Ufologie & Paranormal

Bonjour,

Nous vous souhaitons un excellent surf sur les pages du forum. Le forum est en libre participation pour les non-inscrits. Une inscription donne néanmoins droit à nombreux avantages :

- Pas de pub
- Un pseudonyme réservé
- Un accès à l'ensemble des catégories
- La participation à la vie du forum
- Participation à nos concours
- Un outils précis pour organiser vos lectures, vos interventions.

Au plaisir de vous compter parmi nos prochains membres.

Le Staff.

Rejoignez le forum, c’est rapide et facile

Ufologie & Paranormal

Bonjour,

Nous vous souhaitons un excellent surf sur les pages du forum. Le forum est en libre participation pour les non-inscrits. Une inscription donne néanmoins droit à nombreux avantages :

- Pas de pub
- Un pseudonyme réservé
- Un accès à l'ensemble des catégories
- La participation à la vie du forum
- Participation à nos concours
- Un outils précis pour organiser vos lectures, vos interventions.

Au plaisir de vous compter parmi nos prochains membres.

Le Staff.

Ufologie & Paranormal

Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.
--- Le forum est en libre participation pour les non-inscrits ---

Derniers sujets

» ILS CAPTURENT DES CRÉATURES EXTRATERRESTRES AU BRÉSIL. (L'affaire Varginha)
Chimères, la recherche à l'anglaise Icon_minitime1Aujourd'hui à 10:25 par Achim

» La Maison des feuilles (livre)
Chimères, la recherche à l'anglaise Icon_minitime1Lun 15 Avr - 11:22 par Achim

» Fallout (la série)
Chimères, la recherche à l'anglaise Icon_minitime1Dim 14 Avr - 11:21 par Mulder26

» CROYEZ-VOUS EN DIEU ? Sondage de rue !
Chimères, la recherche à l'anglaise Icon_minitime1Ven 12 Avr - 12:21 par Schattenjäger

» Comment ce cirque caché une secte
Chimères, la recherche à l'anglaise Icon_minitime1Dim 7 Avr - 19:53 par casseron

» FOUR.COM : Ce Mystère d'internet
Chimères, la recherche à l'anglaise Icon_minitime1Dim 7 Avr - 10:39 par Schattenjäger

» 6 histoires TERRIFIANTES, SEUL DANS LA MER
Chimères, la recherche à l'anglaise Icon_minitime1Dim 7 Avr - 7:46 par Schattenjäger

» Sujet pour les fans de One piece
Chimères, la recherche à l'anglaise Icon_minitime1Sam 6 Avr - 21:53 par Franck1973

» 77 faits INSOLITES sur la MYTHOLOGIE !
Chimères, la recherche à l'anglaise Icon_minitime1Ven 5 Avr - 21:47 par Schattenjäger

» DECOUVERTE D'UNE CARTE MÉMOIRE DANS UN LIEU ABANDONNÉ
Chimères, la recherche à l'anglaise Icon_minitime1Ven 5 Avr - 21:12 par Schattenjäger

» ENFERMÉE VIVANTE dans l'ANTRE d'un PSYCHOPATHE : Le calvaire de Sierah Joughin
Chimères, la recherche à l'anglaise Icon_minitime1Jeu 4 Avr - 21:34 par Schattenjäger

» Coronavirus - Partie 6
Chimères, la recherche à l'anglaise Icon_minitime1Jeu 4 Avr - 16:18 par anoy

» La France en 2024
Chimères, la recherche à l'anglaise Icon_minitime1Jeu 4 Avr - 15:53 par anoy

» Rennes le chateau, Razes (infos et news)
Chimères, la recherche à l'anglaise Icon_minitime1Mar 2 Avr - 21:38 par RLC

» En Norvège, des chercheurs explorent un lac gelé à la recherche d’un OVNI aperçu il y a 77 ans
Chimères, la recherche à l'anglaise Icon_minitime1Sam 30 Mar - 20:26 par casseron

4 participants
  • Poster un nouveau sujet
  • Répondre au sujet

Chimères, la recherche à l'anglaise

Apollyôn
Apollyôn
Modérateur
Modérateur


Nombre de messages : 7232

Chimères, la recherche à l'anglaise Empty Chimères, la recherche à l'anglaise

Message par Apollyôn Jeu 29 Mar - 18:54

Plus de 150 chimères «homme-animal» ont vu le jour en Angleterre. Depuis trois ans, la création d’embryons hybrides se développe dans le secret de trois laboratoires. Interrogations, émotions, indignations.

Il y eut tout d’abord la brebis Dolly (1996-2003), premier mammifère créé par l’homme grâce à la technique du clonage; cet animal vit le jour dans la campagne écossaise. C’était une révolution. Il faut aujourd’hui compter, comme vient de le révéler le Daily Mail, avec plus de 150 embryons hybrides «homme-animal» créés ces trois dernières années dans trois laboratoires universitaires britanniques.

