Ce n'est pas récent, mais c'est revenu sur le devant de la scène...
Fraudes, arnaques et canulars ne sont pas réservés aux escrocs bien décidés à escroquer les bonnes poires. De siècle en siècle, certains faux ont atteint des sommets de sophistication. Tout l’été, ce blog reviendra sur les plus mémorables : après l’histoire du prêtre Jean et celle des lettres de Chasles, place à deux enfants qui réussirent à entourlouper l’auteur de Sherlock Holmes lui-même.
Été 1917, Angleterre. Alors que la première guerre mondiale fait rage sur le continent, Frances Griffith, dix ans aux prunes, rentre d’Afrique du Sud et s’installe avec sa mère dans un petit village de Cottingley où vit sa cousine, Elsie Wright, son aînée de cinq ans. Malgré leur différence d’âge, les deux petites s’adorent et passent leur temps à se promener dans la campagne anglaise, entre champs, forêts et chemins creux. On se sent vite loin de tout en se promenant le long de la rivière locale, la Beck, où les deux jeunes filles se rafraichissent souvent les pieds.
Un jour que leurs filles rentrent d’expédition dans un état un peu plus lamentable que d’habitude - griffées par les branchages, les vêtements tâchées et les chaussures détrempées - leurs parents poussent une gueulante d’anthologie. Pour se défendre, les deux gamines se justifient avec toute la célèbre bonne foi enfantine : les orties étaient cachées, la rivière plus profonde que prévu, un chien les a forcées à sauter dans une flaque, etc.
Oh oui, et elles ont joué avec des fées.
La suite sur :
http://blog.francetvinfo.fr/deja-vu/2016/07/12/summer-session-3-conan-doyle-lhomme-qui-croyait-aux-fees.html
Fraudes, arnaques et canulars ne sont pas réservés aux escrocs bien décidés à escroquer les bonnes poires. De siècle en siècle, certains faux ont atteint des sommets de sophistication. Tout l’été, ce blog reviendra sur les plus mémorables : après l’histoire du prêtre Jean et celle des lettres de Chasles, place à deux enfants qui réussirent à entourlouper l’auteur de Sherlock Holmes lui-même.
Été 1917, Angleterre. Alors que la première guerre mondiale fait rage sur le continent, Frances Griffith, dix ans aux prunes, rentre d’Afrique du Sud et s’installe avec sa mère dans un petit village de Cottingley où vit sa cousine, Elsie Wright, son aînée de cinq ans. Malgré leur différence d’âge, les deux petites s’adorent et passent leur temps à se promener dans la campagne anglaise, entre champs, forêts et chemins creux. On se sent vite loin de tout en se promenant le long de la rivière locale, la Beck, où les deux jeunes filles se rafraichissent souvent les pieds.
Un jour que leurs filles rentrent d’expédition dans un état un peu plus lamentable que d’habitude - griffées par les branchages, les vêtements tâchées et les chaussures détrempées - leurs parents poussent une gueulante d’anthologie. Pour se défendre, les deux gamines se justifient avec toute la célèbre bonne foi enfantine : les orties étaient cachées, la rivière plus profonde que prévu, un chien les a forcées à sauter dans une flaque, etc.
Oh oui, et elles ont joué avec des fées.
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