Je pense que certaines personnes âgées, d'autres ,fragiles, l'attendent avec impatience..
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Franck1973
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Coronavirus - Partie 4
Satanas- Obergruppenfürer
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- Message n°42
Re: Coronavirus - Partie 4
casseron a écrit:Je parie que le vaccin ne sera pas obligatoire mais que si tu ne l'as pas, plein de boulots et de déplacements seront interdits !
Le meilleur qui puisse arriver est qu'il se produise des effefs secondaires graves bien relayés par les réseaux sociaux.
Je pense également que c'est ce qui va se passer. Mais je ne dévoile pas un scoop en disant que ce vaccin étant accompagné d'une attestation, certains, dont votre serviteur se feront un malin plaisir d'obtenir la dite attestation sans voir une seringue.
Et pour ceux qui néanmoins se feraient piquer, je leur conseille l'utilisation d'un "aspivenin" dans les 5 minutes suivant l'injection.
casseron- Ufologue de Terrain
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- Message n°43
Re: Coronavirus - Partie 4
Pas bête du tout ton idée.
Franck1973- Modérateur en Herbe
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- Message n°44
Re: Coronavirus - Partie 4
Mais Satan ne croit pas aux hommes en noir. D'ailleurs, il ne croit en rien…Charlie a écrit:Mon pauvre Satan, l'inaction te réussit pas , parles leurs de ce que tu me disais en privé au sujet du virus crée par les hommes en noir
casseron- Ufologue de Terrain
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- Message n°45
Re: Coronavirus - Partie 4
Mes prophéties sont meilleures que celles d'Attali !
https://www.lci.fr/societe/les-compagnies-aeriennes-peuvent-elles-vous-obliger-a-etre-vaccine-pour-embarquer-2171050.html
https://www.lci.fr/societe/les-compagnies-aeriennes-peuvent-elles-vous-obliger-a-etre-vaccine-pour-embarquer-2171050.html
casseron- Ufologue de Terrain
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- Message n°46
Re: Coronavirus - Partie 4
Et dire que l'on reproche à Raoult un vieux médicament.....
https://www.sudouest.fr/2020/11/26/medicaments-a-eviter-la-revue-prescrire-publie-sa-nouvelle-liste-noire-8122074-4696.php
Ils ont dû pourtant être étudiés !
https://www.sudouest.fr/2020/11/26/medicaments-a-eviter-la-revue-prescrire-publie-sa-nouvelle-liste-noire-8122074-4696.php
Ils ont dû pourtant être étudiés !
Invité- Invité
- Message n°47
Re: Coronavirus - Partie 4
Et pendant ce temps tà ...............
[size=65]Paris : gain historique de +24% du CAC, 3 records à W-Street[/size]
https://www.boursorama.com/bourse/actualites/paris-gain-historique-de-24-du-cac-3-records-a-w-street-5922fc85efec401e3b67a3e3effa6bb0
[size=65]Paris : gain historique de +24% du CAC, 3 records à W-Street[/size]
https://www.boursorama.com/bourse/actualites/paris-gain-historique-de-24-du-cac-3-records-a-w-street-5922fc85efec401e3b67a3e3effa6bb0
Satanas- Obergruppenfürer
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- Message n°48
Re: Coronavirus - Partie 4
Un intéressant article sur les réflexions d'Axel Khan sur les différents vaccins:
https://www.usinenouvelle.com/article/les-vaccins-adenovirus-recombinants-d-astrazeneca-de-j-j-ou-spoutnik-sont-des-vaccins-ogm-explique-axel-kahn.N1033634
https://www.usinenouvelle.com/article/les-vaccins-adenovirus-recombinants-d-astrazeneca-de-j-j-ou-spoutnik-sont-des-vaccins-ogm-explique-axel-kahn.N1033634
casseron- Ufologue de Terrain
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- Message n°49
Re: Coronavirus - Partie 4
Voici un candidat qui a du plomb dans la seringue !
https://www.lci.fr/sante/le-vaccin-anti-covid-19-d-astrazenica-sous-le-feu-des-critiques-d-ou-est-parti-l-imbroglio-2171266.html
https://www.lci.fr/sante/le-vaccin-anti-covid-19-d-astrazenica-sous-le-feu-des-critiques-d-ou-est-parti-l-imbroglio-2171266.html
casseron- Ufologue de Terrain
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- Message n°50
Re: Coronavirus - Partie 4
Le coronavirus connaîtrait-il les mathématiques ? La nouvelle règle impose 8 m2 par personne. Essayez donc de tracer un carré de 8 m2...u rectangle, oui. Ce qui signifie que nous avons deux mètres de chaque côté de nous et un mètre devant et un mètre derrière. Dans quel sens devons-nous nous positionner ?
