par alpacks Jeu 21 Mai - 5:16
au fur et a mesure de toute façon, il faudra bien se rendre a l'évidence que avec la météo très capricieuse de la région
les hydrates de méthane reposant sur le plancher et surtout le talus océanique, ceux a faible et moyenne profondeur vers 400-600 mètre sont en général les plus instables et qui ont le + de chance de se liberer brutalement par des morceaux de plusieurs mètre cube, qui vont créer de très fort dégagement de gaz en microbulle, la densité de l'eau en surface chute radicalement et cela est prouvé déja mathématiquement au point qu'elle perd sa portance par poussée d'archimède pendant le dégagement en surface, aucun navire ne peu en réchapper au pire un bateau gonflable le pourra peut être, mais la perte de portance peut être si drastique que meme un objet relativement léger coulera
et au vu des quantités qu'il y a dans la régions des bermudes du fait d'une forme sédimentation marine, grace par exemple a l'apport des fleuves tropicaux et équatoriaux des continents qui entourent la grande mer des caraïbes, qui enrichissent donc le milieu, fait donc une grande richesse planctonique couplé au fait que dans l'ensemble connection mer des caraïbes et océan atlantique tropical il y a présence d'une motorisation par convection du gulf stream, de grande masse d'eau froide remontent et sont réchauffées, et enrichies ...
du coup la production planctonique massive induit un chute massive de débris hétéroclite de matière organique qui formera sur les planchers et talus de grande masse d'hydrate de méthane !
il y a aussi l'activité géologique qui en produit beaucoup et la sismisité tectonique comme volcanique n'arange rien, les secousses même faible étant facteur a de brusque libération, bien que le principal facteur de libération sera des courants chauds qui plongent pronfondément et vont aider a faire fondre des blocs et les libérer ...
c'est la que le réchauffement climatique est lié a l'affaire, car justement on se sert actuellement bien que les études ne font juste commencer d'une base de fréquence de dégagement pour évaluer l'augmentation ou non des courants chauds plongeant qui aident aux hydrates a se liberer
sauf que cela inquiête plus d'un climatologue, car au vue des masses possibles a liberer, les énormes quantités de méthane pourraient faire en sorte d'accélérer le réchauffement global etant donné le net pouvoir d'effet de serre du méthane bien supérieur a celui du CO2
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