Angleterre : Passionné des années 40, Ben Sansum vit exactement comme à l’époque
Ben Sansum ne s'habille et n'utilise qu'avec des fournitures venues des années 40Ben Sansum est un anglais de trente-cinq ans qui a décidé de faire de sa vie un vestige des années quarante. Jusqu’au moindre détail.
A Godmanchester en Angleterre, vit Ben Sansum, un homme de 35 ans qui refuse de vivre dans le présent. Passionné par les années 40, ce trentenaire a restauré une maison quatre pièces de style Victorien avec vue sur un cimetière et son église, une vue inchangé depuis un siècle au moins. Pas besoin de gadgets, d’internet ou de voitures avec bluetooth intégré pour lui.
"Je pense que j’étais toujours le garçon un peu bizarre, drôle, avec cet intérêt à l’école" explique t-il à la BBC, avant de poursuivre : "ça a commencé quand mon grand-père ma donné une radio des années 40. Depuis que je grandis je n’ai cessé de m’intéresser aux habits, à la musique de cette époque. Mes parents pensent certainement que ça me passera, mais maintenant c’est fini, je n’en sortirai pas et je ne veux pas, je mourrai sûrement dans cette attitude et cela me réjouit car d’une certaine manière cette façon de vivre ne sera pas encore oubliée".
"Les choses étaient faites pour durer"
"Je ne veux pas glorifier la guerre par cette époque, mais plutôt ce qui permettait aux gens de tenir malgré cette horrible période. Les voitures, la musique, la danse" se justifie t-il, "les choses étaient fabriquées ici en Angleterre et étaient faites pour durer". Tous les objets présent dans la maison de Ben sont d’ailleurs soit issus de son époque favorite, soit restaurés pour faire illusion.
Pas de gadgets électroniques ou de meubles tels que lave-linge ou lave-vaisselle. Ce Britannique fait tout exclusivement à la main et cela lui prend du temps et des efforts. Il peut lui arriver de passer plus de trente minutes à laver une chemise entre le battage, l’essorage et ensuite l’étendage.
Sa passion extrême ne l’a pas empêché de trouver une compagne dans la personne de Christina Bussham, la jeune femme a rencontré Ben au cours d’un repas entres amis. Elle connaissait la lubie du jeune homme sans savoir à quel point il était appliqué dans la reconstitution de l’ambiance d’époque. C’est pour cette raison que les deux jeunes gens vivent dans des différentes maisons.
Un stewart qui voyage beaucoup
Même si Ben Sansum possède une télévision (bien cachée), un frigo ainsi qu’une salle de bains moderne, le confort de l’époque ne sied pas à sa concubine, ce qui ne le chagrine pas le moins du monde : "Il y a des années de ça j’espérais pouvoir trouver quelqu’un qui m’aime moi ainsi que ma manière de vivre, mais maintenant je sais bien que suis trop extrême dans ma passion. Alors c’est normal que l’on ait tout les deux une maison de différentes périodes puisqu’on ne veut pas vivre dans celle de l’autre".
On sait qu’il regarde la télé, et qu’il est stewart, donc amené à voyager dans de nouveaux lieux modernes, mais est-ce qu’il lui arrive parfois de faire un tour au cinéma ? Cela doit rester difficile d’être socialement fréquentable si l’on reste complètement anachronique.
Ben Sansum ne s'habille et n'utilise qu'avec des fournitures venues des années 40Ben Sansum est un anglais de trente-cinq ans qui a décidé de faire de sa vie un vestige des années quarante. Jusqu’au moindre détail.
A Godmanchester en Angleterre, vit Ben Sansum, un homme de 35 ans qui refuse de vivre dans le présent. Passionné par les années 40, ce trentenaire a restauré une maison quatre pièces de style Victorien avec vue sur un cimetière et son église, une vue inchangé depuis un siècle au moins. Pas besoin de gadgets, d’internet ou de voitures avec bluetooth intégré pour lui.
"Je pense que j’étais toujours le garçon un peu bizarre, drôle, avec cet intérêt à l’école" explique t-il à la BBC, avant de poursuivre : "ça a commencé quand mon grand-père ma donné une radio des années 40. Depuis que je grandis je n’ai cessé de m’intéresser aux habits, à la musique de cette époque. Mes parents pensent certainement que ça me passera, mais maintenant c’est fini, je n’en sortirai pas et je ne veux pas, je mourrai sûrement dans cette attitude et cela me réjouit car d’une certaine manière cette façon de vivre ne sera pas encore oubliée".
"Les choses étaient faites pour durer"
"Je ne veux pas glorifier la guerre par cette époque, mais plutôt ce qui permettait aux gens de tenir malgré cette horrible période. Les voitures, la musique, la danse" se justifie t-il, "les choses étaient fabriquées ici en Angleterre et étaient faites pour durer". Tous les objets présent dans la maison de Ben sont d’ailleurs soit issus de son époque favorite, soit restaurés pour faire illusion.
Pas de gadgets électroniques ou de meubles tels que lave-linge ou lave-vaisselle. Ce Britannique fait tout exclusivement à la main et cela lui prend du temps et des efforts. Il peut lui arriver de passer plus de trente minutes à laver une chemise entre le battage, l’essorage et ensuite l’étendage.
Sa passion extrême ne l’a pas empêché de trouver une compagne dans la personne de Christina Bussham, la jeune femme a rencontré Ben au cours d’un repas entres amis. Elle connaissait la lubie du jeune homme sans savoir à quel point il était appliqué dans la reconstitution de l’ambiance d’époque. C’est pour cette raison que les deux jeunes gens vivent dans des différentes maisons.
Un stewart qui voyage beaucoup
Même si Ben Sansum possède une télévision (bien cachée), un frigo ainsi qu’une salle de bains moderne, le confort de l’époque ne sied pas à sa concubine, ce qui ne le chagrine pas le moins du monde : "Il y a des années de ça j’espérais pouvoir trouver quelqu’un qui m’aime moi ainsi que ma manière de vivre, mais maintenant je sais bien que suis trop extrême dans ma passion. Alors c’est normal que l’on ait tout les deux une maison de différentes périodes puisqu’on ne veut pas vivre dans celle de l’autre".
On sait qu’il regarde la télé, et qu’il est stewart, donc amené à voyager dans de nouveaux lieux modernes, mais est-ce qu’il lui arrive parfois de faire un tour au cinéma ? Cela doit rester difficile d’être socialement fréquentable si l’on reste complètement anachronique.
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