Franck1973- Modérateur en Herbe
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- Message n°51
Re: Coronavirus - Partie 4
Techniquement, il vaudrait mieux un cercle : la distance séparant la personne au centre par rapport au tour serait partout la même.
Schattenjäger- Webmaster
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- Message n°54
Re: Coronavirus - Partie 4
Nous sommes gouverné par des malades mentaux..Emmanuel Macron a annoncé, mardi 1er décembre, que le gouvernement envisageait de prendre "des mesures restrictives et dissuasives" pour empêcher les Français d'aller skier hors de nos frontières, et notamment en Suisse, à Noël. Il s'agit de "ne pas créer une situation de déséquilibre avec des stations en France", a expliqué le chef de l'Etat
Invité- Invité
- Message n°56
Re: Coronavirus - Partie 4
Enfin du paranormal, je commençais à m'inquiéter..
casseron- Ufologue de Terrain
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- Message n°57
Re: Coronavirus - Partie 4
Ah bon...où vois-tu du paranormal ?
Invité- Invité
- Message n°58
Re: Coronavirus - Partie 4
Le niveau des complotiste est en train de baisser et va rejoindre celui des racailles, QI compris..
https://fr.news.yahoo.com/covid-19-medecin-menaces-mort-170853319.html
...
...
Et pour la connerie, pas de vaccin?
https://fr.news.yahoo.com/covid-19-medecin-menaces-mort-170853319.html
...
Exposés médiatiquement depuis le début de la crise du Covid-19, plusieurs médecins font l’objet d’insultes voire de menaces de mort.
“Sale merde”, “grosse conne”, “grosse salope”, “une balle dans ta tête”... C’est le genre d’insultes et de menaces que reçoivent plusieurs médecins, particulièrement médiatisés depuis la crise du Covid-19. Parmi eux, Jérôme Marty, médecin généraliste et président du syndicat UFML....
Et pour la connerie, pas de vaccin?
Invité- Invité
- Message n°59
Re: Coronavirus - Partie 4
Et pour ceux qui pensent que la chine , c'est mieux
https://fr.news.yahoo.com/chiffres-%C3%A9valu%C3%A9s-tests-inefficaces-documents-181833455.html
...
Robin Verner
mar. 1 décembre 2020 à 7:18 PM UTC+1·6 min de lecture
Le média américain précise qu'il les doit à un "lanceur d'alerte" anonyme, affirmant travailler dans le domaine de la Santé en Chine. CNN concède ne pas savoir comment ces documents ont été obtenus et pourquoi ce sont ceux-ci en particulier qui lui ont été transmis. Mais les six experts sollicités ont authentifié ces textes et ces données et assuré de leur véracité.
Quatre éléments ressortent de leur analyse: les autorités chinoises ont à plusieurs reprises sous-évalué le bilan des contaminations et des victimes du virus ; les premiers tests étaient inefficaces ; le délai des diagnostics était initialement bien trop long pour permettre une lutte sérieuse contre la propagation ; et, en décembre, le surgissement du Covid-19 dans le Hubei s'est doublé d'une grippe particulièrement virulente dans la région.
.....
Le 7 juin dernier, le Conseil d'État chinois a pourtant publié un livre blanc absolument dithyrambique sur sa propre action au cours des premiers mois de la diffusion de la maladie. "Tout en déployant un effort total pour endiguer le virus, la Chine a aussi agi avec un sens aigu de sa responsabilité vis-à-vis de l'humanité, de ses citoyens, de la postérité, et de la communauté internationale. Elle a fourni des informations sur le Covid-19 d'une manière efficace et professionnelle de bout en bout. Elle a produit des informations détaillées et incontestables dès que possible et à échéances régulières, répondant concrètement aux préoccupations de l'opinion et élaborant un consensus public", pouvait-on notamment y lire.
Après avoir passé en revue les nouveaux documents, le professeur William Schaffner, professeur en infectiologie à l'Université américaine Vanderbilt, a contré l'autosatisfaction des dirigeants chinois auprès de CNN:
"Ils ont semblé minimiser l'impact de l'épidémie à chaque étape. S'ils avaient inclu les patients suspectés d'avoir contracté l'infection, à l'évidence, ça aurait étendu l'ampleur de la crise et aurait permis, je pense, une meilleure appréciation de la nature de l'infection et de ses dimensions".
