La Genèse transocéanique : les anciennes interprétations Polynésiennes et Mayas-Quichés (Popol Vuh)

Francisco Ximénez avait vingt-deux ans lorsqu’il débarqua en 1688 au Guatemala ; il n’était alors qu’un frère de l’ordre dominicain. Après avoir été ordonné prêtre, il voyagea beaucoup à travers tout le pays conquis par les Espagnols en apprenant très facilement les dialectes des indigènes avec lesquels il cherchait à entrer en relations.
Hernán Cortès avait ordonné à ses troupes : « Détruisez tout ce qu’il y a dans l’âme des Indiens ! » Mais Ximénèz était bon et son amitié et sa compréhension lui gagnèrent la confiance des populations. Un vieux chef de tribu l’initia même aux secrets qu’il avait jusque-là gardés jalousement et lui parla du Popol Vuh, le livre sacré des Mayas Quiché.
Wolfgang Cordan dans son « Popol Vuh - Mythos und Geschichte der Maya », décrit l’enthousiasme et la stupéfaction de Ximénèz en apprenant ce que contenait ce grand poème : « Il y avait l’histoire de la création du monde durant laquelle les dieux avaient crié : Terre ! et la Terre s’était formée. Il y avait le Déluge. Il y avait un corbeau qui indiquait que les eaux s’étaient retirées. Il y avait le passage d’une mer comme celui de la mer Rouge. Et il y avait un astre brillant que Ximénèz appela l’étoile de Jacob puisqu’elle ne pouvait être celle de Bethléem. »
La suite - http://www.inmysteriam.fr/enigmes-historiques/la-genese-transoceanique-les-anciennes-interpretations-polynesiennes-et-mayas-quiches-popol-vuh.html

Francisco Ximénez avait vingt-deux ans lorsqu’il débarqua en 1688 au Guatemala ; il n’était alors qu’un frère de l’ordre dominicain. Après avoir été ordonné prêtre, il voyagea beaucoup à travers tout le pays conquis par les Espagnols en apprenant très facilement les dialectes des indigènes avec lesquels il cherchait à entrer en relations.
Hernán Cortès avait ordonné à ses troupes : « Détruisez tout ce qu’il y a dans l’âme des Indiens ! » Mais Ximénèz était bon et son amitié et sa compréhension lui gagnèrent la confiance des populations. Un vieux chef de tribu l’initia même aux secrets qu’il avait jusque-là gardés jalousement et lui parla du Popol Vuh, le livre sacré des Mayas Quiché.
Wolfgang Cordan dans son « Popol Vuh - Mythos und Geschichte der Maya », décrit l’enthousiasme et la stupéfaction de Ximénèz en apprenant ce que contenait ce grand poème : « Il y avait l’histoire de la création du monde durant laquelle les dieux avaient crié : Terre ! et la Terre s’était formée. Il y avait le Déluge. Il y avait un corbeau qui indiquait que les eaux s’étaient retirées. Il y avait le passage d’une mer comme celui de la mer Rouge. Et il y avait un astre brillant que Ximénèz appela l’étoile de Jacob puisqu’elle ne pouvait être celle de Bethléem. »
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