Les autres « Bêtes »
Il faut noter les autres affaires de la « bête de Senonges » dans les Vosges, qui, en1994
égorgea plus de 80 animaux. Elle venait après la bête de Sarlat, puis celle du Valais, et celle
de Noth, qui n’ont jamais été élucidées. Mais, à l’exception de celle du Gévaudan, ces bêtes
épargnèrent les humains.
De 1595 à 1598 en Vendômois, 25 personnes périrent, victimes des « Loups ».
Du Nord au Midi, d’Est en Ouest, ce sont toujours les mêmes horribles drames.
À Berd’huis (Orne), c’est l’acte de sépulture "d’un enfant de dix ans, noyé dans la rivière,
lequel avait été tiré hors de l’eau par un loup qui lui a mangé mains et bras, jambes, cuisses
et reins" (27/05/1739). À Saint-Riez-en-Belin (Sarthe), c’est celui de Cécile Le Boet "dévorée
en la forêt de Douvres le jour précédent par une bête farouche". Au Mesnil (Meuse) : "Jean
Bigot, âgé de huit ans, a esté dévoré du loup et l’on n’a retrouvé qu’une de ses mains et ses
entrailles qui ont été inhumés sous un carreau de l’autel, le reste du corps ayant été emporté
et mangé dans le bois" (20/02/1690).
Le curé de Latillé (Vienne), inhumant les restes d’un enfant de huit ans, précise qu’il est le
huitième à être dévoré par un loup en l’espace de trois semaines (24/04/1751).
Près de Rosporden (Finistère) : une louve emporte une petite fille de 8 ans, puis une autre
de 10 ans. "On a découvert la retraite de cet animal dans les bois. On y a trouvé cinq petits
louveteaux et des ossements d’enfants avec le crâne d’une personne qui paraissait être plus
âgée" (23/09/1773).
À Bassignac-le-Bas, en Corrèze, c’est encore l’inhumation du corps d’Etienne Douliac, âgé
d’environ onze ans, "mort des blessures horribles et effrayantes que lui avait fait le jour
précédent une espèce de loup, que l’on nomme male bête (mauvaise bête)" (09/07/1746).
Dans la région de Châteauneuf-Brimon dans la nièvre, une « Bête » fera en 1796 quelques
ravage en tuant une dizaine de femmes et d’enfants. Elle succombera après avoir reçu plus
d’une vingtaine de coups de fusil.
Les « Bêtes » les plus « médiatisées.

Les autres « Bêtes »



Classification :
A : Les affaires « Fermées », elles se terminent par la capture ou la mort de l’animal.
A1 : Des loups sauvages, survivant en France.
A2 : Des loups venus des pays voisins.
A3 : Des loups domestiques ou captifs, échappés, abandonnés ou lâchés
volontairement.
A4 : Des confusions avec des chiens que l’on prend pour des loups.
B : Les affaires « Ouvertes » où l’animal demeure mystérieux.
Dans la colonne « Noms et Observations » se trouve l’appellation donnée à l’animal
par les témoignages de l’époque.
Références :
« Des fauves dans nos campagnes » de V. Campion-Vincent, Edition Imago 1992.
Répartition Géographique.

Il faut noter les autres affaires de la « bête de Senonges » dans les Vosges, qui, en1994
égorgea plus de 80 animaux. Elle venait après la bête de Sarlat, puis celle du Valais, et celle
de Noth, qui n’ont jamais été élucidées. Mais, à l’exception de celle du Gévaudan, ces bêtes
épargnèrent les humains.
De 1595 à 1598 en Vendômois, 25 personnes périrent, victimes des « Loups ».
Du Nord au Midi, d’Est en Ouest, ce sont toujours les mêmes horribles drames.
À Berd’huis (Orne), c’est l’acte de sépulture "d’un enfant de dix ans, noyé dans la rivière,
lequel avait été tiré hors de l’eau par un loup qui lui a mangé mains et bras, jambes, cuisses
et reins" (27/05/1739). À Saint-Riez-en-Belin (Sarthe), c’est celui de Cécile Le Boet "dévorée
en la forêt de Douvres le jour précédent par une bête farouche". Au Mesnil (Meuse) : "Jean
Bigot, âgé de huit ans, a esté dévoré du loup et l’on n’a retrouvé qu’une de ses mains et ses
entrailles qui ont été inhumés sous un carreau de l’autel, le reste du corps ayant été emporté
et mangé dans le bois" (20/02/1690).
Le curé de Latillé (Vienne), inhumant les restes d’un enfant de huit ans, précise qu’il est le
huitième à être dévoré par un loup en l’espace de trois semaines (24/04/1751).
Près de Rosporden (Finistère) : une louve emporte une petite fille de 8 ans, puis une autre
de 10 ans. "On a découvert la retraite de cet animal dans les bois. On y a trouvé cinq petits
louveteaux et des ossements d’enfants avec le crâne d’une personne qui paraissait être plus
âgée" (23/09/1773).
À Bassignac-le-Bas, en Corrèze, c’est encore l’inhumation du corps d’Etienne Douliac, âgé
d’environ onze ans, "mort des blessures horribles et effrayantes que lui avait fait le jour
précédent une espèce de loup, que l’on nomme male bête (mauvaise bête)" (09/07/1746).
Dans la région de Châteauneuf-Brimon dans la nièvre, une « Bête » fera en 1796 quelques
ravage en tuant une dizaine de femmes et d’enfants. Elle succombera après avoir reçu plus
d’une vingtaine de coups de fusil.
Les « Bêtes » les plus « médiatisées.

Les autres « Bêtes »



Classification :
A : Les affaires « Fermées », elles se terminent par la capture ou la mort de l’animal.
A1 : Des loups sauvages, survivant en France.
A2 : Des loups venus des pays voisins.
A3 : Des loups domestiques ou captifs, échappés, abandonnés ou lâchés
volontairement.
A4 : Des confusions avec des chiens que l’on prend pour des loups.
B : Les affaires « Ouvertes » où l’animal demeure mystérieux.
Dans la colonne « Noms et Observations » se trouve l’appellation donnée à l’animal
par les témoignages de l’époque.
Références :
« Des fauves dans nos campagnes » de V. Campion-Vincent, Edition Imago 1992.
Répartition Géographique.

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