Enfin, alors qu'on sait désormais que les racines de la pandémie remontent à l'automne 2019, il est toujours malaisé de savoir précisément combien de personnes ont été infectées l'an passé. Cependant, alors que dans un rapport à l'Organisation mondiale de la Santé le 3 janvier 2020, la Chine note 44 cas, ces documents internes parviennent déjà à la somme de 200 patients.
Cette situation a contraint les médecins et les personnels hospitaliers à prendre l'habitude de tester de façon répétée les cas suspects. Surtout, cette technique de dépistage déficiente s'est accompagnée d'une conséquence particulièrement néfaste. Le 7 mars, l'écart séparant en moyenne l'apparition des symptômes chez un individu et l'établissement de son diagnostic était encore de 23,3 jours.
La lenteur du procédé n'a pu que réduire la visibilité autour du phénomène, compromettant les stratégies pour l'endiguer. Le Dr. Amesh Adalja, de l'Université Johns-Hopkins, contacté lui aussi par CNN, a commenté: "Vous regardez des données qui ont trois semaines et vous essayez de prendre une décision pour aujourd'hui".
Un dernier élément, indépendant du fonctionnement des instances chinoises et jusqu'ici tenu secret, apparaît à la lumière de ces fuites. Aux premiers jours de décembre, tandis que le Covid-19 prenait inexorablement son envol, le Hubei était en proie à une épidémie particulièrement grave de grippe. Dans certains endroits, les taux de malades ont multiplié par 20 ceux de l'année précédente. Wuhan était la troisième localité la plus touchée par cette fièvre, après les villes de Yichang et Xianning.
Si les scientifiques ont bien noté que rien ne permettait de dire que les deux maladies entretenaient un lien quelconque, cette extension de la grippe a pu grandement contribuer à déstabiliser un système de soins déjà à bout de ressources.
https://fr.news.yahoo.com/chiffres-%C3%A9valu%C3%A9s-tests-inefficaces-documents-181833455.html
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Robin Verner
mar. 1 décembre 2020 à 7:18 PM UTC+1·6 min de lecture
Ce mardi, CNN a publié une enquête portant sur des documents chinois confidentiels rédigés par les autorités sanitaires locales lors des premiers mois de la crise du Covid-19. Ils révèlent une tendance à la sous-évaluation des bilans, l'inefficacité des premiers tests, la lenteur des diagnostics et les égarements bureaucratiques des institutions du pays.
117 pages, en provenance du Centre pour le contrôle et la prévention des maladies de la province de Hubei, toutes confidentielles, toutes destinées aux seuls regards des autorités. Et toutes en contradiction avec le récit que la Chine avait donné de sa gestion des premiers mois de l'apparition du Covid-19 sur ses terres, avant son explosion mondiale. Ce mardi, un an jour pour jour après le premier signalement d'un individu porteur des symptômes de cette "mystérieuse pneumonie" qu'on reconnaîtrait bientôt comme un "nouveau coronavirus" avant de la labéliser "Covid-19", CNN a publié une longue enquête fondée sur des dossiers ayant "fuité" depuis la Chine.Le média américain précise qu'il les doit à un "lanceur d'alerte" anonyme, affirmant travailler dans le domaine de la Santé en Chine. CNN concède ne pas savoir comment ces documents ont été obtenus et pourquoi ce sont ceux-ci en particulier qui lui ont été transmis. Mais les six experts sollicités ont authentifié ces textes et ces données et assuré de leur véracité.
Quatre éléments ressortent de leur analyse: les autorités chinoises ont à plusieurs reprises sous-évalué le bilan des contaminations et des victimes du virus ; les premiers tests étaient inefficaces ; le délai des diagnostics était initialement bien trop long pour permettre une lutte sérieuse contre la propagation ; et, en décembre, le surgissement du Covid-19 dans le Hubei s'est doublé d'une grippe particulièrement virulente dans la région.
.....
Le 7 juin dernier, le Conseil d'État chinois a pourtant publié un livre blanc absolument dithyrambique sur sa propre action au cours des premiers mois de la diffusion de la maladie. "Tout en déployant un effort total pour endiguer le virus, la Chine a aussi agi avec un sens aigu de sa responsabilité vis-à-vis de l'humanité, de ses citoyens, de la postérité, et de la communauté internationale. Elle a fourni des informations sur le Covid-19 d'une manière efficace et professionnelle de bout en bout. Elle a produit des informations détaillées et incontestables dès que possible et à échéances régulières, répondant concrètement aux préoccupations de l'opinion et élaborant un consensus public", pouvait-on notamment y lire.