L’information fait grand bruit outre-Manche, y compris dans certains milieux scientifiques, où certains redoute que des biologistes, animés des meilleurs raisons du monde, aillent «trop loin» dans leur quête de la maîtrise du vivant.

Les opposants craignent, à terme, l’émergence d’un scénario du type «La Planète des singes» issu d’hybridisations poussées entre l’humain et l’animal.

En pratique, ces embryons peuvent être issus d’ovocytes de mammifères animaux fécondés par des spermatozoïdes humains. Il peut aussi s’agir de «cybrides» (terme issu de la contraction de «cytoplasme» et d’«hybride») issus du transfert d’un noyau d’un embryon humain dans un ovocyte animal (souvent de vache, parfois de lapine) préalablement énucléé. Ces «cybrides» disposent pour l’essentiel d’un matériel génétique humain associé à celui, animal, présent dans le cytoplasme de l’ovocyte.

Les trois laboratoires concernés sont rattachés au célèbre King College de Londres ainsi qu’aux universités de Newcastle et de Warwick. Le principe de tels travaux avait été autorisé après différentes décisions -controversées- prises en 2007 et 2008 par la Haute Autorité britannique en charge de l’assistance médicale à la procréation et à la recherche en embryologie puis par le Parlement.

Ces initiatives témoignaient alors de la volonté britannique d’occuper une position scientifique et économique dominante (comme plusieurs pays asiatiques dont la Chine) dans un nouveau secteur biotechnologique destiné notamment à mettre au point (via des «cellules souches») de nouvelles thérapeutiques contre des maladies aujourd’hui incurables. Cette volonté n’est toujours pas unanimement partagée en Grande-Bretagne. Le parlementaire Lord Alton, cité par le Daily Mail : «J'ai fait valoir devant le Parlement mon opposition à la création d'hybrides humain-animal comme une question de principe. Aucun des scientifiques que nous avons entendu n'a pu nous donner aucune justification en termes de traitement. Ethiquement, cela ne peut jamais être justifié. Cela nous discrédite en tant que pays. C'est patauger dans le grotesque. A chaque étape, la justification des scientifiques était: si seulement vous nous permettez de faire cela, nous allons trouver des remèdes pour toutes les maladies actuellement connues. C'est du chantage émotionnel.»

Selon lui, les traitements qui ont été aujourd’hui mis au point à partir de cellules souches l'ont tous été à partir de cellules souches dites «adultes» (prélevées sur des organismes après la naissance) et non à partir de cellules «embryonnaires», obtenues à partir de la destruction d’embryons conçus in vitro.

En écho, des chercheurs de l'Académie britannique des sciences médicales viennent de publier un rapport demandant que de nouvelles règles soient établies pour fixer des frontières entre humanité et animalité, interdisant par exemple l'injection de cellules souches humaines dans le cerveau de primates. Ils recommandent aussi de ne surtout pas modifier l’un des fondements de la loi en vigueur qui n’autorise pas le développement des embryons hybrides «homme-animal» au delà de 14 jours après leur création in vitro. Pour autant, le principe même de ces recherches en biologie animale ne peut selon eux être contesté.

Ainsi le Pr Robin Lovell-Badge (Institut national britannique pour la recherche médicale), principal auteur du rapport, ne s’oppose-t-il pas à la poursuite de la recherche sur des embryons hybrides. Il y a selon lui «un impératif moral»: trouver des moyens de guérir des maladies humaines incurables. «Tant que nous avons des contrôles suffisants, comme nous le faisons chez nous, nous devrions être fiers de ces recherches», estime-t-il, tout en ajoutant que des contrôles plus stricts doivent être appliqués aux recherches sur les embryons animaux dans lesquels sont implantés du matériel génétique humain.

L’une des justifications britanniques pour autoriser de telles recherches tient à l’assurance que les embryons hybrides sont détruits au plus tard après deux semaines. C’est là une forme de compromis à haute valeur pragmatique: à ce stade, ces hybrides peuvent être une source de cellules souches embryonnaires sans réclamer stricto sensu la destruction d’un embryon «humain».

Cette méthode fournit aussi une solution à la pénurie d’ovocytes humains disponibles pour la recherche à laquelle sont confrontés les biologistes. La garantie est également donnée à l’opinion que ces embryons ne seront jamais implantés dans un utérus (humain ou animal) pour une gestation pouvant le cas échéant être menée à terme.

De telles garanties ne sont pas données dans les pays asiatiques où ces recherches connaissent depuis plusieurs années un rapide développement; des pays où elles ne sont freinées par aucun contre-pouvoir éthique ou religieux. Constatons aussi que sur un tel sujet, tout n’est pas pleinement transparent dans l’espace démocratique britannique où ces recherches n’avaient, depuis trois ans, fait l’objet d’aucune information publique.

