(Source : Bouddhanar)
Notre société contemporaine n’est ni égalitaire ni fraternelle. Comme en Inde, il existe des castes, des castes informelles mais bien réelles.
La gravure représente la société inique du cycle noir. De nos jours, les oligarques, les « brahmanes de Satan », ont remplacé les prêtres et les individus les plus vils ont supplanté les nobles (kshatriya).
Au sommet de la hiérarchie de la société moderne, il y a l’oligarchie des très riches maîtres du monde. Elle détient le pouvoir absolu (la démocratie n’est qu’un leurre) et, parodiant les anciens brahmanes, elle est initiée aux réalités subtiles des sciences occultes. A vrai dire, il ne peut s’agir que d’une caste démoniaque de contre-initiés.
En dessous, c’est la caste des grands bourgeois, les riches notables qui affectionnent les salons feutrés des clubs rotariens ou des cercles maçonniques. C’est pour eux que Pierre Charon, un conseiller de Nicolas Sarkozy, a réhabilité les fastueuses chasses présidentielles qui sont un instrument d’influence. Dans ce milieu on fricote avec des parlementaires corrompus, des politiciens aux privilèges exorbitants (la caste des 500). Les politiciens appartiennent majoritairement à la grande bourgeoisie de gauche et de droite, les bonnets blancs et blancs bonnets de la prétendue république, dont l’idéal n’est rien d’autre que la recherche effrénée de l’argent.
La base de la société se compose des classes laborieuses à l’esprit petit bourgeois. Elle sont totalement parasitées par le grand patronat et les politiciens professionnels. Mais elles ne se révolteront pas aussi longtemps qu’elles accepteront de se laisser aliéner par les dogmes du « libéralisme » économique et par les illusions de la réussite et de la promotion sociale. Le milliardaire cynique est le prototype de l’homme moderne. Qui s’offusque des cours de la bourse diffusés chaque heure sur les ondes des radios et des télévisions ? Ces litanies du culte de Mammon sont acceptées par la majorité de la population.
Comme en Inde, il existe des hors castes, des parias (Dalits). Les exclus de la société, les damnés de la terre, sont de plus en plus nombreux. Les travailleurs pauvres (les CDD, smicards…), les immigrés, les chômeurs sont volontairement maintenus dans la précarité. Le pouvoir les utilise pour effrayer la base de la société à l’esprit petit bourgeois. Ce sont les pauvres qui sont accusés de tous les maux modernes : violence, délinquance, parasitisme social… Les médias aux ordres focalisent l’attention des « citoyens petits bourgeois » sur les défauts et les vices des milieux défavorisés. Or, ces vices ne sont qu’un pâle reflet des vices de la caste des riches (impliqués dans la délinquance en col blanc, les opérations mafieuses, la corruption généralisée, la spéculation financière et criminelle…) et des vices de la caste des très riches oligarques (les fauteurs de guerres et de génocides, de coups d’état, d’assassinats politiques…)
Au 8ème siècle, le sage chinois Yoka Daishi disait :
Hélas ! cet âge de dégénérescence est plein de mal ;
Les êtres sont peu doués et difficiles à contrôler ;
Se trouvant plus éloignés de l’Ancien Sage (1), ils chérissent par dessus tout les vues fausses ;
Le Malin rassemble ses forces tandis que le Dharma s’affaiblit et que la haine commence à pénétrer partout ;
Même lorsqu’ils entendent parler de l’école « abrupte » de la doctrine bouddhique ;
Ils refusent d’y adhérer ; quel dommage ! Et, du coup, ils manquent l’occasion d’écraser le mal comme on écrase un morceau de brique !
(1) L’ancien sage taoïste était le modèle des Chinois du 8ème siècle.
Notre société contemporaine n’est ni égalitaire ni fraternelle. Comme en Inde, il existe des castes, des castes informelles mais bien réelles.

Au sommet de la hiérarchie de la société moderne, il y a l’oligarchie des très riches maîtres du monde. Elle détient le pouvoir absolu (la démocratie n’est qu’un leurre) et, parodiant les anciens brahmanes, elle est initiée aux réalités subtiles des sciences occultes. A vrai dire, il ne peut s’agir que d’une caste démoniaque de contre-initiés.
En dessous, c’est la caste des grands bourgeois, les riches notables qui affectionnent les salons feutrés des clubs rotariens ou des cercles maçonniques. C’est pour eux que Pierre Charon, un conseiller de Nicolas Sarkozy, a réhabilité les fastueuses chasses présidentielles qui sont un instrument d’influence. Dans ce milieu on fricote avec des parlementaires corrompus, des politiciens aux privilèges exorbitants (la caste des 500). Les politiciens appartiennent majoritairement à la grande bourgeoisie de gauche et de droite, les bonnets blancs et blancs bonnets de la prétendue république, dont l’idéal n’est rien d’autre que la recherche effrénée de l’argent.
La base de la société se compose des classes laborieuses à l’esprit petit bourgeois. Elle sont totalement parasitées par le grand patronat et les politiciens professionnels. Mais elles ne se révolteront pas aussi longtemps qu’elles accepteront de se laisser aliéner par les dogmes du « libéralisme » économique et par les illusions de la réussite et de la promotion sociale. Le milliardaire cynique est le prototype de l’homme moderne. Qui s’offusque des cours de la bourse diffusés chaque heure sur les ondes des radios et des télévisions ? Ces litanies du culte de Mammon sont acceptées par la majorité de la population.
Comme en Inde, il existe des hors castes, des parias (Dalits). Les exclus de la société, les damnés de la terre, sont de plus en plus nombreux. Les travailleurs pauvres (les CDD, smicards…), les immigrés, les chômeurs sont volontairement maintenus dans la précarité. Le pouvoir les utilise pour effrayer la base de la société à l’esprit petit bourgeois. Ce sont les pauvres qui sont accusés de tous les maux modernes : violence, délinquance, parasitisme social… Les médias aux ordres focalisent l’attention des « citoyens petits bourgeois » sur les défauts et les vices des milieux défavorisés. Or, ces vices ne sont qu’un pâle reflet des vices de la caste des riches (impliqués dans la délinquance en col blanc, les opérations mafieuses, la corruption généralisée, la spéculation financière et criminelle…) et des vices de la caste des très riches oligarques (les fauteurs de guerres et de génocides, de coups d’état, d’assassinats politiques…)
Au 8ème siècle, le sage chinois Yoka Daishi disait :
Hélas ! cet âge de dégénérescence est plein de mal ;
Les êtres sont peu doués et difficiles à contrôler ;
Se trouvant plus éloignés de l’Ancien Sage (1), ils chérissent par dessus tout les vues fausses ;
Le Malin rassemble ses forces tandis que le Dharma s’affaiblit et que la haine commence à pénétrer partout ;
Même lorsqu’ils entendent parler de l’école « abrupte » de la doctrine bouddhique ;
Ils refusent d’y adhérer ; quel dommage ! Et, du coup, ils manquent l’occasion d’écraser le mal comme on écrase un morceau de brique !
(1) L’ancien sage taoïste était le modèle des Chinois du 8ème siècle.
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