Après avoir passé en revue les nouveaux documents, le professeur William Schaffner, professeur en infectiologie à l'Université américaine Vanderbilt, a contré l'autosatisfaction des dirigeants chinois auprès de CNN:
"Ils ont semblé minimiser l'impact de l'épidémie à chaque étape. S'ils avaient inclu les patients suspectés d'avoir contracté l'infection, à l'évidence, ça aurait étendu l'ampleur de la crise et aurait permis, je pense, une meilleure appréciation de la nature de l'infection et de ses dimensions".
Sous-évaluations en série
Par exemple, le 10 février, les chiffres officiels recensent 2478 nouveaux cas au cours des dernières 24 heures dans la province de Hubei, épicentre de la catastrophe sanitaire. Les fuites entrées en possession de la chaîne américaine portent ce nombre à 5918. Le 17 février, on compte 93 morts, toujours dans la province de Hubei, mais les rapports confidentiels en relèvent 196. A la date du 7 mars, on estime devant le grand public que 2986 personnes ont perdu la vie dans la région depuis le début de l'épidémie, tandis que dans les cercles bien informés c'est la statistique de 3456 morts qui circule.Enfin, alors qu'on sait désormais que les racines de la pandémie remontent à l'automne 2019, il est toujours malaisé de savoir précisément combien de personnes ont été infectées l'an passé. Cependant, alors que dans un rapport à l'Organisation mondiale de la Santé le 3 janvier 2020, la Chine note 44 cas, ces documents internes parviennent déjà à la somme de 200 patients.
"Faux négatifs" et vrais retards
La question du matériel est aussi l'un des enjeux majeurs des premiers mois de la crise dans le Hubei. Les éléments révélés par CNN pointent le sous-financement du système de santé et son manque d'équipements adéquats. C'est avant tout le dépistage qui concentre ces critiques précoces. Soignants et scientifiques dénoncent l'inadaptation des kits de dépistage, leur inefficacité, au point que les premiers résultats paraissent douteux. Début février, les tests délivrent en moyenne des taux de positivité allant de 30 à 50%. Le centre de contrôle et prévention des maladies du Hubei souligne même la récurrence de "faux négatifs".Cette situation a contraint les médecins et les personnels hospitaliers à prendre l'habitude de tester de façon répétée les cas suspects. Surtout, cette technique de dépistage déficiente s'est accompagnée d'une conséquence particulièrement néfaste. Le 7 mars, l'écart séparant en moyenne l'apparition des symptômes chez un individu et l'établissement de son diagnostic était encore de 23,3 jours.
La lenteur du procédé n'a pu que réduire la visibilité autour du phénomène, compromettant les stratégies pour l'endiguer. Le Dr. Amesh Adalja, de l'Université Johns-Hopkins, contacté lui aussi par CNN, a commenté: "Vous regardez des données qui ont trois semaines et vous essayez de prendre une décision pour aujourd'hui".
Une épidémie qui en a caché une autre
Tous les États ont connu leurs errements face à ce virus d'un genre nouveau, et la Chine, de surcroît, a dû essuyé les plâtres. Cependant, l'un des experts ayant consulté ces documents a estimé que certaines de ces erreurs étaient évitables. "Il est clair que les autorités chinoises ont fait des erreurs - et pas seulement des erreurs commises en raison du caractère inédit du virus - mais aussi des fautes politiques et bureacratiques dans la gestion retenue", a ainsi affirmé Yanzhong Huang, chercheur en santé mondiale au Council of Foreign Relations (le "Conseil des relations étrangères"), un think-tank sis à New York.Un dernier élément, indépendant du fonctionnement des instances chinoises et jusqu'ici tenu secret, apparaît à la lumière de ces fuites. Aux premiers jours de décembre, tandis que le Covid-19 prenait inexorablement son envol, le Hubei était en proie à une épidémie particulièrement grave de grippe. Dans certains endroits, les taux de malades ont multiplié par 20 ceux de l'année précédente. Wuhan était la troisième localité la plus touchée par cette fièvre, après les villes de Yichang et Xianning.
Si les scientifiques ont bien noté que rien ne permettait de dire que les deux maladies entretenaient un lien quelconque, cette extension de la grippe a pu grandement contribuer à déstabiliser un système de soins déjà à bout de ressources.
casseron- Ufologue de Terrain
- Nombre de messages : 10128
- Message n°60
Re: Coronavirus - Partie 4
Où est le paranormal là-dedans ?
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