toute la longueur et la largeur des Amériques. Beaucoup a été écrit sur l'origine germanique, celtique ou indo-européenne présumée de la légende mais une telle origine n'expliquerait pas comment une fille des montagnes maya peut rencontrer un Chien Noir métamorphe au croisement d'une route guatémaltèque. Il semble que le Chien Noir, à la manière du poltergeist, soit un phénomène mondial »
Les lecteurs en dehors du Royaume-Uni doivent être avertis que Phantom Black Dogs in Latin America n'est disponible qu'en Angleterre. Par conséquent, si vous souhaitez en acquérir un exemplaire, il est recommandé de contacter l'éditeur Bob Trudshaw pour les frais d'envoi internationaux et les modalités de paiement à albion@indigogroup.co.uk
Nick Redfern
http://www.phenomenes-inexpliques.com/drupal/node/469
Source :Alien seeker news
Les quelques personnes qui ont lu le classique de Sherlock Holmes de Sir Arthur Conan Doyle Le Chien des Baskerville, peuvent oublier ces mots immortels adressés par le Dr James Mortimer au plus célèbre détective fictif du monde
« M. Holmes, c'étaient les empreintes d'un chien gigantesque ! »
Cela pourrait surprendre certaines personnes d'apprendre que le roman de Conan Doyle était en fait basé sur des légendes réelles de chiens géants diaboliques dont on disait qu'ils hantaient les villages et la campagne de la Grande-Bretagne, apportant malheur, tragédie et mort dans leur sillage spectral et démoniaque. Eh oui, la Grande-Bretagne possède une longue et riche histoire de rencontres avec ce qui est devenu généralement connu sous le nom de « Chiens Noirs Fantômes ».
D'ordinaire beaucoup plus grands que des chiens normaux, on dit qu'ils possèdent de grands yeux brillants (très souvent rouges), qu'ils fréquentent les cimetières, les vieilles routes, chemins secondaires et ponts et ils sont presque unanimement associés au royaume des morts.
Dans certains cas, les bêtes semblent être manifestement mauvaises, tandis que dans d'autres rapports, des preuves d'une nature secourable, peut-être même soucieuse, sont présentées. Mais quoi que soient ces créatures, elles ne sont pas votre animal en chair et en os ordinaire. Pas du tout. Elles pourraient être votre pire cauchemar.
Et bien que l'image du Chien Noir Fantôme soit surtout associée aux Iles britanniques et au continent européen, la bête a été observée également dans beaucoup d'autres endroits, dont toute l'Amérique Latine, comme le révèle définitivement le nouvel ouvrage de Simon Burchell.
Avec 38 pages, Phantom Black Dogs in Latin America est évidemment bien plus un livret qu'un gros livre, mais cela ne diminue nullement la chose la plus importante de toute : ses pages sont remplies de cas dont chacun offre au lecteur des informations peu connues et rarement vues sur l'inégalable cousin latino-américain de sa contrepartie britannique plus célèbre
Ce qui m'impressionne et m'intrigue le plus à propos de la publication de Burchell est l'abondance vraiment étonnante de similitudes entre ces créatures observées il y a des siècles en Angleterre et celles rapportées à travers l'Amérique Latin ces 100 dernières années : à savoir les yeux brillants diaboliques, l'association du chien fantôme avec la vie après la mort, comment voir la bête peut être un précurseur au malheur et à la tragédie, ses qualités secourables et aidantes occasionnelles, le fait que l'animal est généralement observé aux alentours des ponts, chemins secondaires et cimetières, sa capacité à changer de forme et de taille, et sans oublier, bien sûr, la chose la plus importante, ses origines paranormales perçues.
Burchell révèle également comment les légendes du chien noir fantôme de certains pays d'Amérique Latine, comme le Guatemala, ont été exploitées par certains personnes à la moralité draconienne et dépassée. Par exemple, il y a des histoires répandues de gens s'adonnant à la boisson qui subissent le terrible courroux du chien noir fantôme, ce qui, comme le dit Burchell, « a certainement été popularisé par l'Église catholique qui a utilisé cette légende et d'autres comme contes moralisateurs
Les chiens ailés, dont l'apparence et les activités rappellent fortement le Chupacabra des temps modernes, sont abordés, tout comme quantité de données qui font un lien avec des contes de nature vraiment obscure et satanique.
Burchell révèle aussi des données intrigantes suggérant qu'au moins certaines légendes de chien noir pourraient être basées sur des histoires et des souvenirs culturels de gros chiens féroces très réels apportés dans le Nouveau Monde par les Conquistadors il y a des siècles - « des chiens sauvages et féroces pour tuer et lacérer les Indiens ».
Cela dit, cependant, il est clair que l'écrasante majorité des récits de chien noir fantôme en Amérique Latine est analogue à ceux de Grande-Bretagne à un degré vraiment saisissant, effrayant
et extraordinaire, dans le sens qu'ils semblent être autre chose que des entités de chair et de sang.Britannique
Burchell a vécu dans les montagnes du Guatemala occidental pendant 3 ans et connaît son affaire. Et son ouvrage est une grande petite publication écrite par quelqu'un de passionné non seulement par son sujet mais aussi par les cultures et les pays qui apparaissent dans ces pages.
Comme le déclare Burchell : « Bien que le Chien Noir puisse sembler au premier abord être un phénomène de Grande-Bretagne ou d'Europe du Nord, il existe essentiellement sous la même forme à travers toute la longueur et la largeur des Amériques. Beaucoup a été écrit sur l'origine germanique, celtique ou indo-européenne présumée de la légende mais une telle origine n'expliquerait pas comment une fille des montagnes maya peut rencontrer un Chien Noir métamorphe au croisement d'une route guatémaltèque. Il semble que le Chien Noir, à la manière du poltergeist, soit un phénomène mondial »
Les lecteurs en dehors du Royaume-Uni doivent être avertis que Phantom Black Dogs in Latin America n'est disponible qu'en Angleterre. Par conséquent, si vous souhaitez en acquérir un exemplaire, il est recommandé de contacter l'éditeur Bob Trudshaw pour les frais d'envoi internationaux et les modalités de paiement à albion@indigogroup.co.uk
Nick Redfern
http://www.phenomenes-inexpliques.com/drupal/node/469
Source :Alien seeker news
» L'Umibozu
» Les 10 prophéties religieuses les plus effrayantes
» TUBES A REVOIR
» La France en 2023
» Ovnis : dans le flot de décennies d'enquêtes, le témoignage troublant d'un ex-agent américain
» The Creator
» L'histoire occulte des « sciences » nazies -
» The Barbarians
» Coronavirus - Partie 6
» Guerre en Ukraine
» Les tréfonds les plus SOMBRES d’Internet
» Batman, à la television
» 10 MYSTÈRES IRRÉSOLUS de KAAMELOTT
» Le cas Vladimir Vinnichevsky