«Je suis consternée que cela continue et que nous n'ayons rien su à ce sujet, a ainsi déclaré Josephine Quintavalle membre de l'association Comment on Reproductive Ethics. Pourquoi ont-ils gardé ce secret ? S'ils sont fiers de ce qu'ils font, pourquoi devons-nous poser des questions parlementaires pour que cela vienne à la lumière?». La volonté des biologistes de «faire des expériences», dit-elle, ne saurait être en soi une justification suffisamment rationnelle pour que de telles expériences soient menées. Pour l’heure ces recherches seraient interrompues uniquement faute de moyens financiers.

Et en France? Après le feu vert donné par les autorités britanniques en 2008, Carine Camby, alors directrice générale de l'Agence de la biomédecine, observait que l'article 16 du code civil (qui traite de l'atteinte à l'intégrité de l'espèce humaine), la loi de bioéthique de 2004 ne répondant pas explicitement à la question de la création de telles chimères mêlant humanité et animalité. Cette loi (comme celle, révisée, de 2011) disposait clairement qu'il est interdit de créer in vitro des embryons à des fins de recherche scientifique mais omettait de traiter du caractère légitime ou non de la création de telles chimères.

Mais quels que soient les encadrements législatifs (et sans même évoquer les rumeurs concernant les recherches menées dans différents laboratoires asiatiques) le mouvement semble ici irréversible. Depuis la création de Dolly et les progrès croissants réalisés en matière de clonage et de recherche sur les cellules souches l’espoir d’une nouvelle médecine, «régénératrice», apparaît jouer comme un nouvel Eldorado.

Deux ans après la création de la brebis écossaise, en novembre 1998, on apprenait qu’un Minotaure était en gestation dans un laboratoire de la société américaine Advanced Cell Technology. Forts de la technique du clonage, des chercheurs annonçaient avoir implanté le noyau d'une cellule humaine adulte dans un ovule de vache préalablement vidé de son noyau.

«Les cellules indifférenciées embryonnaires offrent l'espoir de fournir une quantité illimitée de cellules capables d'être cultivées en laboratoire pour remplacer, sous forme de greffes, tous les types de tissus humains», expliquait alors le docteur James Robl, l'un des fondateurs de la société basée dans le Massachussetts.

Il envisageait déjà de soigner de la sorte des affections aussi variées que le diabète, certains cancers ou la maladie de Parkinson. Les responsables de cette firme reconnaissaient volontiers que de telles expériences posent de sérieuses questions morales. Mais ils estimaient que les avantages médicaux à venir sont supérieurs aux risques encourus, au premier rang la création d’un nouveau vivant à mi-chemin de l’humain et de l’animal.

Depuis treize ans, les termes de l’équation n’ont guère varié. Quant aux questions de fond, elles ne sont guère éloignées de celles exposées de manière prophétique en 1952 par Vercors dans Les Animaux dénaturés.


source : http://www.slate.fr/story/41863/chimeres-bioethique-recherche
Satanas
Satanas
Obergruppenfürer


Nombre de messages : 15663

Chimères, la recherche à l'anglaise Empty Re: Chimères, la recherche à l'anglaise

Message par Satanas Jeu 29 Mar - 19:49

Le Dr Moreau n'est pas loin...
Achim
Achim
VIP
VIP


Nombre de messages : 5292

Chimères, la recherche à l'anglaise Empty Re: Chimères, la recherche à l'anglaise

Message par Achim Jeu 29 Mar - 20:43


@ JohnnyG.

"Le Dr Moreau n'est pas loin..."

Est-ce que tu piges pourquoi les zitis qu'on voit ont parfois cette gueule ? Chimères, la recherche à l'anglaise 83948

On pourrait appeler ça de la "rétro-inspiration", et je ne rigole pas du tout... Suspect
casseron
casseron
Ufologue de Terrain
Ufologue de Terrain


Nombre de messages : 10114

Chimères, la recherche à l'anglaise Empty Re: Chimères, la recherche à l'anglaise

Message par casseron Sam 31 Mar - 18:27

En pratique, ces embryons peuvent être issus d’ovocytes de mammifères animaux fécondés par des spermatozoïdes humains

Tiens donc, j'avais toujours lu et entendu que la chose était impossible et notamment le croisement homme-guenon. Encore une idée reçue qui s'envole.
Il faudra peut-être reconsidérer certains témoignages. N'y avait-il pas eu un topic sur ces étranges créatures ?
  • Poster un nouveau sujet
  • Répondre au sujet

La date/heure actuelle est Ven 19 Avr - 20:01