
Fondateur du club Expédition Scyllas, basé à Doëlan (Clohars-Carnoët), qui répertorie les épaves sous-marines, le plongeur quimperlois Jean-Louis Maurette a quitté son élément pour partir sur les traces de « l'homme des neiges ».
Almasty, yéti, mi-go (prononcer migou), ou encore homme des neiges, il existe autant de dénominations d'un éventuel homme sauvage qu'il y a de régions du monde, toujours montagneuses, d'où ont été rapportés des témoignages de sa potentielle existence : Russie, Mongolie, Afghanistan, Pakistan, Népal, etc.
Génératrice de légendes les plus invraisemblables, cette existence est devenue mythique pour la plupart des gens. Il existe cependant des expéditions d'amateurs convaincus, passionnés d'aventure, de mystères et de sciences, qui poursuivent leurs recherches en parallèle aux missions scientifiques officielles menées depuis les années 50, en quête de preuves de l'existence de ces cryptides.Le plongeur Quimperlois Jean-Louis Maurette fait partie de ceux-là.
En compagnie de son ami Henry de Tydère, banquier bourguignon installé à Moscou, le chercheur d'épaves sous-marines a, cette fois, exploré les massifs de l'Altaï au printemps dernier, grimpant les flancs de la montagne, s'enfonçant dans les grottes, dans des secteurs où ne s'aventurent même pas les chasseurs locaux, plus effrayés par la présence de la créature fantasmée que par les loups et les ours bien réels.
Si l'existence de l'Almas (mot mongol utilisé par convention par les cryptozoologues) n'est que supposée, de nombreux témoignages viennent renforcer la conviction des deux hommes qu'ils ne poursuivent pas une chimère. Ils ont d'ailleurs rencontré en personne, Marie-Jeanne Koffmann, ex-chirurgienne de l'armée rouge, d'origine française, ancienne présidente de l'association de cryptozoologie de Russie, spécialiste incontestée de l'homme sauvage du pays.
En presque 50 ans d'enquêtes, dont certaines ont été soutenues par le paléontologue Yves Coppens, elle a collecté plus de 1.000 témoignages, empreintes de pas, poils et excréments.Si les témoignages de rencontres entre l'homme et l'Almas se font de plus en plus rares, ils semblerait qu'avant la Seconde Guerre mondiale, le fait ait été plus habituel. Dans la population paysanne locale surtout, mais un général soviétique a également laissé en 1925, une description très précise d'un intriguant cadavre.
Si Maurette et de Tydere ont choisi d'explorer l'Altaï, c'est parce qu'en 2010, y ont été découverts des ossements d'une troisième espèce d'homme préhistorique distincte des Néandertaliens et des Homo sapiens, dénommée « hominidé de Denisova » du nom de la grotte où se fit la découverte et d'où nos deux aventuriers ont démarré leurs recherches.Une exploration malheureusement demeurée stérile, ce qui ne désespère en rien les deux hommes qui, en parallèle de l'écriture d'un livre relatant cette expédition, font appel aujourd'hui aux sponsors afin de financer une seconde expédition, plus longue, plus équipée, et peut-être dans une autre région du Globe.
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